Carrousel, jazz sur l'Erdre et autres plaisirs nantais
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Début septembre dernier, retour à Nantes chez Féli et Ally avec plein de jolies choses au menu, dans l'été finissant.
Le 1er, jour de mon arrivée, on commence par le Carrousel des Mondes Marins, inauguré depuis peu et où je retrouve, désormais intégrées à leur structure définitive, les machines découvertes deux ans plus tôt...
Mon vieux pote le dragon s'est établi à l'étage supérieur - à la surface de l'eau - d'où la vue est chouette mais où la mise en scène des attractions reste relativement classique.
A l'étage en-dessous, en revanche - dans les profondeurs de la mer -, les créatures sont suspendues en l'air, et on y accède par de petites passerelles rétractables. Évidemment, c'est dans une de celles-là qu'on décide de monter !
Très exactement, celle ci-dessous :
Là dedans, il y a plein de manivelles à tourner, de leviers à pousser, de pédales à pédaler et de trucs à truquer. Et les adultes - qui s'en étonnerait ? - s'éclatent encore plus que les gosses !
♠
Retour sur la terre ferme, alors que l'après-midi s'étire doucement vers sa fin.
Traversant le centre-ville, nous gagnons les bords de l'Erdre, où les rendez-vous du même nom nous promettent "Jazz et Belle Plaisance". En somme, de la musique et des bateaux. Des bateaux en tous genre et à la pelle, qui ont peu à peu descendu la rivière depuis Nort-sur-Erdre et à l'arrivée desquels nous assistons, installées sur les berges de l'île de Versailles.
Il y a même un porte-avion !
Sans blague :
Ca commence à s'entasser dur, dans le bassin Ceineray...
Mais cela ne semble guère perturber les marmottes.
Un ban d'honneur pour ceux qui doivent tout gérer à la voile...
...sous les auspices bienveillants d'un canard en tête de mât.
Pour dîner, des échoppes aussi variées que l'amas de coques en contrebas, nous proposent des saveurs venues des quatre coins du monde. Mieux vaut arriver tôt : la foule enfle déjà, et il devient difficile de trouver une place sur les grandes tables dressées au bord de l'eau.
♠
Pour finir la journée en beauté, plus qu'à s'offrir un tour de fête foraine avec grande roue, tir à la carabine et peluche pour Féli !
♠ ♠ ♠
Le lendemain, c'est nous qui sommes sur l'eau.
Nous louons un petit bateau électrique à Vertou, et partons pique-nique en sacs pour quelques heures délicieuses sur la Maine.
Départ de la Chaussée des Moines.
La vie est dure, mais nous sommes fortes.
♠ ♠ ♠
Le 3 septembre, on retrouve Arca et on va voir Jules.
Après une matinée de flânerie (ou de boulot pour certaine), rendez-vous aux Chants d'Avril, délicieux bistrot gastronomique caché dans une petite rue de l'ancienne île Gloriette. Un coin que je ne connaissais pas du tout, tout comme le quartier Sainte-Anne où nous nous rendons ensuite malgré les pièges perfides que nous tend le bus.
Jules Verne enfant contemple le capitaine Nemo, qui contemple la Loire à quelques pas du musée dédié à son créateur (la grande maison blanche en arrière-plan, où l'auteur n'a jamais dû mettre les pieds puisqu'il est né sur l'île Feydeau, mais où l'on installerait bien ses pénates avec vue sur le fleuve.)
Mais qu'est-ce donc que ce grand arbre blanc ?
Après la visite du musée (petit mais intéressant et fort joli), le ciel s'est superbement dégagé et on termine par une balade sur le quai de la Fosse, avec le Carrousel en toile de fond et un détour par le mémorial de l'abolition de l'esclavage.
♠ ♠ ♠
Le jour suivant sera consacré aux autres oeuvres de l'Estuaire, joli parcours jusqu'à la mer que j'illustrerai dans un prochain post. Celui-ci est déjà bien assez long !
Début septembre dernier, retour à Nantes chez Féli et Ally avec plein de jolies choses au menu, dans l'été finissant.
Le 1er, jour de mon arrivée, on commence par le Carrousel des Mondes Marins, inauguré depuis peu et où je retrouve, désormais intégrées à leur structure définitive, les machines découvertes deux ans plus tôt...
Mon vieux pote le dragon s'est établi à l'étage supérieur - à la surface de l'eau - d'où la vue est chouette mais où la mise en scène des attractions reste relativement classique.
A l'étage en-dessous, en revanche - dans les profondeurs de la mer -, les créatures sont suspendues en l'air, et on y accède par de petites passerelles rétractables. Évidemment, c'est dans une de celles-là qu'on décide de monter !
Très exactement, celle ci-dessous :
Là dedans, il y a plein de manivelles à tourner, de leviers à pousser, de pédales à pédaler et de trucs à truquer. Et les adultes - qui s'en étonnerait ? - s'éclatent encore plus que les gosses !
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Retour sur la terre ferme, alors que l'après-midi s'étire doucement vers sa fin.
Traversant le centre-ville, nous gagnons les bords de l'Erdre, où les rendez-vous du même nom nous promettent "Jazz et Belle Plaisance". En somme, de la musique et des bateaux. Des bateaux en tous genre et à la pelle, qui ont peu à peu descendu la rivière depuis Nort-sur-Erdre et à l'arrivée desquels nous assistons, installées sur les berges de l'île de Versailles.
Il y a même un porte-avion !
Sans blague :
Ca commence à s'entasser dur, dans le bassin Ceineray...
Mais cela ne semble guère perturber les marmottes.
Un ban d'honneur pour ceux qui doivent tout gérer à la voile...
...sous les auspices bienveillants d'un canard en tête de mât.
Pour dîner, des échoppes aussi variées que l'amas de coques en contrebas, nous proposent des saveurs venues des quatre coins du monde. Mieux vaut arriver tôt : la foule enfle déjà, et il devient difficile de trouver une place sur les grandes tables dressées au bord de l'eau.
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Pour finir la journée en beauté, plus qu'à s'offrir un tour de fête foraine avec grande roue, tir à la carabine et peluche pour Féli !
♠ ♠ ♠
Le lendemain, c'est nous qui sommes sur l'eau.
Nous louons un petit bateau électrique à Vertou, et partons pique-nique en sacs pour quelques heures délicieuses sur la Maine.
Départ de la Chaussée des Moines.
La vie est dure, mais nous sommes fortes.
♠ ♠ ♠
Le 3 septembre, on retrouve Arca et on va voir Jules.
Après une matinée de flânerie (ou de boulot pour certaine), rendez-vous aux Chants d'Avril, délicieux bistrot gastronomique caché dans une petite rue de l'ancienne île Gloriette. Un coin que je ne connaissais pas du tout, tout comme le quartier Sainte-Anne où nous nous rendons ensuite malgré les pièges perfides que nous tend le bus.
Jules Verne enfant contemple le capitaine Nemo, qui contemple la Loire à quelques pas du musée dédié à son créateur (la grande maison blanche en arrière-plan, où l'auteur n'a jamais dû mettre les pieds puisqu'il est né sur l'île Feydeau, mais où l'on installerait bien ses pénates avec vue sur le fleuve.)
Mais qu'est-ce donc que ce grand arbre blanc ?
Après la visite du musée (petit mais intéressant et fort joli), le ciel s'est superbement dégagé et on termine par une balade sur le quai de la Fosse, avec le Carrousel en toile de fond et un détour par le mémorial de l'abolition de l'esclavage.
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Le jour suivant sera consacré aux autres oeuvres de l'Estuaire, joli parcours jusqu'à la mer que j'illustrerai dans un prochain post. Celui-ci est déjà bien assez long !