♫ J'aurai voulu être scientifiiiiique pour pouvoir faire des expérieeeences...♫
Ça parle sciences dans ma tweet-list, du coup, ça réveille mes envies d'études scientifiques. Impossible, bien sûr, vu mon niveau en maths (grrr).
Si seulement j'avais été meilleure en maths (la faute au programme de quatrième et son théorème de Thalès - le début de mes déboires avec la matière). J'aurais pu devenir généticienne. Ou astrophysicienne. Oui, oui. Voire exobiologiste, ce qui m'aurait permis de travailler dans mes deux domaines adorés. Mais non, je suis une quiche (je suis incapable de trouver un pourcentage sans m'y reprendre à 27 fois *la honte*).
La génétique a été un coup de foudre sur le tard (j'étais déjà "vieille", j'avais, ouh là, 14/15 ans ?). En 3ème, donc. Avec son super programme (à l'époque, il a sans doute beaucoup changé depuis). Et son super prof (en seconde aussi, mon prof était génial, mais moins mimi). Par contre, j'ai toujours été attirée par l'Univers et ses mystères. Oui, parce que c'est la "mécanique" de l'Univers qui me'intéresse, pas sa simple "observation" (en gros, je m'en tape un peu de l'astronomie, par rapport à l'astrophysique - enfin, je m'en tape pas, c'est juste que c'est pas ce que j'aime le plus). J'étais toute gosse (à l'époque, j'avais une couette (et l'oreiller) qui représentait une photo de l'espace, avec des myriades d'étoiles et de planètes ; j'étais fascinée par cette image) que déjà je voulais comprendre.
Genre, je me demandais déjà ce qu'il y a "après" l'Univers et par conséquence OÙ il se trouve. Et ça n'a pas changé depuis plus de vingt ans. Seule ma vision a changé. Parce que gamine, j'imaginais l'Univers (qui se résumait au Système Solaire et quelques étoiles) comme étant des billes dans un pot en verre qui appartenait à un enfant géant (ultra géant, même ^^). Cet enfant avait plusieurs pots du même genre, qu'il alignait les uns à côté des autres ; c'étaient les univers parallèles. Mais cet enfant vivait lui-même sur une planète-bille appartenant à un géant encore plus géant, etc... Des fois, je me dis que c'est une très bonne explication ; au moins, c'est poétique comme vision des choses. Maintenant, je lis des théories scientifiques complexes pleines d'équations à la mord-moi-l'noeud ; y'a pas à dire, l'enfance, c'est bien plus mieux ! ^^
Voilà, je voulais dire autre chose, mais j'ai oublié parce que c'est tard.
Si seulement j'avais été meilleure en maths (la faute au programme de quatrième et son théorème de Thalès - le début de mes déboires avec la matière). J'aurais pu devenir généticienne. Ou astrophysicienne. Oui, oui. Voire exobiologiste, ce qui m'aurait permis de travailler dans mes deux domaines adorés. Mais non, je suis une quiche (je suis incapable de trouver un pourcentage sans m'y reprendre à 27 fois *la honte*).
La génétique a été un coup de foudre sur le tard (j'étais déjà "vieille", j'avais, ouh là, 14/15 ans ?). En 3ème, donc. Avec son super programme (à l'époque, il a sans doute beaucoup changé depuis). Et son super prof (en seconde aussi, mon prof était génial, mais moins mimi). Par contre, j'ai toujours été attirée par l'Univers et ses mystères. Oui, parce que c'est la "mécanique" de l'Univers qui me'intéresse, pas sa simple "observation" (en gros, je m'en tape un peu de l'astronomie, par rapport à l'astrophysique - enfin, je m'en tape pas, c'est juste que c'est pas ce que j'aime le plus). J'étais toute gosse (à l'époque, j'avais une couette (et l'oreiller) qui représentait une photo de l'espace, avec des myriades d'étoiles et de planètes ; j'étais fascinée par cette image) que déjà je voulais comprendre.
Genre, je me demandais déjà ce qu'il y a "après" l'Univers et par conséquence OÙ il se trouve. Et ça n'a pas changé depuis plus de vingt ans. Seule ma vision a changé. Parce que gamine, j'imaginais l'Univers (qui se résumait au Système Solaire et quelques étoiles) comme étant des billes dans un pot en verre qui appartenait à un enfant géant (ultra géant, même ^^). Cet enfant avait plusieurs pots du même genre, qu'il alignait les uns à côté des autres ; c'étaient les univers parallèles. Mais cet enfant vivait lui-même sur une planète-bille appartenant à un géant encore plus géant, etc... Des fois, je me dis que c'est une très bonne explication ; au moins, c'est poétique comme vision des choses. Maintenant, je lis des théories scientifiques complexes pleines d'équations à la mord-moi-l'noeud ; y'a pas à dire, l'enfance, c'est bien plus mieux ! ^^
Voilà, je voulais dire autre chose, mais j'ai oublié parce que c'est tard.