(no subject)
L'art de faire manger leur soupe aux petits et aux grands
Jour/Thème: 2 novembre/Mange ta soupe !
Commu': 31_jours
Fandom: Harry Potter
Rating: K
Personnages: Harry Potter, les Dursley, les Weasley ( sauf Arthur ), les Granger, les Malfoy, Remus Lupin et sa mère, Monsieur et Madame Flitwick et Filius Flitwick, Severus et Tobias Snape, Xenophilius et Luna Lovegood, Sirius Black
Disclaimer: À JKR
Nombre de mots: 448
.
-Mange ta soupe !
Quel enfant n'a jamais entendu cette horrible injonction ?
Heureux celui qui répond "moi !".
Dans chaque famille, sorcière ou moldue, cette phrase résonne au moins une fois par repas quand ce plat si peu apprécié - peut-être à juste raison - fait son apparition sur la table.
Et chaque mère - ou père - a sa propre méthode pour faire avaler sa soupe à l'enfant récalcitrant. Ou le punir, le cas échéant.
Chez les Dursley, l'oncle Vernon hurlait simplement ces trois mots à Harry et l'enfermait dans le placard sous l'escalier sous l'escalier quand il refusait de toucher à son assiette, tandis que la tante Petunia disait à son Duddlynouchet qu'il pouvait manger du gâteau à la place, s'il le voulait.
Quand les enfants Weasley refusaient d'avaler leur soupe - pourtant délicieuse, comme tout ce que cuisinait Molly - leur mère leur en resservait à chaque repas, jusqu'à ce qu'ils finissent par la manger.
Les Granger, eux, prétendait que la soupe était bonne pour l'intellect et qu'une consommation régulière de ce mets permettait d'apprendre plus aisément.
Chez les Malfoy, comme dans toutes les familles de Sang-Pur, les enfants n'avaient pas le droit de contredire les adultes, alors, ils étaient contraints et forcés de manger leur soupe car "c'est comme ça et c'est pas autrement. Et arrête de bouder, on dirait un Moldu !"
Du côté des Lupin, le petit Remus ne se plaignait pas, il savait que sa mère était pauvre et qu'il devait se contenter de ce qu'ils avaient. Et puis, le carré de chocolat auquel il avait le droit à la fin du repas, valait bien ce sacrifice.
Monsieur et madame Flitwick avaient toujours dit au jeune Filius que la soupe faisait grandir. Arrivé à l'adolescence, il fut obligé de se rendre à l'évidence : on lui avait honteusement menti.
Chez les Snape, quand Severus ne voulait pas manger sa soupe, il était priver de toute nourriture pendant deux jours et son père se chargeait de le punir encore plus - à savoir à coups de ceinturon.
Quant aux Lovegood, il suffisait que Xenophilius ne prétende que le velouté de ravegourde permettait de voir les Ronflaks Cornus pour que la petite Luna se jette sur son assiette.
Mais parfois, ce n'était pas les enfants qu'il fallait pousser à manger leur soupe ; certains adultes étaient plutôt réfractaires à l'idée d'ingérer un tel repas. Sirius en était un bon exemple - quoique, peut-on le qualifier d'adulte ?
-Dis, Paddy ? Tu sais que la soupe est aphrodisiaque ?, mentit Remus à l'oreille de son amant.
Lequel amant s'empressa de vider son assiette.
Jour/Thème: 2 novembre/Mange ta soupe !
Commu': 31_jours
Fandom: Harry Potter
Rating: K
Personnages: Harry Potter, les Dursley, les Weasley ( sauf Arthur ), les Granger, les Malfoy, Remus Lupin et sa mère, Monsieur et Madame Flitwick et Filius Flitwick, Severus et Tobias Snape, Xenophilius et Luna Lovegood, Sirius Black
Disclaimer: À JKR
Nombre de mots: 448
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-Mange ta soupe !
Quel enfant n'a jamais entendu cette horrible injonction ?
Heureux celui qui répond "moi !".
Dans chaque famille, sorcière ou moldue, cette phrase résonne au moins une fois par repas quand ce plat si peu apprécié - peut-être à juste raison - fait son apparition sur la table.
Et chaque mère - ou père - a sa propre méthode pour faire avaler sa soupe à l'enfant récalcitrant. Ou le punir, le cas échéant.
Chez les Dursley, l'oncle Vernon hurlait simplement ces trois mots à Harry et l'enfermait dans le placard sous l'escalier sous l'escalier quand il refusait de toucher à son assiette, tandis que la tante Petunia disait à son Duddlynouchet qu'il pouvait manger du gâteau à la place, s'il le voulait.
Quand les enfants Weasley refusaient d'avaler leur soupe - pourtant délicieuse, comme tout ce que cuisinait Molly - leur mère leur en resservait à chaque repas, jusqu'à ce qu'ils finissent par la manger.
Les Granger, eux, prétendait que la soupe était bonne pour l'intellect et qu'une consommation régulière de ce mets permettait d'apprendre plus aisément.
Chez les Malfoy, comme dans toutes les familles de Sang-Pur, les enfants n'avaient pas le droit de contredire les adultes, alors, ils étaient contraints et forcés de manger leur soupe car "c'est comme ça et c'est pas autrement. Et arrête de bouder, on dirait un Moldu !"
Du côté des Lupin, le petit Remus ne se plaignait pas, il savait que sa mère était pauvre et qu'il devait se contenter de ce qu'ils avaient. Et puis, le carré de chocolat auquel il avait le droit à la fin du repas, valait bien ce sacrifice.
Monsieur et madame Flitwick avaient toujours dit au jeune Filius que la soupe faisait grandir. Arrivé à l'adolescence, il fut obligé de se rendre à l'évidence : on lui avait honteusement menti.
Chez les Snape, quand Severus ne voulait pas manger sa soupe, il était priver de toute nourriture pendant deux jours et son père se chargeait de le punir encore plus - à savoir à coups de ceinturon.
Quant aux Lovegood, il suffisait que Xenophilius ne prétende que le velouté de ravegourde permettait de voir les Ronflaks Cornus pour que la petite Luna se jette sur son assiette.
Mais parfois, ce n'était pas les enfants qu'il fallait pousser à manger leur soupe ; certains adultes étaient plutôt réfractaires à l'idée d'ingérer un tel repas. Sirius en était un bon exemple - quoique, peut-on le qualifier d'adulte ?
-Dis, Paddy ? Tu sais que la soupe est aphrodisiaque ?, mentit Remus à l'oreille de son amant.
Lequel amant s'empressa de vider son assiette.