[NaNo] Pimprenelle Bourgeois
J'ai mon plot pour le NaNo ! Plus d'un mois à l'avance, dîtes donc. Ceci dit, ça fait depuis début août que trouver une idée m'obsède, donc...
Bref, c'est de la bonne vieille rom-com tout ce qu'il y a de plus classique.
George ou personne !
Pimprenelle en est persuadée, si George Clooney est toujours célibataire, c'est parce qu'il ne l'a pas encore rencontrée.
Déterminée à être un jour Mrs. Clooney, elle ne prête aucune attention aux autres hommes ; après tout, ils ne sont pas pour elle.
Lorsque son nouveau voisin, Alexandre, commence à s'intéresser à elle, elle cherche par tous les moyens à le dissuader de poursuivre ses tentatives de rapprochement.
Pour Pimprenelle, c'est George ou personne !
Et la scène d'introduction (oui, je sais, c'est de la triche de l'avoir écrite à l'avance) :
Doucement. Pas de geste brusque. Pas de tremblement. Plus qu’un petit peu et…
DING DONG !
Je sursaute et dans un geste malheureux, je décapite George. Clooney. Le seul, l’unique George Clooney se retrouve avec la tête séparée du corps sur le tapis de mon salon.
DING DONG !
Exaspérée, je pose mon arme et vais ouvrir la porte. Derrière celle-ci, se trouve une de mes meilleures amies, Sophie, qui me tend une boîte en carton tout en me saluant. Je l’ouvre et, oh merveille, ce sont ses fameux cupcakes. Je lui pardonne aussitôt le dérangement. La boîte fermement serrée contre mon cœur, je fais rentrer mon amie.
-Encore ?, soupire-t-elle quand elle voit le carnage près de mon canapé. Je croyais que tu avais promis d’arrêter.
-C’est plus fort que moi, me défends-je.
-Pimpin…
Je sais que je déçois Sophie mais je ne mens pas, je ne peux vraiment pas arrêter. C’est devenu une habitude, une drogue presque. D’ailleurs, sans prêter attention à son regard réprobateur, j’attrape mes ciseaux et reprend ma tâche.
-Tu vas faire ça pendant que je suis là ? J’étais venue pour parler mais si tu ne veux pas m’écouter…
-Je peux t’écouter pendant que je continue. Vas-y, qu’est-ce que tu voulais me dire ?
-C’est… Non, vraiment Pimpin, je peux pas, s’interrompt-elle aussitôt. Pas pendant que tu fais ça ; je sais que tu m’écouteras pas.
-Ok, dis-je en déposant mes ciseaux. Mais laisse-moi au moins lui scotcher la tête. Surtout que c’est de ta faute s’il est décapité, ton coup de sonnette m’a surprise.
Nouveau soupir de la part de Sophie.
-D’accord, mais vite.
-J’me dépêche mais il faut que ça soit bien fait, tout de même.
J’ajuste le plus correctement possible la tête et le cou de George et je scotche.
-Voilà ! On ne voit presque pas qu’il avait perdu la tête.
Contente du résultat, je dépose la photo de George sur ma table basse et me tourne vers mon amie.
-Alors, que se passe-t-il ?
Bref, c'est de la bonne vieille rom-com tout ce qu'il y a de plus classique.
George ou personne !
Pimprenelle en est persuadée, si George Clooney est toujours célibataire, c'est parce qu'il ne l'a pas encore rencontrée.
Déterminée à être un jour Mrs. Clooney, elle ne prête aucune attention aux autres hommes ; après tout, ils ne sont pas pour elle.
Lorsque son nouveau voisin, Alexandre, commence à s'intéresser à elle, elle cherche par tous les moyens à le dissuader de poursuivre ses tentatives de rapprochement.
Pour Pimprenelle, c'est George ou personne !
Et la scène d'introduction (oui, je sais, c'est de la triche de l'avoir écrite à l'avance) :
Doucement. Pas de geste brusque. Pas de tremblement. Plus qu’un petit peu et…
DING DONG !
Je sursaute et dans un geste malheureux, je décapite George. Clooney. Le seul, l’unique George Clooney se retrouve avec la tête séparée du corps sur le tapis de mon salon.
DING DONG !
Exaspérée, je pose mon arme et vais ouvrir la porte. Derrière celle-ci, se trouve une de mes meilleures amies, Sophie, qui me tend une boîte en carton tout en me saluant. Je l’ouvre et, oh merveille, ce sont ses fameux cupcakes. Je lui pardonne aussitôt le dérangement. La boîte fermement serrée contre mon cœur, je fais rentrer mon amie.
-Encore ?, soupire-t-elle quand elle voit le carnage près de mon canapé. Je croyais que tu avais promis d’arrêter.
-C’est plus fort que moi, me défends-je.
-Pimpin…
Je sais que je déçois Sophie mais je ne mens pas, je ne peux vraiment pas arrêter. C’est devenu une habitude, une drogue presque. D’ailleurs, sans prêter attention à son regard réprobateur, j’attrape mes ciseaux et reprend ma tâche.
-Tu vas faire ça pendant que je suis là ? J’étais venue pour parler mais si tu ne veux pas m’écouter…
-Je peux t’écouter pendant que je continue. Vas-y, qu’est-ce que tu voulais me dire ?
-C’est… Non, vraiment Pimpin, je peux pas, s’interrompt-elle aussitôt. Pas pendant que tu fais ça ; je sais que tu m’écouteras pas.
-Ok, dis-je en déposant mes ciseaux. Mais laisse-moi au moins lui scotcher la tête. Surtout que c’est de ta faute s’il est décapité, ton coup de sonnette m’a surprise.
Nouveau soupir de la part de Sophie.
-D’accord, mais vite.
-J’me dépêche mais il faut que ça soit bien fait, tout de même.
J’ajuste le plus correctement possible la tête et le cou de George et je scotche.
-Voilà ! On ne voit presque pas qu’il avait perdu la tête.
Contente du résultat, je dépose la photo de George sur ma table basse et me tourne vers mon amie.
-Alors, que se passe-t-il ?