Hana Yori Dango I
Détails
épisodes : 9
Durée : Environ 46min/épisode. 59min pour le n°9.
Casting : - Tsukushi Makino : Mao Inoue
- Tsukasa Domyoji : Jun Matsumoto
- Rui Hanazawa : Shun Oguri
- Soujiro Nishikado : Shota Matsuda
- Akira Mimasaka : Tsuyoshi Abe
Adapté du manga du même nom de Kamio Yoko (36 tomes)
Résumé aproximatif sauce Zoo, à ne pas prendre au sérieux parce que kikoulol : Dans la grande et merveilleuse école d'Eitoku, là où tous les enfants des plus grosses fortunes du Japon se réunissent, une seule élève se demande ce qu'elle fait là. Tsukushi Makino, jeune fille pauvre, est la seule personne lucide et critique de son lycée. Elle ne suporte pas l'attitude pourrie de ses camarades de classe, qui ne jurent que par l'argent de leurs parents. Cependant il y a une chose qui la révolte encore bien plus ; le F4. Derière cette nomination ridicule (flower four... il faut rire ou pleurer?) se cache quatres garçons, fils des hommes d'affaires les plus important du Japon (enfin Domyoji n'a pas de père hein et s'il en a un ben c'est l'homme invisible :p). Ils sont les vrais dirigeant d'Eitoku et mènent la vie dur aux étudians osant se « rebéler ». (à savoir si faire gicler du jus d'orange dans l'oeil de D est une sorte de rébélion...) Alors que Tsukushi fait son possible pour passer sa dernière année de lycée le plus tranquilement possible, elle arrive (enfin) à se faire une amie. Celle-ci, toute mignonne et toute frèle (on y croit), renverse par mégarde (hm) son verre de jus d'orange (décidement!) sur Domyoji (toujours lui!) Saperlipopette!!! c'est la catastrophe, style hiroshima en plus pire, ouais ouais! Le garçon enlève sa chemise en faisant péter tous les boutons parce que c'est plus rapide, plus mec et en plus il a au moins une centaine de chemises de la même coupe dans sa garde robe et puis de toute façon il a un marcel dessous, parce que quand même il ne peut tout de même pas se présenter torse nu dans la cantine du lycée, et pis le marcel noir avec la chaine ça fait bad boy, c'est bien connu. Il est donc en marcel devant la mimi-choupette-traumatisée-niaise jeune fille et il se plainnntttttt, d'une certaine façon. Ça serait con qu'il attrape la crève. Seulement : « Zoro est arrivéeeeeeee, sans s'presseerrrrrrrr » ! Un retentisant « Ya [gros blannnccc] mete kudasaille (je vous la fait phonétique hein) » (« arrête s'il te plait » pour les non japonisant). Et c'est là que tout commence! Tsukushi, qui c'est promis de se faire toute petite durant sa scolarisation, à ouvert sa gueule et je peux vous assurer qu'elle n'est pas prète de la fermer, pour notre plus grand plaisir. Bon ensuite elle reçoit la carte rouge (le bidule qui signifis qu'elle n'est plus la bienvenue à Eitoku parce que le F4 ne la kiff pas grave mortel) s'en suit un ijimé en rêgle : Oeuf, bureau déplacé, seau d'eau, serpents dans le casier, tentative de viole... Sauf que : Tsukushi est une mauvaise plante (ça serais même pas drôle sinon) (d'ailleur c'est ce que signifie son prénom, le hasare existe-il?) donc ça ne la touche pas ou presque. En plus elle est « soutenue » par un des membres du F4 qui n'approuve pas les méthoes utilisé et qui la trouve plutôt marrante, Rui Hanazawa. Évidement elle le trouve plutôt beau, sympaskikoulolmdr \o/. Seulement elle va trouver le moyen de foutre à D un magistrale coup de poing avant la fin du premier épisode, ce qui ne manquera pas de rapeler au jeune homme sa soeur et qui donc fera naitre en lui une passion toute nouvelle (nan nan cela ne traite ni d'inceste ni de sister complex =_=;). Notre héroïne est donc prise dans un triangle amoureux mélé entre haine et amour. (Je vous rassure l'histoire est bien mieux en vrai :p.)
Résumé, le vrai cette fois : Tsukushi Makino vient d'une famlle modeste, voire même pauvre, mais ses parents et son petit frère se saignent aux quatre veines pour lui permettre de fréquenter le très côté lycée Eitoku où se rassemble la crème de la crème de la haute société Tokyoite. D'un tempérement normalement indomptable, Tsukushi souffre beaucoup de devoir supporter sans rien dire les frasques et les méchancetés de ces enfants de riches, en particulier celles du F4, un groupe rassemblant les quatre garçons les plus riches de l'école. Qui dit les plus riches, dit les plus puissants, et surtout les intouchables de l'école, dont le bon vouloir peut décider de l'avenir de tel ou tel...
Mais si Tsukushi avait décidé de rester à l'écart de tout ça, elle ne peut pas refouler son caractère droit et généreux lorsque c'est à son amie que Tsukasa Domyoji, le chef du F4, décide s'en prendre. Devenue la bête noire du F4 (et donc par voie de conséquence de l'ensemble de l'école), Tsukushi va devoir se battre, malgrè les sentiments qu'elle éprouve pour le plus effacé du F4, Rui, pour prouver à Tsukasa que ce n'est pas parce qu'il a de l'argent que tout le monde rampera devant lui, et surtout pas elle. Réaction que le dit Tsukasa a l'air de beaucoup apprécier...
(Source : calci)
Avis de moua parce que, merde, c'est le but de tout ça : Mon commentaire pourrait se limiter à : « C'est génial, D est trop beau, je suis fan ; regardez, ça le vaut bien. » Seulement je me suis promise de rester totalement objective alors oubliez tout ce que j'ai déjà dis sur ce drama et c'est parti :
Soyons ordonné et commençont par le début soit l'histoire en elle même : C'est classique. Une fille pauvre qui se retrouve dans un lycée uppé et largement au dessus de ses moyens, on connait. De même que le coup classique du « elle est la seule qui soit lucide et la seule qui ouvre sa gueule. » Et puis en prime on a les beaux gosses qui se la pêtent et pas qu'un peu, les ijimés, et les pauvres connes qui font chier. C'est du beau tout ça va.
Évidement dans le groupe il y a un déprimé chronique (Rui), un dragueur gentil quand même (Nishikado), un laddy killers tout aussi sympas (Mimasaka) et un abruti violent mais tellement choupi au fond de lui-même qu'on lui pardonne (Domyoji). Bien évidement tous les quatres n'ont pas une famille extra malgré tout leur frics mais ça on l'apprendra tout a long de la série (sauf pour Rui, sa vie été zappé sans qu'on sache trop pourquoi alors que cela explique sa personnalité et sa relation avec Shizuka.)
Après bonjour les situations classiques :
- L'abrutit qui tombe amoureux de la seule fille qui n'a jamais osée se rebéler contre lui seulement elle aime son meilleur ami.
- Il faut toute la série pour que l'héroïne s'avoue à elle même qu'elle aime D.
- Quand on pense que tout est (enfin) pour le mieux et qu'on s'est enfin débarassé de tous les obstacles d'autres apparaissent à nouveau.
Etc etc... bref dit comme ça c'est pas terrible et emplit de clichés mais Hanadan est un drama ultra rafraichissant.
Parce que malgré ses clichés et ses situations déjà vu (triangle amoureux, vengeance de bas étages, baston, jalousie, la mère qui ne veut pas que son fiston finisse avec une fille du peuple...) on ne peut s'empécher de vouloir en savoir plus.
Le jeu des acteurs est bon, les rebondissements ne sont pas si prévisibles que cela et pour couroner le tout, c'est bien filmé. On voit qu'il y a un budget et du travaille derière.
Et puis ce n'est pas trop long, 9 épisodes de 49 mins c'est largement suffisant. On n'a pas le temps de s'ennuyé, le rythme de l'hitoire aidant.
Alors, oui, on veut absolument mettre en valeur le F4 et surtout D, oui il y a des scènes qui font peut être pitié (la scène du marcel par exemple, ou le fameux premier baiser entre Tsukushi et D) mais ç rajoute au charme de la série ^^.
Laissez tomber tous vos préjugés et jetez au moins un coup d'oeil au premier épisode.
Surtout qu'au départ c'était pas gagné. Allez résumer un manga de 36 tomes comme ça vous, d'autant plus que les 36 tomes sont denses. Les scénaristes ont sut doser avec justesse le tout en contractant certains personnages comme Sakurako, en éliminant bons nombres de passages sans intérêts ou en les fusionnant (la fameuse scène du 1er baiser).
Mais le travail le plus formidable c'est sûr les personnages eux mêmes. Ils sont certes intéressant dans le manga mais restent vraiment caricatural. Dans le manga ils sont plus fins. Tsuki n'est pas bête comme elle peut l'être dans la version papier (ça fait peur des fois) et D est bien plus humain, plus réel. Malgré sa bêtise bien réel on sent autre chose qui n'est pas présent dans le manga.
Je suis aussi très heureuse du rôle de Rui, moins chiant que dans le manga (ouais, j'ai pas réussit à l'aimer dans la version papier) et puis il est touchant quoi! (enfin surtout dans la saison II) Nishikado et Mimasaka sont aussi plus attachants, plus présents, plu impliqués, bref je les aimes bien (même si, contrairement au manga ce ne sont pas des beaux gosses *sifflote*). Mais ma plus grande surprise l'ai eu avec Yuki (la meilleure amie de T), la famille de T et la patronne de la boutique de Dango. Pour la première elle est vraiment mignonne, très attachante alors que dans le manga c'est une tête à claque (selon moi), la deuxième est vraiment très éloigné de sa version d'origine et c'est vraiment bien parce que je ne supporte pas la mère de T sur papier, là ils font vraiment famille aimante, c'est choux, ça fait du bien. La dernière n'existe même pas dans le manga, ou alors elle apparaît deux fois. Là elle a un petit rôle et elle est vraiment délirante XD.
Bref j'aimmmmmeeeeuhh.
Mes points noirs malgré tout :
Je n'ai pas du tout accroché aux personnages de Shizuka et Tsubaki alors que je les adore dans le manga. C'est bien simple Shizuka me fout de l'urticaire tellement elle est insipide et Tsubaki n'est pas du tout la grande sœur fière et forte de D, elle fait même un peu gamine je trouve. Sinon la façon de foutre des coups de poings de T est... ridicule =___=; Je sais, on s'en fout mais c'est vraiment pathétique quoi.
Les + :
D est beauuuuuu *_____*
L'ost est réussi. Il y a même une petite musique qui fait penser à HP. Et puis Planétarium est vraiment une très belle chanson, toujours placé au bon moment. (épisode trois, D entre dans une boite de nuit pour casser la gueule à tout le monde et hurle sa douleur alors que T pleure sur un pont, magnifique >__<).
L'opening le vaut bien (bon il est chanté par Arashi hein (non non je ne suis pas de parti pris parce que D en fait parti.))
Des scènes magnifiques comme celle de l'épi trois.
Des phrases qui retournes le cœur. (« allons voir les étoiles, saturnienne. »)
Du rire et des larmes.
Donc pour résumer :
C'est rafraichissant, pas trop long, bien joué et filmé, on rit et on pleure, bref on s'emmerde pas quoi et le couple D et T est vraiment mignon.
Note : ♥♥♥♥♥
(Je suis sûre que j'ai oublié un tas de chose mais je clos pour de bon le sujet Hanadan saison I parce que sinon j'en finirais jamais.)