(no subject)
La perle dessinante
Sur ta peau une caresse un effroi, une douceur
Une lente agonie qui deviendra torpeur
La perle recréera le palais merveilleux
Les murs cristallins qui étaient ta demeure
A l'aube d'un réveil, au début du demain
Ton corps endormi flottant sur l'alcalin
Tu ouvriras les yeux dans un royaume blanc
Les premières lueurs seront soie et safran
La voila doucement se repliant d'effroi
La voila tendrement s'approchant de tes doigts
Elle s'offre au devenir, aux méandres humains
Elle s'offre aux contours de tes bonheurs hautains
Elle dessine pour toi les méandres de beauté
Elle dessine le visage, le regard argenté
Celui qui cicatrise dans ton âme écorchante
Celui qui s'amenuise en complainte obsédante
Les ondes autour de toi résonnent d'harmonies
Balançant lentement leurs bras d'écumes sombres
Ils veulent t'emporter, oubliant l'agonie
Ils veulent t'emmener redevenir une ombre
Le dessin se rapproche, se déforme à nouveau
Il ondule patiemment pour mieux brûler tes yeux
Il rayonne d'émois, fait surgir le beau
T’attirant au delà de ton cocon de peau
Les écumes se lèvent devenant lames de fonds
T’entourant de liquide, devenant une prison
Le blanc cède la place à l'obscure lueur
Le tombeau de la grâce, l'amertume des coeurs
La perle reste la riant de ta beauté
La voila médisante la voila dévoilée
Elle n'a voulu de toi que le premier bonheur
Elle n'a voulu de toi qu'un éclat de ton coeur
Tu hurles d'obsession, tu frappes alors les murs
Tu griffes la raison de ton grand clair obscur
Te voila pantelante dans une pièce exigu
Te voila déferlante dans l'accalmie du nue
Alors les mains en sang, alors le regard fier
Tu abjures tes passions et fais brûler ta chair
Tu renaîtras sûrement dans les tours du passé
Phénix incandescent des raisons oubliées
Meurs pour revenir, obsédante passion
Meurs pour assouvir à nouveau ma raison
Je te veux, redeviens cet ange abandonne
La perle de soie aimante, l'éclatante beauté
Sur ta peau une caresse un effroi, une douceur
Une lente agonie qui deviendra torpeur
La perle recréera le palais merveilleux
Les murs cristallins qui étaient ta demeure
A l'aube d'un réveil, au début du demain
Ton corps endormi flottant sur l'alcalin
Tu ouvriras les yeux dans un royaume blanc
Les premières lueurs seront soie et safran
La voila doucement se repliant d'effroi
La voila tendrement s'approchant de tes doigts
Elle s'offre au devenir, aux méandres humains
Elle s'offre aux contours de tes bonheurs hautains
Elle dessine pour toi les méandres de beauté
Elle dessine le visage, le regard argenté
Celui qui cicatrise dans ton âme écorchante
Celui qui s'amenuise en complainte obsédante
Les ondes autour de toi résonnent d'harmonies
Balançant lentement leurs bras d'écumes sombres
Ils veulent t'emporter, oubliant l'agonie
Ils veulent t'emmener redevenir une ombre
Le dessin se rapproche, se déforme à nouveau
Il ondule patiemment pour mieux brûler tes yeux
Il rayonne d'émois, fait surgir le beau
T’attirant au delà de ton cocon de peau
Les écumes se lèvent devenant lames de fonds
T’entourant de liquide, devenant une prison
Le blanc cède la place à l'obscure lueur
Le tombeau de la grâce, l'amertume des coeurs
La perle reste la riant de ta beauté
La voila médisante la voila dévoilée
Elle n'a voulu de toi que le premier bonheur
Elle n'a voulu de toi qu'un éclat de ton coeur
Tu hurles d'obsession, tu frappes alors les murs
Tu griffes la raison de ton grand clair obscur
Te voila pantelante dans une pièce exigu
Te voila déferlante dans l'accalmie du nue
Alors les mains en sang, alors le regard fier
Tu abjures tes passions et fais brûler ta chair
Tu renaîtras sûrement dans les tours du passé
Phénix incandescent des raisons oubliées
Meurs pour revenir, obsédante passion
Meurs pour assouvir à nouveau ma raison
Je te veux, redeviens cet ange abandonne
La perle de soie aimante, l'éclatante beauté