DIRTY LITTLE SECRET 3

Mar 14, 2011 17:23





AIBA MASAKI    CRAZY MOON


"Je venais de finir le tournage de"My girl" et j'avais un peu de temps libre devant moi. Vous étiez tous pris par divers tournage et j'avais réussi à faire admettre au boss que si je prenais l'air quelques jours, ça ne léserais personne. Je venais de rompre avec ma petite amie du moment, avec qui j'avais eu une relation très"mouvementée"et je n'étais certainement pas prêt à me relancer dans une nouvelle histoire. J'avais décidé d'aller avec mon cousin, Hideo, visiter sac au dos, sans plan établi la campagne japonaise. Tout seul je ne me serais jamais lancé, mais il était en vacances et mes parents me reprochaient suffisamment de ne pas passer assez de temps avec lui. Ca avait bien sur pesé dans la balance lors de mon entrevue avec Johnny-san....un voyage familial, il était pleinement rassuré! La presse pouvait venir, il n'existait pas de raison plus louable que le rapprochement familial pour aller profiter d'un peu de vacances.
On ne voulait pas aller trop loin, le temps nous étant compté....On a pris le train et deux heures plus tard nous étions en pleine campagne, sac au dos, enthousiastes à l'idée de profiter de notre premier voyage entre cousins. Pour notre première étape, on avait repéré un petit hotel gastronomique où nous comptions passer la nuit avant de poursuivre notre route. Mais le destin étant farceur, nous nous sommes retrouvés devant l'acceuil en milieu de journée face à une hotesse  qui nous annonça peinée que l'hotel était complet.
Que faire? Nous ne pouvions nous en prendre qu'a nous même, nous n'avions pas été assez prévoyants pour réserver des chambres et il était maintenant trop tard pour envisager une nouvelle destination.
La faim commençait à se faire sentir, alors on a décidé d'aller dans un restaurant de ramen de la rue principale, pour réflechir tranquillement à ce qu'il fallait faire.
Le restaurant était plein malgré l'heure avancée de la journée, et on nous nous sommes retrouvés installés au comptoir.
"Vous êtes en visite dans la région?"nous demanda la patronne, une femme souriante toute en rondeurs.
"Oui, on comptait passer la nuit à l'hotel mais il est complet...vous ne connaitriez pas un endroit où nous pourrions passer la nuit?
-Bien sur il y a une pension de famille à la sortie de la ville. Elle est tenue par une veuve charmante. Ah! la pauvre elle est venue s'installer il y a quelques années après la disparition de son mari en mer....Une tragédie! On a jamais retrouvé son bateau, vous savez? Vous voulez que j'appelle pour prévenir?"
A vrai dire, j'avais décroché au moment où j'avais entendu"pension de famille". J'étais ravi à l'idée que notre problème ai si rapidement trouvé une solution, et après avoir englouti nos bols, nous nous sommes dirigés, plan à l'appui vers notre havre pour la nuit.
C'était une maison traditionnelle charmante, fleurie et chaleureuse. La propriétaire des lieux nous attendait devant le seuil et malgré le sourire de circonstance qu'elle affichait, on lisait dans son regard toute la tristesse du monde. Des yeux couleur océan, fascinants, laissaient deviner ses origines métisses, et illuminaient son visage laiteux cerné de cheveux d'ébène. Elle semblait avoir une trentaine d'année à peine et sa mélancolie ne masquait pas sa beauté, bien au contraire... Je crois qu'elle pouvait éveiller chez tout homme une envie immédiate de vouloir la protéger, c'est en tout cas ce que j'ai ressenti, ce qui est assez rare chez moi à qui on prête souvent un caractère enfantin.
Je jetais un regard en biais à mon cousin et constatais que nous étions une fois de plus au diapason.
"Je vous attendais...Je suis Yuri Masami, la propriétaire de la pension....Si vous voulez bien me suivre..."dit elle d'une voix mélodieuse.
Elle nous a amené à l'étage après nous avoir présenté la pièce de vie où nous prendrions notre repas du soir. Deux chambres de belles dimensions, avec un cabinet de toilette. La maison était sobre, peu décorée excepté quelques photos accrochées au mur d'un homme jeune et souriant.
Me voyant arrêté devant l'une d'elle représentant un homme de belle prestance habillé en marin elle s'est approchée de moi et a affiché pour la première fois un franc sourire.
"Vous admirez mon Eita...Nous avons été si heureux pendant les quelques années qui nous ont été accordées!" Son visage brillait alors qu'elle évoquait le souvenir de son mari et j'en ai eu le coeur meurtri pour elle.
"Excusez moi, je ne voulais pas vous faire de la peine!
-Ca fait des années maintenant, et même si j'espère qu'il passera ma porte un jour à nouveau, je me résigne petit à petit à vivre sans lui..."
Elle m'a sourit et a fait volte face gracieusement pour me laisser seul avec Hideo m'installer tranquillement pour la nuit. Nous étions les seuls locataires de la petite pension et nous l'avons croisée à nouveau au moment du repas. Je ne me lassais pas de la regarder...Cette femme mystérieuse, inaccessible, murée dans sa douleur, éthérée. Elle se déplaçait avec légereté et aisance comme une femme d'une autre époque. Hideo aussi était fascinée et ses regards en disaient longs sur son état d'esprit.
Elle ne semblait pas me connaitre, et j'en étais peu étonné: isolée comme elle l'était, fermée au monde extérieur, sans téléviseur ou ordinateur il semblait naturel qu'elle n'ai pas entendu parler du groupe. C'était tout à fait inhabituel et extrêmement reposant...
Elle nous a souhaité la bonne nuit alors que nous regagnions nos chambres, perclus de fatigue après cette journée monvementée qui connaissait une issue heureuse malgré tout.
Au milieu de la nuit j'ai été cependant réveillé par les craquements du plancher et ça m'a fait sursauter. J'ai horreur de ce genre de bruit, surtout quand je dors dans un lit qui n'est pas le mien, dans une vieille pension de famille perdue à l'extérieur de la ville. Ma porte s'est ouverte et alors que je m'attendais à voir mon cousin entrer, c'est notre logeuse, armée d'une bougie qui est apparue. Elle avait les cheveux détachés et était vêtue d'un yukata fleuri.
"Qu'est ce qui vous arrive, il y a quelqu'un dans la maison?
-C'est moi Eita, je viens me coucher..."
Elle me prenait pour son mari?
"Je ne suis pas Eita, vous devez vous tromper, je..."
Je ne poursuivis pas ma phrase car elle venait de laisser tomber à terre son yukata et de poser la bougie sur le tatami près du futon. Elle me souriait, et à son regard absent je compris qu'elle dormait encore. Elle devait être somnanbule et était en train de rêver de son mari. Elle a retiré la couverture sous laquelle je dormais et s'est accroupie au dessus de moi. Qu'est ce que je pouvais faire? On m'a toujours appris qu'il ne fallait pas réveiller une somnanbule, mais je ne pouvais pas non plus profiter d'elle...
"Qu'est ce que vous faites? Vous vous trompez, je ne suis pas votre mari..."Malgré tout, j'avais bien du mal à conserver mon calme, en fait, je l'avais déjà totalement perdu. Qu'est ce que vous feriez vous si une femme magnifique, nue, vient la nuit s'offrir à vous avec tellement d'entrain? Me sentant déjà bien excité, son sourire s'est agrandit et elle s'est penchée sur moi pour m'embrasser, sourde à toute protestation. Elle a ouvert mon yukata et je n'ai pas protesté, me disant que si elle se réveillait, je lui expliquerai tout et qu'elle comprendrait surement puisque c'était elle qui était venue dans mon lit!
Je ne me plus posé de question, quand elle s'est empalée sur moi me faisant pousser un gémissement de plaisir et de surprise mélée. Je pouvais l'admirer dans l'ombre de la lune, onduler le bassin de droite à gauche, lascivement, prenant ses longs cheveux dans ses mains, les rejetant dans son dos les laissant me chatouiller les cuisses quand elle rejetait la tête en arrière. Je n'osais pas la toucher de peur de briser son rêve et qu'elle ne se réveille se rendant compte de sa méprise. Elle me faisait l'amour comme une déesse et moi qui n'avait jamais connu que des jeunes filles me laissant toujours l'initiative de décider du moment et de la façon dont je voulais d'elles, j'étais bouleversé...Elle rythmait ses mouvements pour faire durer ce moment, ralentissant, accélerant, se redressant jusqu'a me laisser presque sortir d'elle, rester ainsi jusqu'a ce que je la supplie de me reprendre entièrement, me faisant crier de contentement alors qu'elle m'autorisait à nouveau à m'enfoncer profondément dans son ventre. Je pouvais lire le plaisir sur son beau visage et l'extase quand elle l'emporta, m'emmenant avec elle au septième ciel. Elle s'est à nouveau penchée sur moi, puis s'est retirée après m'avoir embrassé délicatement. Elle s'est levée et s'est rhabillée avant de repasser la porte, le regard vide de l'endormie habitant ses beaux yeux bleus.
Inutile de vous dire que je n'ai pas dormit de la nuit partagé entre la culpabilité et la joie, comme si on m'avait fait un cadeau inattendu, que je n'étais pas vraiment sur de mériter. Il fallait que je lui parle et c'est sur cette bonne résolution que j'ai été la trouver le lendemain matin. Elle préparait notre petit déjeuner dans la cuisine et était perdue dans ses pensées, comme la veille. Me voyant entrer elle a sourit innocement et j'ai senti ma résolution faiblir.
"Vous avez passé une bonne nuit?
-Hmm, oui en quelque sorte...
-Vous avez été réveillé par le bruit? C'est une vieille maison, elle craque quelquefois et si vous avez le sommeil léger vous avez du être gêné. J'en suis vraiment désolée, excusez moi!"
J'étais pétrifié. Alors elle ne se souvenait vraiment de rien? Peut-être avais je moi même rêvé? Toujours est il que quand Hideo nous a rejoint me demandant à quelle heure je comptais partir, j'étais incapable de lui répondre...Une chose était sure, je voulais rester et en avoir le coeur net! Je pretextais un temple ancestral que je voulais à tout prix visiter et je réussit à obtenir une nuit de plus sans avoir à fournir d'explications supplémentaires.

Je me couchais le soir, par dessus la couverture, prêt à veiller toute la nuit s'il le fallait. Mais je n'eut pas à attendre bien longtemps, car la porte s'est ouverte et le même scénario que la veille s'est reproduit. Sauf que cette fois ci je savais ce qui m'attendait. J'ai poussé l'audace un peu plus loin cette nuit en la couchant sous moi après qu'elle se soit assise sur mon membre déjà bien dressé. Sa vue seule et le souvenir de la nuit dernière avait suffit à me déclencher une érection conséquante. Je la pris doucement, lisant dans ses yeux la joie et la volupté. Elle a noué ses jambes à mes hanches pour m'inciter à m'enfoncer encore plus loin en elle et a posé ses mains sur le bas de mon dos pour imprimer un nouveau rythme à mes coups de rein.
Encore une fois c'était elle qui me guidait et je me laissais faire bien volontiers malgré ma résolution d'avoir le dessus. Ce n'est qu'après m'avoir fait jouir encore une fois, qu'elle m'a soufflé à l'oreille:
"Eita, je t'aime tant..."
Et j'ai recommencé à culpabiliser. Mais après tout elle était heureuse en ce moment, elle faisait l'amour à son mari, et je réussit à me persuader que je lui rendais presque service...
Je m'extasais le lendemain devant la beauté de la région et même s'il se doutait qu'il y avait anguille sous roche Hideo a accepté l'idée de passer le reste de nos quelques jours de congés ici, oubliant l'idée des vacances itinérantes. La journée nous nous promenions et la nuit, j'attendais avec impatience et délectation les visites de ma charmante logeuse.
Je poussais même l'expérience jusqu'a acheter une casquette de marin identique à celle de son mari et à l'appeller par son prénom pendant que je la laissais m'initier à de nouveaux jeux érotiques chaque nuit. Je me demandais comment un homme avait pu quitter une femme pareille pour aller courir l'océan. Plus les jours passaient, plus j'avais du mal à me faire à l'idée de rentrer à Tokyo et pourtant les coups de fil de notre manager se faisaient de plus en plus insistants. Je me fis une raison en me disant que je pourrais revenir les week ends et peut-être entamer avec elle une vraie relation...je saurais lui faire oublier sa peine, j'en avais la certitude!
Je me résignais donc à lui signifier mon départ pour le lendemain et après une dernière nuit torride, je pliais bagages.
Je trouvais à ma porte en sortant, une enveloppe cachetée contenant ma note, je présumais. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'en vis le montant, avoisinant celui des meilleurs hotels de Tokyo.
Je vins la trouver pour faire corriger l'erreur dont je pensais avoir été victime et elle m'acceuillit avec son habituel sourire impassible.
"Vous venez me dire aurevoir?
-Oui...euh....voilà....nous allons partir et je pense qu'il y a une erreur...
-Non, il n'y en a pas. Sept nuits d'hébergement et de services particuliers, tout y est!"dit elle en consultant la facture avec un regard sérieux. Puis elle me la remit dans les mains et sorti de la pièce me laissant seul avec mes reflexions....
"Service particulier"!!C'était donc ça, l'explication du mystère! Je m'étais fais piéger par cette femme mais à vrai dire....je n'étais pas vraiment en colère. J'en avais profité à outrance et rien ne m'avait obligé à fermer les yeux sur les scrupules que j'avais eu de coucher avec une femme qui ne se rappellait de rien le jour venu.
J'ai payé la note et je n'ai rien dit à mon cousin gardant le secret pour moi. On avait encore un peu de temps avant le train qui nous raménerait vers Tokyo et on est retourné dans le petit restaurant de ramen qui nous avait acceuillit lors de notre arrivée. Mais une table était libre cette fois et c'est le patron qui est venu prendre notre commande.
"Vous nous quittez?
-Oui, on part dans une heure... C'est une belle région, on en gardera un bon souvenir...
-J'imagine!"nous a t il répondu"Alors, lequel des deux s'est fait avoir?
-Comment ça?"a répondu Hideo alors que je me décomposais à ses côtés
-Ben oui, avec la Geisha?
-La Geisha?
-La propriétaire, c'est une Geisha en retraite! Les femmes du village sont pas au courant, elles seraient terribles avec elle sinon! Mais son mari en mer, c'est des histoires qu'elle raconte. En réalité elle était très réputée à Tokyo et puis un jour elle s'est retirée et elle est venue s'installer ici. Elle s'amuse quelquefois avec les voyageurs qui passent chez elle, mais je vous garanti qu'y en a pas un qui se plaint!"Et il est parti d'un gros rire en quittant la table.
"On l'a échappé belle!" m'a lancé mon cousin.
"Hmmm..."Je n'ai pas insisté davantage, perdu dans mes pensées, mais le voile du mystère se levait. Ces vacances resteraient dans ma mémoire comme un souvenir doux amer...mais je ne pouvais pas m'empêcher de sourire en pensant à elle et aux nuits que nous avions passées!

Kiss crazy wakannai                                                Des baisers fou je ne comprends pas
Don't stop baby tomannai                                       N'arrête pas bébé, n'arrête pas
It's crazy yudannai                                                C'est fou ne soit pas secouée
What's up baby owannai                                         Que se passe-t-il bébé ça ne finira pas

Oikakeru dake no koi wa setsunai                           La poursuite de l'amour est toujours douloureuse
Imasara tomaru koto dekinai                                  Après un si longtempsje ne peux pas arrêter maintenant
Chikazukeba chikazuku hodo ni kimi wa                  Plus je me rapproche
Hanarete iuku youna ki ga shite                              Plus tu sembles loin

Nemurenai yoru ni owaranai yume wo                      Dans la nuit endormie, voyant un rêve infini
Yoake ga kuru tabi ni kimi dake kieteyuku             Quand l'aurore vient c'est seulement toi qui disparait
Boku wa koko ni tachi tukushita mama                    Moi je suis resté, toujours debout ici

Muteki motomeru kimi wa te ni todokanai              Tu es sans pareil, je ne peux t'atteindre
Surinuketeku ai wo azawarau you ni                       C'est comme toi ricanant de cet amour qui a glissé/est passé à travers
Futari wa taiyou to tsuki ni naru                             Nous devenons tous deux le soleil et la lune
Aseru boku no kokoro wa tamesareteru no ?          Es-tu en train de tester mon coeur impatient ?
Kakehiki no imi sae wakaranaku naru                      Je deviens incapable de comprendre ce que signifie cette affaire
Soredemo kamawanai                                              Toutefois, ça m'est égal
Kimi to itai dake                                                      Je veux seulement être avec toi

Kiss crazy wakannai                                                 C'est fou je ne comprends pas
Don't stop baby tomannai                                         N'arrête pas bébé, n'arrête pas
Miss crazy yudannai                                                 Miss crazy ne soit pas secoué
What's up baby owannai                                          Que se passe-t-il bébé ça ne finira pas

Surechigau dake no kyori ga hagayui                        Nous nous frolons mais notre distance est grande
Te wo nobaseba todokisou nanoni                             Même si quand je tends la main il me semble que je peux t'atteindre
Imi ga arunonara oshiete hoshii                                S'il y a une signification s'il-te-plait, dis-la moi
Shimetsukeru mune no itamino                                  La douleur de ce coeur attaché

Ketsumatsu bakari ni ki wo torare sugite                   Penser seulement à la conclusion prend trop mon attention
Omoi nayamuno wa mou yame ni shiyou ka                  Penses-tu que nous devrions déja arrêter de nous en soucier ?
Bokura koko de hajimerareru kara                             Parce que c'est là où nous avons commencé

Suteki baramaku kimi wa me wo hanasenai                 Je ne peux détacher mes yeux de toi qui es parsemée de roses
Utsukushiku mo ai wa hanabira no you ni                    Un bel amour est comme des pétales
Hakanaku mai ochiru dake nano ?                               Seulement éphémère, palpitant en bas ?
Kimi no kagayaku himitsu tashikametai yo                  Je veux confirmer tes secrets lumineux
Tomodachi no mama de wa mou irarenai                      Je ne peux plus rester seulement ami avec toi
Konomama dakishimete                                               Je veux seulement être avec toi, tenu par toi de cette manière
Kimi to itai dake

Kiss crazy wakannai                                                    Des baisers fous, je ne comprends pas
Miss crazy yudannai                                                    Miss crazy, ne sois pas secouée
What's up baby...                                                         Que se passe-t-il bébé~

Nemurenai yoru ni owaranai yume wo                          Dans la nuit endormie, voyant un rêve infini
Yoake ga kuru tabi ni kimi dake kieteyuku                  Quand l'aurore vient c'est seulement toi qui disparait
Boku wa koko ni tachi tukushita mama                         Moi je suis resté, toujours debout ici

Muteki motomeru kimi wa te ni todokanai                    Tu es sans pareil, je ne peux t'atteindre
Surinuketeku ai wo azawarau you ni                             C'est comme toi ricanant de cet amour qui a glissé à travers
Futari wa taiyou to                                                       Nous devenons tous deux le soleil et la lune
Aseru boku no kokoro wa tamesareteru no ?               Es-tu en train de tester mon coeur impatient ?
Kakehiki no imi sae wakaranaku naru                           Je deviens incapable de comprendre ce que signifie cette affaire
Soredemo kamawanai                                                   Toutefois, ça m'est égal
Kimi to...                                                                        Avec toi~

Kiss crazy wakannai                                                      Des baisers fous je ne comprends pas
Don't stop baby tomannai                                             N'arrête pas bébé, n'arrête pas
Miss crazy yudannai                                                     Miss crazy ne soit pas secouée
What's up baby owannai                                              Que se passe-t-il bébé ça ne finira pas

Kiss crazy wakannai                                                     C'est fou je ne comprends pas
Don't stop baby tomannai                                             N'arrête pas bébé, n'arrête pas
Miss crazy yudannai                                                     C'est fou ne soit pas secouée
What's up baby owannai                                               Que se passe-t-il bébé ça ne finira pas

"Tu as couché avec une Geisha?"a lancé Nino épaté.
"Mais il ne le savait pas, vous croyez que ça compte quand même?"A lancé Sho, faisant rire les 3 autres.
"J'étais sur que vous vous moqueriez de moi, c'est pour ça que je ne vous ai jamais rien raconté et pourtant j'en ai eu souvent envie! Je suis sur que je suis le seul à avoir eu la chance de gouter à la "science" des Geishas!"
Il avait marqué un point et ce n'était plus de la moquerie mais une petite lueur de jalousie qu'on pouvait lire sur les visages de tous. Mais ils avaient eu raison, l'atmosphère était enjouée et détendue après l'histoire d'Aiba.
Il ne restait plus que Riida et Matsujun et ce dernier n'avait pas l'air décidé à raconter son histoire avant qu'ils aient tous abattu leurs cartes.
Les regards de Nino, Sho et Aiba allaient de l'un à l'autre cherchant à savoir lequel des deux se mettrait à table.
Un dernier coup d'oeil à Jun-kun, puis dans un soupir résigné c'est Ohno qui prit la parole:
"Ok, devant le peu d'enthousiasme de mon ami, je me dévoue!!!
-Yosh!!...euh désolé...je suis tout ouïe..."lança Nino d'un air interessé.

arashi, arashi fanfic, nc-17

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