Ban Ki-Moon reçu à l'Elysée
Le prochain secrétaire général de l'Onu a été reçu vendredi par le président Jacques Chirac à l'Elysée
Ban Ki-Moon, actuel chef de la diplomatie sud-coréenne, prendra ses fonctions de secrétaire général le 1er janvier 2007.
A l'issue d'un déjeuner de travail avec le président français, le successeur de Kofi Annan s'est dit "encouragé" vendredi par la perspective d'une reprise des pourparlers sur le programme nucléaire de la Corée du Nord.
"Il est encourageant que les participants concernés aient accepté de renouer les discussions", a dit Ban Ki-Moon, en s'adressant aux journalistes tantôt en français tantôt en anglais.
M. Ban s'est mis de façon intensive à la langue française il y a un an. Avant son élection, la France avait insisté pour que le secrétaire général de l'Onu maîtrise la langue française, une des deux langues de travail, avec l'anglais, de l'Onu.
Outre la Corée du Nord, les deux hommes ont discuté de la crise nucléaire avec l'Iran, du Darfour, de la situation au Liban, du Moyen-Orient et de la Côte d'Ivoire.
"Le président Jacques Chirac m'a assuré de son soutien actif pour mes missions à l'avenir", a-t-il dit en français. "J'ai été très encouragé par ce soutien", a ajouté le futur secrétaire général qui a promis de "coopérer étroitement avec le gouvernement français à l'Onu".
Pour sa part, Jacques Chirac lui "a dit toute l'importance que lui-même et la France attachent aux Nations Unies et la place particulière qu'il attache aux relations avec le secrétaire général pour son action au service de la paix, du développement, des droits de l'Homme", a rapporté le porte-parole de l'Elysée Jérôme Bonnafont.
Il a aussi insisté sur le rôle de l'Onu pour promouvoir le développement durable et le développement de l'Afrique.
The original article sur le site de FRANCE 2
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M. Ban s'est mis de façon intensive à la langue française il y a un an. Avant son élection, la France avait insisté pour que le secrétaire général de l'Onu maîtrise la langue française, une des deux langues de travail, avec l'anglais, de l'Onu.
Outre la Corée du Nord, les deux hommes ont discuté de la crise nucléaire avec l'Iran, du Darfour, de la situation au Liban, du Moyen-Orient et de la Côte d'Ivoire.
"Le président Jacques Chirac m'a assuré de son soutien actif pour mes missions à l'avenir", a-t-il dit en français. "J'ai été très encouragé par ce soutien", a ajouté le futur secrétaire général qui a promis de "coopérer étroitement avec le gouvernement français à l'Onu".
Pour sa part, Jacques Chirac lui "a dit toute l'importance que lui-même et la France attachent aux Nations Unies et la place particulière qu'il attache aux relations avec le secrétaire général pour son action au service de la paix, du développement, des droits de l'Homme", a rapporté le porte-parole de l'Elysée Jérôme Bonnafont.
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