Zejabel profite de sa liberté
Hier, j’ai passé mon dernier partiel de l’année, et on nous a rendu les mémoires.
Maintenant, je suis officiellement en vacances !
... Même si j’ai encore quelques trucs à faire comme trouver mon stage de PREP.
Le dernier partiel...
Le dernier partiel était celui d’historiographie, soit le programme le plus lourd alors que ce n’est que coefficient 1. J’ai passé de longues heures à réviser, seule ou avec des amies. Certes certaines séances de révisions ont dévié de leur fonction première et se sont changées en séances de photo, mais j’ai tout de même bien bossé.
Le problème des marges, comment couper les périodes, l’école méthodique, l’école des Annales, la théorie des trois idoles, la loi des trois états... Et des dates, des auteurs... tout ça dans ma petite tête.
Le jour du partiel, tout le monde qui stresse, qui parle, qui pose des questions à tout va. Ambiance classique d’avant un partiel. Tout le monde se dit que ce partiel va être complètement foiré. Au fond, je m’en fichais, même si j’avais 2 ou 3 j’aurais eu mon semestre, mais je voulais quand même avoir une bonne note.
Arrivée dans la salle, je grimpe en haut de l’amphi pour atteindre ma place, la place 234, je m’en souviens, c’était facile à retenir comme chiffre. Mes voisins qui stressent, moi qui prépare mes affaires.
Puis on nous distribue les sujets. Deux questions, on en prend une au choix. Désespoir. Les deux sujets sont faciles, et je sais quoi y dire. Lequel prendre ? « Discuter la notion de l’événement en histoire » ou « L’historien peut-il se contenter d’une seule échelle temporelle ? » Les deux sujets sont intéressants et se recoupent. Les deux me tentent. J’ai opté pour le premier car le plan me venait tout de suite en tête. Et pratiquement tout l’amphi a fait la même chose que moi.
Au final, ce partiel était donc sympa, et les séances de révisions aussi.
Après le partiel, nous avions rendez-vous avec la prof’ de méthodes pour qu’elle nous rende notre mémoire. Elle est arrivée en retard car elle était coincée dans le métro, mais ce n’est pas grave ! Nous avons profité de ce temps pour manger (panini nutella pour moi) et pour parler.
Le mémoire...
Précédemment, je vous ai parlé d’un mémoire. C’était un mémoire de groupe, en METH2 (méthodes sociologiques, deuxième semestre). Nous avions tout d’abord choisi la drogue et le sujet avait été refusé (après avoir été accepté). Nous avions donc ensuite pris le tatouage comme sujet d’étude. Des heures de travail, de réunions, de lectures...
Et au final, nous avons eu... 16,5/20 !
Et même que la prof’ a voulu garder un exemplaire de notre mémoire pour le montrer aux générations futures.
Maintenant, je n’ai plus qu’à attendre le lundi 16 juin, à 15h pour avoir mes autres notes. J’en connais déjà quelques unes, les notes de TD. Il ne me manque plus à savoir que mes notes d’amphi. Mais au final, je sais déjà que j’ai mon semestre !
Le stage de PREP...
L’unité d’enseignement PREP (préprofessionnalisation aux carrières de l’enseignement) se déroule sur deux années. Elle commence au second semestre de la première année, avec des cours, et en deuxième année il faut faire un stage d’observation dans une école. Ce stage doit durer 70 heures et se dérouler en partie en septembre, et quelques jours un peu plus tard.
Il faut donc que j’aille voir dans les écoles s’ils veulent bien de moi. J’y suis déjà allée, il y a un moment, mais la convention de stage fournie par la fac comportait une erreur de date et l’école n’a pas accepté. Il faut donc que j’y retourne avec la bonne convention.
J’irai demain ou vendredi.
Là, je profite de ma liberté !