Londres. Bowie is at V & A Museum (12 juillet)
Ça, c'était l'argument officiel pour justifier un nouveau voyage à Londres : l'expo David Bowie au Victoria & Albert Museum. J'aime beaucoup trouver des arguments officiels imparables pour justifier mes voyages, et celui-là était le plus imparable qu'on puisse me proposer !
Évidemment, il y avait un monde fou, mais nous étions prévenues, psychologiquement parées à affronter les foules, et sommes arrivées assez tôt pour être sûres d'avoir des places. Vers 11h30, nous avions enfin nos billets, et sommes allées casser la croûte dans la jolie cour du musée avant de lancer l'offensive.
Muhuhuhu. Hum.
Superbe expo, au résultat, très grande et très complète, explorant les différentes facettes de la carrière de Bowie depuis ses débuts, ses sources d'inspiration, ses méthodes de travail, ses influences. Beaucoup de costumes de scène exposés, beaucoup de vidéos aussi, dont une projection sur écrans géants, à 360 °, du mythique Rock n'roll suicide de Ziggy Stardust, au Hammersmith, qui me retient un sacré bon moment.
N'empêche que Cécilia, qui ne connaissait pas particulièrement Bowie, se révèle encore plus acharnée que moi. Je sors avant elle, persuadée qu'elle a déjà fini et trépigne en m'attendant, la cherche dans toutes les salles du musée, et nous passons bien une heure à remettre la main l'une sur l'autre.
Retour à la cour du musée, où un concert de musique mexicaine nous permet un moment de repos bien mérité.
Un dernier tour dans les salles du bas, ouvertes en nocturne, un fragment de concert attrapé à la porte d'une chambre dorée, un dernier regard à la fabuleuse suspension de verre soufflé, dans le hall, et nous partons en quête d'un dîner plus substantiel que le demi-sandwich du déjeuner.
Ce sera finalement fish n'chips au Bunch of grapes, un pub très sympa de Brompton Doad, découvert il y a quelques années. Puis dûment lestées, à la nuit tombée, nous poursuivons la balade jusqu'à Hyde Park corner.
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Évidemment, il y avait un monde fou, mais nous étions prévenues, psychologiquement parées à affronter les foules, et sommes arrivées assez tôt pour être sûres d'avoir des places. Vers 11h30, nous avions enfin nos billets, et sommes allées casser la croûte dans la jolie cour du musée avant de lancer l'offensive.
Muhuhuhu. Hum.
Superbe expo, au résultat, très grande et très complète, explorant les différentes facettes de la carrière de Bowie depuis ses débuts, ses sources d'inspiration, ses méthodes de travail, ses influences. Beaucoup de costumes de scène exposés, beaucoup de vidéos aussi, dont une projection sur écrans géants, à 360 °, du mythique Rock n'roll suicide de Ziggy Stardust, au Hammersmith, qui me retient un sacré bon moment.
Click to viewN'empêche que Cécilia, qui ne connaissait pas particulièrement Bowie, se révèle encore plus acharnée que moi. Je sors avant elle, persuadée qu'elle a déjà fini et trépigne en m'attendant, la cherche dans toutes les salles du musée, et nous passons bien une heure à remettre la main l'une sur l'autre.
Retour à la cour du musée, où un concert de musique mexicaine nous permet un moment de repos bien mérité.
Un dernier tour dans les salles du bas, ouvertes en nocturne, un fragment de concert attrapé à la porte d'une chambre dorée, un dernier regard à la fabuleuse suspension de verre soufflé, dans le hall, et nous partons en quête d'un dîner plus substantiel que le demi-sandwich du déjeuner.
Ce sera finalement fish n'chips au Bunch of grapes, un pub très sympa de Brompton Doad, découvert il y a quelques années. Puis dûment lestées, à la nuit tombée, nous poursuivons la balade jusqu'à Hyde Park corner.
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