Du RoyEd. Si, si. Thème 3 - Bleu : D
Titre (facultatif) : Saphirin
Pairing / Personnage : Ed, Roy, implique du RoyEd
Warnings / Genre : PG
Disclaimer : les personnages de Fullmetal Alchemist appartiennent à Hiromu Arakawa, donc pas à moi.
Thème : 3 - Bleu
Il s’est longtemps demandé de quelle couleur étaient les yeux de son employeur.
Foncés, en tout cas. Dès que la lumière baisse un peu, on ne distingue plus l’iris de la pupille, et les yeux terrifiants deviennent inexpressifs et inquiétants.
Edward a d’abord pensé à un marron foncé, comme la terre d’un fond de forêt et comme les yeux de Hyde, l’autre tenancier taré.
Puis il a songé à du vert, un vert émeraude bien foncé, par clair et terne comme celui des prunelles de Scieszka. Sombre comme un jardin endormi.
Finalement, s’est-il dit, peut-être que ses yeux étaient réellement noirs. Comme les yeux d’une obsidienne. Vu l’apparence du Lord, ça n’aurait pas été étonnant qu’il soit d’origine orientale.
La réponse lui est venue un jour de printemps.
Il accompagnait Royard -Lord Royard Emilian Mustang- à une importante réunion. Et au moment sortir du manoir, il avait précédé le Lord. Le temps que celui-ci lève la tête, que le soleil révèle un bleu profond caché dans son regard, et qu’il ferme les paupières, ébloui, Edward avait compris.
Deux yeux changeants comme la mer, un saphir caché dans l’ombre, la teinte des prunelles de Lady Hawkeye emprisonnée dans celle de celui qu’Elizabeth aime. Deux yeux secrets, sombres, attirants, comme le ciel de nuit sous lequel Lord Mustang lui fait l’amour.
Pairing / Personnage : Ed, Roy, implique du RoyEd
Warnings / Genre : PG
Disclaimer : les personnages de Fullmetal Alchemist appartiennent à Hiromu Arakawa, donc pas à moi.
Thème : 3 - Bleu
Il s’est longtemps demandé de quelle couleur étaient les yeux de son employeur.
Foncés, en tout cas. Dès que la lumière baisse un peu, on ne distingue plus l’iris de la pupille, et les yeux terrifiants deviennent inexpressifs et inquiétants.
Edward a d’abord pensé à un marron foncé, comme la terre d’un fond de forêt et comme les yeux de Hyde, l’autre tenancier taré.
Puis il a songé à du vert, un vert émeraude bien foncé, par clair et terne comme celui des prunelles de Scieszka. Sombre comme un jardin endormi.
Finalement, s’est-il dit, peut-être que ses yeux étaient réellement noirs. Comme les yeux d’une obsidienne. Vu l’apparence du Lord, ça n’aurait pas été étonnant qu’il soit d’origine orientale.
La réponse lui est venue un jour de printemps.
Il accompagnait Royard -Lord Royard Emilian Mustang- à une importante réunion. Et au moment sortir du manoir, il avait précédé le Lord. Le temps que celui-ci lève la tête, que le soleil révèle un bleu profond caché dans son regard, et qu’il ferme les paupières, ébloui, Edward avait compris.
Deux yeux changeants comme la mer, un saphir caché dans l’ombre, la teinte des prunelles de Lady Hawkeye emprisonnée dans celle de celui qu’Elizabeth aime. Deux yeux secrets, sombres, attirants, comme le ciel de nuit sous lequel Lord Mustang lui fait l’amour.