OrochimaruxKabuto - Naruto - N°4 Toi et moi
Titre : Différence
Auteur/Artiste : Plume de Plomb
Couple : Orochimaru x Kabuto
Fandom : Naruto
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : R pour le lime
Thème (numéro et nom) : n°4 Toi et moi
Disclaimer : M. Kishimoto, je suis de retour
Vous m’avez joué un bien mauvais tour !
La team de Plume de Plomb (qui ne compte qu’un membre) plus rapide qu’un ver de terre !
Rendez-moi mes persos, ou alors, vous passerez votre vie à peler des pommes de terre !
(Non, non, le disclaimer, il est inspiré de rien du tout)
Note: haaa, je l'ai enfin fini et avec de la fièvre en plus, je suis folle... Orochimaru m'a encore l'air OOC, je sais pas ce que j'ai, habituellement, j'arrive à le faire évoluer normalement... c'est peut-être la fièvre...
Je viens de pénétrer dans la salle de recherche et je suis étonné de constater que mon bras droit est encore là, allongé de façon beaucoup trop provocante à mon goût sur le seul fauteuil de la pièce. Pourquoi a-t-il décidé de faire des heures sup ? Pourquoi s’est-il installé comme ça ? Adossé et accoudé contre l’accoudoir derrière lui, il lit un rapport. Sa jambe droite est repliée et sert de pupitre pour le document qu’il examine. Son autre jambe, pend dans le vide, ne reposant pas sur le fauteuil. Le tissu de ses vêtements pourtant amples est tendu contre son corps à cause de sa posture… dévoilant ainsi d’appétissants contours. Il est vraiment désirable… Là d’où je suis, de l’autre côté du fauteuil, appuyé sur le dossier, je peux voir l’expression de son visage, concentrée. Tiens, la veine de sa tempe et celle de son cou paraissent plus voyantes… quand elles sont ainsi, c’est qu’il est embarrassé… faut dire aussi, le dévorer du regard comme je le fais, ça ne peut que le rendre mal à l’aise. Rha, je sais qu’il faut pas que je lui saute dessus, je le sais, mais c’est trop dur de tenir ! C’est incroyable, comment voulez vous vous retenir de ne pas sauter sur un corps pareil alors qu’il vous suit partout ? En plus, si je ne me retiens pas, je risque de perdre mon bras droit… Bah, je peux toujours lui demander la permission non ?
- Kabuto…
- Hum ?
- Je meurs d’envie de faire quelque chose mais ça risque de faire du mal à une personne dont j’ai encore besoin…
- Ne me dites pas que vous avez peur de prendre des risques, Orochimaru-sama !
Il lève alors les yeux vers moi avec une lueur d’incompréhension. Ou alors il se fout de moi ou alors il n’a rien compris ! La dernière solution me paraît plus adéquate…
Et maintenant, par sa faute, je n’ai plus aucunes raisons de me retenir ! Je fais quoi maintenant ?
En plus, j’ai vraiment l’air d’un imbécile de me parler à moi-même, on dirait un ado en pleine crise d’adolescence !
Et pis zut, je suis un méchant non ? J’aime bien me délecter de la souffrance des autres, alors, pourquoi je me soucierais de mon bras droit ? Parce que c’est mon bras droit que je n’en aurais peut-être jamais d’autres comme ça ? Ben tant pis pour moi alors !
- Moui, c’est vrai, tu as raison, Kabuto-kun…
Pendant que je parle, je contourne le fauteuil pour me diriger à sa hauteur. Je fais glisser une main sur sa jambe repliée et il me regarde maintenant bizarrement. Dans ses yeux on peut lire un truc du genre « non, il ne va quand même pas …? » Ho oui mon grand, je vais !
Je ne peux pas m’empêcher de lui sourire avec mon habituel rictus de sadique… Il est super tendu sous ses vêtements mais ce n’est pas bien grave, je vais arranger ça… Partie de sa cheville, ma main est maintenant arrivée à mi-cuisse. C’est amusant de le voir ainsi crispé... Il n’est qu’encore plus désirable. Je me penche alors vers lui et me charge de fusionner ses lèvres avec les miennes. Ses yeux manquent de le quitter tellement ils sont écarquillés et il se crispe encore plus. N’ayant pas vraiment de participation de son côté, je m’attaque alors à son cou, là où sa veine ressort, signe de son embarra. Il a une peu très pâle qui marque divinement bien. Mais sans réactions venant de sa part, ce n’est pas très amusant. Cependant je ne vais pas abandonner à si bon chemin, en plus, maintenant que j’y ai goûté, je n’ai plus l’intention de le lâcher ! Je remonte vers son oreille pour lui suçoter lascivement le lobe.
- Allez, détends-toi, laisse-toi aller, ça ne peut te faire que du bien !
C’est amusant de le voir débattre avec lui même. Bien sûr qu’il sait que ça ne peut que lui faire du bien, c’est même ça le problème ! Le petit diable et le petit ange se battent et comme dans tout leurs combats, je sais très bien que c’est le petit diable qui va encore une fois vaincre, je ne m’en fais donc pas pour ça et retourne à mon repas, marquant une seconde fois son cou. Hum, le voilà qui réagit enfin, j’aime beaucoup les réactions de sa peau d’ailleurs. Donc, le petit diable a gagné ! Magnifique, il ne m’a pas trop fait attendre en plus ! Je remonte alors vers les lèvres de Kabuto, m’en emparant encore une fois et cette fois, j’ai une réponse. Je lui lèche la lèvre inférieure et la suçote avant de m’emparer complètement de sa bouche. Sa langue tente de forcer l’entrée de ma bouche… je ne le connaissais pas si téméraire ! Amusé par ce comportement, je le laisse faire sans pour autant lui laisser prendre le dessus. S’en suit alors un combat que je trouve agréable pendant lequel j’en profite pour passer mes mains sous le t-shirt de mon bras droit qui étouffe des soupirs de plaisir sous mes caresses. J’abandonne à nouveau ses lèvres pour me livrer à l’exploration de son corps. Je ne peux vraiment pas me limiter à son cou et hôte son t-shirt qui emporte avec lui ses lunettes. Je me demande bien pourquoi il les porte, ça ne lui va vraiment pas !
Enfin, je ne suis pas là pour disserter sur ses lunettes mais plutôt pour me repaître de sa chair.
Kabuto, je ne sais vraiment pas ce que tu as mais tu es très entreprenant aujourd’hui… d’un coup de rein, c’est toi qui te retrouves à califourchon sur moi et tu t’emploies à ôter mes vêtements. Amusé par cette drôle d’attitude je te laisse t’amuser avec ma peau. Il est rare de te voir si téméraire… Mais au fur et à mesure que tu progresses sur mon torse, je me rends compte que tu prends bien plaisir à ce que tu fais, tu n’es pas brusque mais attentionné à tes caresses… Je me doutais bien qu’il y avait quelque chose qui se tramait, c’est bien pourquoi j’hésitais à te sauter dessus sans crier gare… maintenant, j’en suis sûr ! Tes doigts frôlent maintenant mon pantalon et je mets fin à ta dominance et reprends le dessus, c’est moi le maître ici, après tout ! Je te regarde d’un œil gourmand alors que j’enlève ce qu’il te reste de vêtements. Oui, il y a une grande différence entre toi et moi… moi, c’est ma concupiscence qui m’a poussé à te toucher ainsi alors que toi, tes caresses, elles sont dirigées par un sentiment que je ne comprendrai décidément jamais…
Auteur/Artiste : Plume de Plomb
Couple : Orochimaru x Kabuto
Fandom : Naruto
Rating (G, PG, PG-13, R, NC-17) : R pour le lime
Thème (numéro et nom) : n°4 Toi et moi
Disclaimer : M. Kishimoto, je suis de retour
Vous m’avez joué un bien mauvais tour !
La team de Plume de Plomb (qui ne compte qu’un membre) plus rapide qu’un ver de terre !
Rendez-moi mes persos, ou alors, vous passerez votre vie à peler des pommes de terre !
(Non, non, le disclaimer, il est inspiré de rien du tout)
Note: haaa, je l'ai enfin fini et avec de la fièvre en plus, je suis folle... Orochimaru m'a encore l'air OOC, je sais pas ce que j'ai, habituellement, j'arrive à le faire évoluer normalement... c'est peut-être la fièvre...
Je viens de pénétrer dans la salle de recherche et je suis étonné de constater que mon bras droit est encore là, allongé de façon beaucoup trop provocante à mon goût sur le seul fauteuil de la pièce. Pourquoi a-t-il décidé de faire des heures sup ? Pourquoi s’est-il installé comme ça ? Adossé et accoudé contre l’accoudoir derrière lui, il lit un rapport. Sa jambe droite est repliée et sert de pupitre pour le document qu’il examine. Son autre jambe, pend dans le vide, ne reposant pas sur le fauteuil. Le tissu de ses vêtements pourtant amples est tendu contre son corps à cause de sa posture… dévoilant ainsi d’appétissants contours. Il est vraiment désirable… Là d’où je suis, de l’autre côté du fauteuil, appuyé sur le dossier, je peux voir l’expression de son visage, concentrée. Tiens, la veine de sa tempe et celle de son cou paraissent plus voyantes… quand elles sont ainsi, c’est qu’il est embarrassé… faut dire aussi, le dévorer du regard comme je le fais, ça ne peut que le rendre mal à l’aise. Rha, je sais qu’il faut pas que je lui saute dessus, je le sais, mais c’est trop dur de tenir ! C’est incroyable, comment voulez vous vous retenir de ne pas sauter sur un corps pareil alors qu’il vous suit partout ? En plus, si je ne me retiens pas, je risque de perdre mon bras droit… Bah, je peux toujours lui demander la permission non ?
- Kabuto…
- Hum ?
- Je meurs d’envie de faire quelque chose mais ça risque de faire du mal à une personne dont j’ai encore besoin…
- Ne me dites pas que vous avez peur de prendre des risques, Orochimaru-sama !
Il lève alors les yeux vers moi avec une lueur d’incompréhension. Ou alors il se fout de moi ou alors il n’a rien compris ! La dernière solution me paraît plus adéquate…
Et maintenant, par sa faute, je n’ai plus aucunes raisons de me retenir ! Je fais quoi maintenant ?
En plus, j’ai vraiment l’air d’un imbécile de me parler à moi-même, on dirait un ado en pleine crise d’adolescence !
Et pis zut, je suis un méchant non ? J’aime bien me délecter de la souffrance des autres, alors, pourquoi je me soucierais de mon bras droit ? Parce que c’est mon bras droit que je n’en aurais peut-être jamais d’autres comme ça ? Ben tant pis pour moi alors !
- Moui, c’est vrai, tu as raison, Kabuto-kun…
Pendant que je parle, je contourne le fauteuil pour me diriger à sa hauteur. Je fais glisser une main sur sa jambe repliée et il me regarde maintenant bizarrement. Dans ses yeux on peut lire un truc du genre « non, il ne va quand même pas …? » Ho oui mon grand, je vais !
Je ne peux pas m’empêcher de lui sourire avec mon habituel rictus de sadique… Il est super tendu sous ses vêtements mais ce n’est pas bien grave, je vais arranger ça… Partie de sa cheville, ma main est maintenant arrivée à mi-cuisse. C’est amusant de le voir ainsi crispé... Il n’est qu’encore plus désirable. Je me penche alors vers lui et me charge de fusionner ses lèvres avec les miennes. Ses yeux manquent de le quitter tellement ils sont écarquillés et il se crispe encore plus. N’ayant pas vraiment de participation de son côté, je m’attaque alors à son cou, là où sa veine ressort, signe de son embarra. Il a une peu très pâle qui marque divinement bien. Mais sans réactions venant de sa part, ce n’est pas très amusant. Cependant je ne vais pas abandonner à si bon chemin, en plus, maintenant que j’y ai goûté, je n’ai plus l’intention de le lâcher ! Je remonte vers son oreille pour lui suçoter lascivement le lobe.
- Allez, détends-toi, laisse-toi aller, ça ne peut te faire que du bien !
C’est amusant de le voir débattre avec lui même. Bien sûr qu’il sait que ça ne peut que lui faire du bien, c’est même ça le problème ! Le petit diable et le petit ange se battent et comme dans tout leurs combats, je sais très bien que c’est le petit diable qui va encore une fois vaincre, je ne m’en fais donc pas pour ça et retourne à mon repas, marquant une seconde fois son cou. Hum, le voilà qui réagit enfin, j’aime beaucoup les réactions de sa peau d’ailleurs. Donc, le petit diable a gagné ! Magnifique, il ne m’a pas trop fait attendre en plus ! Je remonte alors vers les lèvres de Kabuto, m’en emparant encore une fois et cette fois, j’ai une réponse. Je lui lèche la lèvre inférieure et la suçote avant de m’emparer complètement de sa bouche. Sa langue tente de forcer l’entrée de ma bouche… je ne le connaissais pas si téméraire ! Amusé par ce comportement, je le laisse faire sans pour autant lui laisser prendre le dessus. S’en suit alors un combat que je trouve agréable pendant lequel j’en profite pour passer mes mains sous le t-shirt de mon bras droit qui étouffe des soupirs de plaisir sous mes caresses. J’abandonne à nouveau ses lèvres pour me livrer à l’exploration de son corps. Je ne peux vraiment pas me limiter à son cou et hôte son t-shirt qui emporte avec lui ses lunettes. Je me demande bien pourquoi il les porte, ça ne lui va vraiment pas !
Enfin, je ne suis pas là pour disserter sur ses lunettes mais plutôt pour me repaître de sa chair.
Kabuto, je ne sais vraiment pas ce que tu as mais tu es très entreprenant aujourd’hui… d’un coup de rein, c’est toi qui te retrouves à califourchon sur moi et tu t’emploies à ôter mes vêtements. Amusé par cette drôle d’attitude je te laisse t’amuser avec ma peau. Il est rare de te voir si téméraire… Mais au fur et à mesure que tu progresses sur mon torse, je me rends compte que tu prends bien plaisir à ce que tu fais, tu n’es pas brusque mais attentionné à tes caresses… Je me doutais bien qu’il y avait quelque chose qui se tramait, c’est bien pourquoi j’hésitais à te sauter dessus sans crier gare… maintenant, j’en suis sûr ! Tes doigts frôlent maintenant mon pantalon et je mets fin à ta dominance et reprends le dessus, c’est moi le maître ici, après tout ! Je te regarde d’un œil gourmand alors que j’enlève ce qu’il te reste de vêtements. Oui, il y a une grande différence entre toi et moi… moi, c’est ma concupiscence qui m’a poussé à te toucher ainsi alors que toi, tes caresses, elles sont dirigées par un sentiment que je ne comprendrai décidément jamais…