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[prompts] pour l'arbre à drabbles

Jul 04, 2009 13:18

Il reste juste six jours pour faire pousser encore quelques branches à l' Arbre à Drabbles !

J'ai tenté de relever les prompts qui se trouvent en bout de branche. J'espère n'en avoir pas oublié...
Quelques uns sont en gras : ceux de branches très peu touffues, qui apparaissent tels quels sans avoir besoin de cliquer sur « développer », donc facilement repérables si vous voulez les compléter.

Pour rappel, vous pouvez partir de la dernière phrase, la moitié de la dernière phrase, le dernier mot, les deux dernières phrases... selon ce qui vous arrange, et changer le temps des verbes ou le genre des pronoms.

***

sa frustration se mord la queue en un cercle vicieux. Et rien pour l’en tirer !

*

où trouver une nappe d’eau potable dans ce monde souterrain où grouillaient les bêtes les plus immondes ?
« À peine plus loin. »

*

Mais si ça voulait dire plus non plus ses meilleurs amis pour partager les meilleurs trucs du monde et tout… Non, il ne veut pas !

*

Il replonge ensuite son nez dans l'oreiller pour s'enivrer une dernière fois des odeurs entêtantes de leur passion. Il espère la revoir vite.

*

Il attendra donc encore. Il est doué pour cela ; la patience est l'une de ses premières qualités.

*

mais tout ira bien : ils croient dur comme octefer être à l'abri de ce problème.

*

Ça énerve Ino, ça affecte Chouji, et il ne veut pas de ça !

*

Du temps du Guet de Nuit, c’était de toute façon l’heure à laquelle j’allais me coucher. »

*

Qu'il le fasse en conclusion d'une course-poursuite, c'est le mieux qu'elle peut rêver.

*

Enfin, il sentait son cou libre.
Victoria lui avait retiré son collier, sans lui avoir glissé à l'oreille un agressif: "Attaque !"

*

bricoler sur les toits est facile en soi. Maintenant qu’elle est bien établie…

*

Comme il lui passait tous ses caprices au début, ça aurait sans doute pris de longues années… mais pas autant !

*

Il n’aime pas parler de ça : pas qu’il soit jaloux de son succès, mais parce qu’il soupçonne que c’est plutôt lié à sa mère encore jeune et tellement distante.

*

Tu n'es plus une nymphe, ma Lolita, mais une déesse et Hélène, enfermée derrière les remparts de Troie, a tout à t'envier.

*

- Ouais, avec un sort que je ne maîtrise pas, forcément.
- Mais non, juste du doigté. »

*

nuit après nuit, parfois elle voit de l’eau, ou le visage d’un jeune garçon, mais du fond de ses rêves elle sait qu’il s’agit toujours du même dragon. Viendra-t-il un jour la chercher ?

*

quand il l'entend lui dire qu'il est bête, que les humains sont bêtes, lui aussi, il se sent s'alléger.

*

Peut-être est-ce pour ça qu'il dit oui, quand elle demande s'il va acheter une maison plus grande, maintenant qu'ils vont vivre ensemble.

*

Si ça avait été le plus beau cadeau que la vie lui ait donné, le lui reprendre était juste impardonnable.

*

L’espionnage, les plans subtils pour servir la Couronne et déjouer l’Empire, sa haine même du tyran, sont-ils autre chose qu’un avatar élégant, conventionnel, de la bouteille de laudanum ?
Une conjuration du néant…

*

Ça ne suffit pas. Alors à la place, il essaie de ne plus penser à la fin : revenir près d’eux, humain et normal, mais seulement aux moyens pour y parvenir.

*

L'assassin soupira face à la charmante étourderie dont faisait parfois preuve le voleur. Il passa une main derrière son dos pour vérifier que les passes-partout que cherchait son partenaire étaient toujours cachés derrière son dos et sourit, amusé.

*

Les requins aux yeux infernaux le grignotent, les crevettes curieuses explorent son squelette et bientôt, il ne reste de lui que le rictus de son crâne poli aux orbites infinies et la ligne droite du couteau rouillé.

*

la jeune fille rejette en bloc la nouvelle amie de son père.
Il lui faut cependant toujours recourir à la langue de sa mère pour lui conter ses tourments et apaiser son cœur.

*

Puis elle essaie de lire Dostoïevsky, Gogol et Tolstoï pour l’impressionner… Malheureusement, ces ouvrages-là Piotr, lui, ne les a jamais ouverts.

*

La jalousie titille de sa pointe ardente l'esprit de L*. Non, elle ne l'accepterait pas. Vlad lui appartient, entièrement.

*

Le temps a fait son oeuvre sur les mémoires, gommé les pires passages, mis en lumière les meilleurs, et cimenté leur relation.
« Mais ne va pas dire pour autant que c’était un voyage de noces ! »

*

Et il lui faudra reprendre sa route, longtemps interrompue.
Le Guerrier Noir procède par toutes petites étapes, constamment ralenti dans sa quête par les démons mineurs qui le pourchassent. Mais il avance !

*

Dans son esprit des paroles plus intimes se bousculent, mais il les garde pour lui même. Même si voir Ophélie s'empourprer lui plairait bien.

*

En sixième année, c’était lui avouer les leurs !
En septième année, la meilleure solution, c’était de lui dire je t’aime.

*

- Comment, ce vieux barbu ? quel scandale !

*

« C’est pour de vrai cette fois, hein… »

*

Seront-ils assez forts pour survivre, ces enfants, leurs aînés sauront-ils les guider, cela suffira-t-il à relever le village de ses cendres, difficile à dire. Mais il veut y croire.

*

Il faut autre chose. Un nouveau but. Une nouvelle source d'énergie. Devenir pour eux un nouveau soutien ?

*

Ses jolie lèvres s'ouvrent finalement:

"Amène-toi. J'ai un autre rendez-vous dans moins de quelques minutes," dit-elle d'un air blasé.

*

Maintenant, il allait rentrer dans le droit chemin, consommer son mariage et trouver comment devenir celui que l’on voulait : le bon époux qui rêve de sa femme, le bon père qui fait un enfant et le bon ami qui enferme ses rêves.

*

Et leur offre de l'huile.
Bumblebee, la matrice ou ses autres compagnons, aucun ne sera victime de SA naïveté.

*

Même si la menace à abattre constitue une cible vivante.
Elle est prête à ce sacrifice.

*

Il ne lui reste que l'obscurité.

*

Même pour un fils de démon.

*

- Pourquoi dois-je t'accompagner...

*

C’est privé, les rêves.
« Oh, non. Tous les rêves sont liés. Ils ne forment un qu’un grand tout. Des tas de… gens les visitent. »

*

Pour le moment il était toujours vivant. Sans savoir que c'était sa dernière journée.

*

Mais on l'y force, jusqu'à ce qu'il en tremble, et quand Nicolaï vient le voir, il ne sait quoi faire à part s'accrocher à lui, penaud, éperdu, toujours aussi dépendant.

*

A la place de la boutique, il ne voit plus qu'un terrain vague.

*

« Et pourquoi c'est à moi de venir faire le ménage ici, d'abord ? »

*

il allait finir par les faire disparaître eux aussi !

*

De toute façon il est trop tard pour reculer : déjà le serveur revient avec leur consommation. Un double banana split, avec toutes les options.

*

« Tu reconnais que tu as séché deux mois sans justification valable ? … Booon. Ben tu me feras trois pages sur les bienfaits de se retirer à la montagne pour s'entraîner. »

*

L'important, c'était le profit (certains jaloux parlaient de vol) et, au fond, en approvisionnant les deux factions, il se satisfaisait d'encourager l'effort de guerre.

*

- M’est égal, ça reste plus sûr et moins chiant qu’infiltrer un bar gay pour récupérer une statuette sacrée en forme de… »

*

Assis l'un à côté de l'autre, ils regardent la broche, cadeau d'un ange.

*

Soyez donc témoins de nos noces funèbres : si je n’ai pu être à lui dans la vie, il sera mien dans la mort.

*

Les comptines répétées ad libertam, c’est hors de question. Les jeux de mémoire, ni le singe ni le cafard n’en sont capables et ça dégénère en dispute.
Restent les devinettes ?

*

Et Ludwig caresse le loup empaillé en souriant. Wolfram sera à lui et rien qu'à lui.

*

l’idée les tente parfois, mais seulement si elles pouvaient être absolument certaines de n’y croiser personne. Du coup, elles n’osent jamais.

*

Elle perdit sa foi en l'art, se considérant comme abject. Sa vie devint une feuille blanche.

*

Car il existait après tout, toutes sortes d'art... et les sons et les expressions qu'il tirait du rouge et or étaient bien la plus belle chose qu'il connaissait.

*

il agita le paquet de cigarettes devant ses yeux. Le loup redevint aussitôt mouton.

*

Seul, dans les bras maternels, il retenait ses larmes pour ne pas aussi la décevoir.

*

- Ok, c’est bon. Je te laisse tranquille.

*

- Et de récolter des ennuis, oui. Parier sur leurs notes, vraiment... On ne sait jamais quelle connerie ils vont inventer ! »

*

« Ou bien, plutôt que mettre votre cousin...e en cause, questionnez votre propre indiscipline. »

*

Ca te rappelle que oui, l'amour, c'est bête, mais qu'est-ce que c'est bon.

*

Cependant, ce à quoi il ne s'habituera jamais... ce sont les piqûres. Or voilà qu’avant de changer ses membres, mamie Pinako se mêle de vouloir lui faire un rappel de vaccin !

*

Nana s’insurge : « Mais c’est pas pareil ! »
Et Yasu sourit, d’un air entendu.

*

"C'est toi !", accusent-il en chœur.

*

Quelle ironie : placée sous le signe de l'Amour, elle n'y aura jamais droit elle-même.

*

Draco était heureux d’avoir pu leur faire l’amour une dernière fois et de leur avoir dit «je t’aime» une fois.

*

Mais si elle se trompait en lisant ? Ce qu’elle n’arrive pas à savoir, c’est si l’issue heureuse annoncée est certaine, ou si ça n’est qu’un mirage de son propre espoir.

*

Elles sont froides comme la mort et si tu le laisses distraire par elles... je ne te reverrai jamais.

*

Elle est couverte du sang de son peuple et de ses larmes. Pour se redonner courage, elle repense à Alexiel, toujours belle et forte même couverte du sang de ses ennemis.

*

D'après lui, c'est une bonne raison pour ne pas s'associer à eux. Surtout s'il doit les tirer vers le haut et y perdre plus qu'eux...

*

Rendez-moi... mon frère...
- il n'y a rien... rien d'autre dans son esprit.

*

« Quel touchant tableau… notre Miki séduit les jeunes filles ? Ou… serait-ce là ta sœur ? »

*

Une façade, un mensonge ! et encore une séparation violente.
Une fois de plus, il s’est trompé.

*

Puis elle l’abandonne en cessant de souffrir sans lui…

*

Imaginez tout ce que vous pouvez en matière de punition… ça sera pire.

*

Katan se dit que peut-être, il n'existe que pour satisfaire ses désirs. Ce destin le satisfait.

*

Et le voilà condamné à ruiner la vie de sa sœur.

*

Depuis qu’il a écrit, une fois, juste une seule, dans ce cahier maudit, il voit désormais partout l’ombre de la mort.

*

"Alors tu crois qu'être un homme ça veut dire être fort, obligé ? Ben rappelle-toi que t'es encore loin d'être un homme et que t'as besoin de travailler dur d'ici à être grand."

*

Car elle aimait chèrement sa fille mais n’a pas su en faire une femme bien, et voilà le résultat ; avec sa petite-fille, elle fera plus attention.

*

C’est ce qu’il fait ressentir au garçon, choisi si innocent, dont il prend possession : à quel point les humains comme lui sont des êtres misérables.

*

Mais ils sont nécessaires à renforcer leurs liens : el en veut pour preuve la satisfaction qu'ils tirent à en venir à bout et reprendre ensuite leur route.

*

quand nos seuls moments de détente c’était un verre au bar en espérant impressionner les filles avec notre statut de presque-médecins… heureux que ça soit des vieux souvenirs, maintenant. »

*

Un tel gaspillage n'en était que plus humiliant pour ceux qui n'avaient pas de quoi se payer des bottes ou des bas dignes de ce nom.

*

Mais moi ce que je voudrais c’est pas un ange, une étoile ou la force. Ça serait rencontrer mon papa pour de vrai.

*

autant en profiter pour faire le ménage.
Pas très orthodoxe comme raisonnement, mais bon…

*

lui rend les choses difficiles en matière de sécurité affective.
Et Emma lui offre une présence solide…

*

mais qu'est-ce que je vais faire ?
- Ça ma vieille malheureusement, j'ai des tas de recettes pour ôter des verrues, mais alors, pour en faire apparaître... »

*

Maintenant que le temps a passé, qu’il recommence à apprécier sa vie - à reconnaître qu’elle vaut quelque chose pour les autres au moins, et puis pour lui aussi - derrière les regrets, la nostalgie lui rappelle aussi les bons moments partagés, sans forcément s’appesantir sur le fait que désormais ils soient révolus.

*

Ils lui manquent quand il se torture l'esprit sur ce qu'il a fait, ce qu'il aurait du faire mais qu'il n'a pas fait
Ils se manquent tellement...

*

Il sait, au fond de lui, qu'il sera toujours trop lourd pour courir sur les ailes du vent. Mais marcher sur la terre est déjà formidable ! Et Julien est là pour le guider.

*

À travers leurs chemises de nuit, il délasse leurs épaules. Directement posé contre la peau, il adoucit leurs pieds et en assure la perfection.
Encouragé par leurs piaillements émerveillés, il vibre de plus belle.

*

Il s'assurera que le dernier souvenir qu'elle a laissé sur terre perdurera. Mais pas de gaîté de coeur, que ça soit clair.

*

Sauf que la nuit, quand le sommeil le fuit, il est bien content que ce sourire énigmatique lui tienne compagnie.

*

Elles vivront à leur guise, papillonnant entre leur pollution, leurs chewing-gum à la marijuana et leurs querelles.

*

Et Gaston, indifférent, confit dans sa bonhommie, de trouver qu'on en fait bien des histoires juste pour un malheureux bidon renversé, quoi, ça arrive à tout le monde...

*

Il aura toujours son Babyboy. Toujours.

*

Et elle reste là, immobile, encore un moment, perdue dans sa douce illusion.

*

Mais où ira le monde si Zeus se fait mener en bateau par son propre fils encore en couche culotte ?

*

Et franchement, pas question d'espérer de nouveau en vain.

*

Elle ne sait plus quoi faire.

*

« Si tu n’étais jamais né… reproche à son tour l’Empereur dans un murmure.
Tuez-le. Tuez ce monstre. »

*

À moins qu’il n’y ait même plus d’ennemis, que tous, absolument tous soient morts.

Dans une ambiance de fin du monde, il attend que quelqu’un d’autre ose briser le silence.

*

Les regards qu'ils se portent suffisent à échanger leurs poids respectifs.

*

Maintenant qu’ils se sont retrouvés, il le sait, plus jamais ils ne se sépareront.

*

Ne comptez pas là-dessus avec une telle bande de jeunes vandales dans les parages. Hélas, hélas ! Pauvre de lui !

*

- Veux pas le savoir.

*

Au-dehors gronde et monte le murmure d'une armée rouge ; elle s'en moque royalement.
La princesse est folle, mais elle est si jolie quand elle sourit.

*

"Alors comme ça, tu es habile de tes mains...?")

*

« C'est interdit, tu le sais bien. »

*

il glisse ses bras autour de sa taille et lui vole un baiser dans le cou.
- Je ne me suis pas trop fait attendre ?

*

Il ne part pas de zéro ; comme pour toute réincarnation, il continue à porter les marques et le poids de ses actions passées.

*

Ils allaient arriver à fonder une vraie famille.

*

- Ho oui, il va falloir tout recommencer.

Et Mélusine reprend quelques cafards au piment, elle les trouve exquis.

*

Tout çà à cause de ce fidèle Jean qui était absent.

*

Le docteur Finkelstein ne vas pas apprécier que tu sois en retard pour son mariage. Curieux qu'il est épousé sa dernière création.

*

Il ne devait rien oublier de tout cela, aussi douloureux soit-il.

*

- Et je ne porte qu'un intérêt scientifique à la chose. Je n'en tire pas plaisir.
- Non. Je ne peux pas te laisser le comportement amoureux d'une jeune fille innocente à ton enquête ! »

*

- T-tais-toi ! Je cherche à savoir si passer quelques années chez vous en vaudra le coup !

*

- Ce n'est qu'un vantard.
- Mais il a réussi à provoquer un dieu sur le terrain de l'amour.

*

- J'vais finir par croire que ça te plaît... »

*

Je t'aime, je t'aime, je t'aime, disent ses lèvres et ses yeux et ses mains. Mon amour, ma soeur, mon âme...

*

Quelques jours passèrent, et Belial trouva à sa porte un Trichelieu tout empaqueté.

*

- Vous avez fini de jouer à la réunion des commères ? hurla Tsubaki. Je voudrais bien me battre moi !

*

- Et si vous demandiez aux intéressés ?
- Non, ils mentiraient. Le mieux serait de les espionner.

*

Personne n'aura sa liberté. Les dents serrés, elle est prête au combat.

*

Le prussien déclarait son amour par des coups.

*

- Évidemment. Je vais avoir droit à des remerciements de Pixie en prime !
- Veinarde.

***

...Et on peut faire un jeu si vous n'avez pas envie d'écrire ou de compter les mots vous-mêmes : si un prompt vous fait penser à un fandom/des persos/un couple/ une situation en particulier, vous pouvez partager la suggestion, peut-être que moi ou un autre l'écrira ?

et un raton laveur, drabbling

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