ETUDIANTS CONGOLAIS
La guerre est une Toundra difficile à traverser. Comme la page blanche de Bachelard. Les étudiants Congolais en savent quelque chose depuis les années difficiles traversées par leur pays avec Lissouba, Sassou et Kolélas. Ils pensaient leurs tourments terminés grâce à des bourses d’étude à l’étranger obtenues pour certains avec le coup de pouce du népotisme pour d’autres avec des larmes et du sang, à la sueur de leur front et de leurs aisselles. Mais, ironie du sort, c’était compter sans le retournement acrobatique de l’histoire que Marx aurait pu définir comme la lutte des crasses.