15 janvier - Une larme sur ta joue - Original
Titre : Larme de reine
Auteur : Solhaken
Jour/Thème : 15 janvier - une larme sur ta joue
Fandom : Thyr-nayard
Personnage/Couple : Va'ard/Rhelwyvar
Rating : g
Disclaimer : à moi
Participation au vote de fin de mois : à voir
Note : je ressors desvieux projets... c'est mauvais.
Tu es seule sur ce trône et c'est un fardeau que tu refuses de partager avec nous. C'est ton devoir et ta volonté, je n'ai rien à redire à cela... Mais ce poids t'écrases, je peux le voir au fond de ton regard, dans ta démarche, dans la courbe grâcieuse de ta nuque. Au fond de ta voix j'entends un tremblement infime, tu faiblis. L'Eglise est un obstacle perpétuel qui s'acharne sur des détails insignifiants. Ils te guettent, ils attendent, ils t'épuiseront avant de frapper. Et toi tu te demandes encore combien de temps tu les supporteras avant d'ordonner leur massacre.
Au fond de toi tu sais que ce serait plus simple, et certainement plus sure. Mais tu hésites et certains te le reprochent, sans comprendre que tu ne peux ordonner contre d'autre ce que tu as toi-même subit. Il suffirait pourtant de quelque morts seulement... Tu le sais, tu sais aussi que je m'en chargerais sans mal, il te suffirait de demander.
La rumeur enfle, dans les rues les gens se crispent et déjà ils échangent des coups. Tu es seule sur ce trône et tu refuses de partager un fardeau qu'on t'aiderait volontier à porter. Une seule larme roule sur ta joue à l'annonce de la nouvelle. Cette fois s'en est trop. Ce sont des enfants qui sont morts, tués par l'incendie raté. Et au fond de toi tu m'en veux d'avoir oublié de protéger les gens pour me concentrer sur les manuscrits. Ils sont allé trop loin et tu ne pourras pas fermer les yeux.
Srenhen ne voit que la larme sur ta joue. Il brûle de venir l'effacer, de voir ton regard changer et ton visage se détendre. Il y a trop longtemps qu'il ne t'a pas vue détendue... J'attends que tu parles, cette fois tu ne pourras pas esquiver et tu donneras cet ordre. Parce que la diplomatie n'a rien donnée, qu'au plus on avance, au pire ils sont... Srenhen ne voit que cette larme, moi je vois la mort dans le fond de ton regard. Parce que je te connais mieux que toi même, parce que je sais qu'il n'ya pas d'autre solution.
Auteur : Solhaken
Jour/Thème : 15 janvier - une larme sur ta joue
Fandom : Thyr-nayard
Personnage/Couple : Va'ard/Rhelwyvar
Rating : g
Disclaimer : à moi
Participation au vote de fin de mois : à voir
Note : je ressors desvieux projets... c'est mauvais.
Tu es seule sur ce trône et c'est un fardeau que tu refuses de partager avec nous. C'est ton devoir et ta volonté, je n'ai rien à redire à cela... Mais ce poids t'écrases, je peux le voir au fond de ton regard, dans ta démarche, dans la courbe grâcieuse de ta nuque. Au fond de ta voix j'entends un tremblement infime, tu faiblis. L'Eglise est un obstacle perpétuel qui s'acharne sur des détails insignifiants. Ils te guettent, ils attendent, ils t'épuiseront avant de frapper. Et toi tu te demandes encore combien de temps tu les supporteras avant d'ordonner leur massacre.
Au fond de toi tu sais que ce serait plus simple, et certainement plus sure. Mais tu hésites et certains te le reprochent, sans comprendre que tu ne peux ordonner contre d'autre ce que tu as toi-même subit. Il suffirait pourtant de quelque morts seulement... Tu le sais, tu sais aussi que je m'en chargerais sans mal, il te suffirait de demander.
La rumeur enfle, dans les rues les gens se crispent et déjà ils échangent des coups. Tu es seule sur ce trône et tu refuses de partager un fardeau qu'on t'aiderait volontier à porter. Une seule larme roule sur ta joue à l'annonce de la nouvelle. Cette fois s'en est trop. Ce sont des enfants qui sont morts, tués par l'incendie raté. Et au fond de toi tu m'en veux d'avoir oublié de protéger les gens pour me concentrer sur les manuscrits. Ils sont allé trop loin et tu ne pourras pas fermer les yeux.
Srenhen ne voit que la larme sur ta joue. Il brûle de venir l'effacer, de voir ton regard changer et ton visage se détendre. Il y a trop longtemps qu'il ne t'a pas vue détendue... J'attends que tu parles, cette fois tu ne pourras pas esquiver et tu donneras cet ordre. Parce que la diplomatie n'a rien donnée, qu'au plus on avance, au pire ils sont... Srenhen ne voit que cette larme, moi je vois la mort dans le fond de ton regard. Parce que je te connais mieux que toi même, parce que je sais qu'il n'ya pas d'autre solution.