Saint Seiya - DM(Angelo)/Shura - Thèmes normaux
Série: Saint Seiya
Pairing: Deathmask (Angelo) / Shura
Rating: de G à R (comme ça, au moins...)
Nombre de phrases: 40/50
Disclaimer: Masami Kurumada qui ne veut toujours pas me les donner
Thème: #01 - normaux
#31 - Maison
Leurs temples sont leurs demeures, mais c’est la présence de l’autre qui les y rattache.
#32 - Confusion
Les pensées, comme les corps, s’égarent ; celles de Shura ne lui appartiennent plus et bientôt, habité par l’esprit du Cancer, il oublie jusqu’à son être.
#33 - Peur
L’épreuve est difficile quand à l’éloignement, s’ajoute le silence : Angelo ne sait rien et ses nuits se peuplent des terreurs de l’abandon.
#34 - Orage
Le tonnerre est comme la promesse divine du châtiment, pendant que la pluie peine à laver le sang ; et Shura regarde, le cœur serré, l’autre adolescent se rire des dieux, environné de lumière au milieu de la noirceur.
#35 - Liens
Les corps s’éloignent, les certitudes demeurent et plus que leurs cosmos, c’est l’Absolu qui jette un pont entre eux au milieu duquel, toujours, ils se retrouvent.
#36 - Magasin
Le paquet de cigarettes volé tantôt chez le buraliste du coin trônait entre eux : « t’es pas chiche ! » claironna Deathmask à un Shura qui n’avait soudain plus tellement envie d’essayer.
#37 - Technologie
Le Cancer détestait cordialement son téléphone portable ; ce dernier ne quittait cependant pas la poche arrière de son jean depuis qu’il avait arraché au Capricorne la promesse de ne plus jamais le laisser dans le silence.
#38 - Cadeau
Un don, ça ne se refuse pas ; Shura le sait, l’éprouve tandis qu’il rejette celui qui lui a pourtant tout offert et soudain, se dégoûte pour ce qu’il est en train de détruire.
#39 - Sourire
Le jour où le jeune Deathmask finit par lui sourire pour de vrai - dents blanches et fossettes en prime - Shura crut, sans vraiment comprendre pourquoi, que son cœur lui échappait.
#40 - Innocence
C’est pour cette inamovible aura de justice et de probité que le Capricorne arbore en dépit de tout le sang versé que le Cancer a toujours recherché sa présence, lui, l’éternel coupable.