Un week-end à Saint-Malo (2b/4) : l'Etoile et le Sillon
Suite de la journée du 18 février.
L’Étoile du Roy, frégate corsaire amarrée dans le port, juste devant nos voitures, nous appelait depuis la veille de tout son gréement. Après une pause déjeuner tardive, nous partîmes donc nous prendre pour Jack Aubrey entre deux canons et trois mâts.
Dans l'oeil vigilant du capitaine, se reflète l'infinie immensité du grand large...
(Mais si, mais si. Grand large : c'est marqué derrière.)
L'Etoile du Roy n'est pas le seul vieux gréement amarré à ce quai...
Pour finir la journée en beauté, longue balade sur la digue du Sillon face à un ciel changeant à l'infini, de plus en plus beau à mesure que le soleil descend sur la mer...
Aussi tourmentés que l'océan dont ils brisent les ardeurs, ces vieux troncs me fascinent.
Du côté de Paramé
L’Étoile du Roy, frégate corsaire amarrée dans le port, juste devant nos voitures, nous appelait depuis la veille de tout son gréement. Après une pause déjeuner tardive, nous partîmes donc nous prendre pour Jack Aubrey entre deux canons et trois mâts.
Dans l'oeil vigilant du capitaine, se reflète l'infinie immensité du grand large...
(Mais si, mais si. Grand large : c'est marqué derrière.)
L'Etoile du Roy n'est pas le seul vieux gréement amarré à ce quai...
Pour finir la journée en beauté, longue balade sur la digue du Sillon face à un ciel changeant à l'infini, de plus en plus beau à mesure que le soleil descend sur la mer...
Aussi tourmentés que l'océan dont ils brisent les ardeurs, ces vieux troncs me fascinent.
Du côté de Paramé