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Impossible de résister à l'appel du nano. Du coup, j'essaye de me désenfouir encore un peu de mon épaisse couche de métro-boulot-petipo-duplo-popo-crédit immo-dodo. j'arrivais déjà à me lever à 5h30 (ouch, ouch, ouch) et à manuscrire dans le métro, mais à présent, je repasse au numérique, c'est décidé ( Read more... ) -
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Intriguée, j'ai cherché le camp nano sur le web et j'ai trouvé ça :
exactement ce qu'il me faut. -
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ça y est, je suis complètement déformée par les zibouks. Maintenant, quand je vois un bouquin, je le veux TOUTESUITE et pas le temps d'aller le chercher (comme si j'allais encore à la FNAC) ou encore moins d'attendre que coliposte trouve ma boîte aux lettres au bout de 4 ans ( Read more... ) -
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un clodo pyromane échangerait des informations à Bernard contre le droit de mettre un tout petit peu le feu à sa barbe ( Read more... ) -
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Toujours pas de Bismarck, mais en attendant son arrivée, les excavations se poursuivent pour Bernard et ses amis. On ne sait toujours pas vraiment où ça va, mais il commence à y avoir des peintures sur les murs, des kimonos sur les vieilles dames, de la poussière dans les peaux de chèvres, des tentatives d'envoûtement nocturne etc, donc moi ça me ( Read more... ) -
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je vois passer les posts sur le nanowrimo et je me demande à quoi va ressembler mon mois de novembre ( Read more... ) -
où est passée la vizirette?
Il y avait Roméo et Juliette, Didon et Enée, Jeanne et Serge, George Sand et Chopin, Samson et Dalila, Tristan et Yseult ( Read more... ) -
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Mon notebook sent le parmesan.
(ou les pieds). -
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Hier j'ai décidé de mettre fin à des mois d'inculture cinématographique et j'ai loué le dernier Polanski. Au-delà de la mise en scène et des décors sublimes, c'était bien un peu n'imp ce scénario non ? Il m'a semblé relever un cas de "so what" abyssal (en général quand on est obligé de sortir la CIA et les crimes contre l'humanité, c'est qu'on est ( Read more... ) -
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Je viens de passer l'après-midi avec Bernard. Je suis plutôt contente de ma révision de plan à base de désastres. C'est le bon niveau de granularité pour moi, cette unité de narration (le désastre), et sa nature - catastrophique par définition - oblige à se mettre en déséquilibre, pas possible d'oublier d'injecter du conflit, pas possible de s' ( Read more... )