Sep 09, 2009 12:49
Hey everybody !!!
I don"t forgot lol , i hope you will like...
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La nuit étais passé, mais la douleur et la peur, elles n’avaient pas bougé. Elles avaient fait leur nid
dans les coeurs des quatre êtres de la famille Gummer. La maison était silencieuse et pourtant tout le
monde était réveillé, mais personne n’avait le courage de parler. Tout cela paraissait trop dur et
insurmontable. A chaque quoi de la maison, sur les murs, sur les tables il y avait une photo de
Meryl. Leur famille, leur sourire, leur bonheur mais aujourd’hui que restait-il ? Cela semblait
tellement loin aujourd’hui.
Louisa c’était totalement renfermé sur elle, elle n’avait pas ouvert la bouche. Ni à ses soeurs, ou à
son père. Il était 10 heure, Don tournait en rond comme un lion en cage il ne pouvait plus attendre,
il devait retourner à l’hôpital il avait besoin de LA voir ! Mamie, Grace et Henri voulait la voir, oui
il voulait la voir plus que tout, mais il ne savait pas si ils seraient capable de faire ca. Arriveraientils
à voir leur mère dans cet état ? Seraient-ils assez fort pour ca ?
Mais ils devaient le faire pour elle, elle avait besoin de soutient, sans eux elle ne se battrait pas pour
s’en sortir !
Mais pour Louisa c’était une tout autre affaire, elle ne voulait pas aller à l’hôpital. Elle ne voulait
pas voir sa mère, elle la haïssait. Comment avait-elle pu l’abandonner, ne pas penser à sa
souffrance, a l’horreur qu’elle allait vivre. Don alla la trouver dans sa chambre :
- Louisa mon amour, s’il te plait vient ?
- Nan, je ne bougerais pas d’ici, je ne veux plus jamais la voir ! Jamais hurla t-elle.
- Ma chérie je t’en prie, dit-il en retenant ses sanglots.
- De toute manière pourquoi tu y vas, elle nous aime tellement qu’elle est prête a nous
abandonnée. Elle veut nous quitter tu ne comprends pas, elle s’en fou de nous !!!
Ce n’était plus des paroles, c’était des cris, des hurlements. Don n’en pouvais plus d’entendre ses
mots. Il lutter de toute ses forces pour ne pas s’effondrer, il n’avait pas le droit il ne devait pas. Mais
avant tout il ne devait pas en vouloir à sa fille, et malgré lui il lui en voulait. Elle n’avait pas le droit
de parler de Meryl alors qu’elle allait si mal. Que Lou sois sa fille ou non, rien n’existerais plus si
son amour mourrait. Mais Louisa continuait :
- Ce n’est qu’une garce, de toute manière elle n’est jamais la pour nous. Elle se fou de
nous, on a jamais compté. On lui a juste permis de donner l’image de la grande Meryl
Streep, mère et épouse parfaite.
Et avant qu’il ne comprenne ses nerfs avaient lâché, sa main était parti toute seul, rentrant en
collision avec la joue de sa fille, et il hurla :
- TAIT TOI ! TAIT TOI !!!!!!!!!!!!!
Louisa regardait son père, les trois autres enfants étaient montés au son des cris. Il n’avait pas vu le
geste de leur de Don, mais quand il ont vu Louisa, ils ont compris ce qui c’est passé. Ils allaient
réagir, mais ils n’ont pas eu le temps, Louisa s’était blottit dans les bras de son père. La tension était
redescendu d’un coup, ca avait été brutal mais manifestement ca avait été nécessaire.
Lorsqu’ils arrivèrent devant l’hôpital, les journalistes étaient toujours la, il n’y en avait même plus
que la veille. La nouvelle c’était rependu à vitesse grand V. Les lunettes de soleil en position, ils
passèrent souder a travers la horde de photographe, ils voulaient tous un bout de sa femme, il avait
vu les journaux et les photos de Meryl en première page et tout les titres : « Meryl Streep : la chute
brutale d’une grande », « La plus grande actrice du monde entre la vie et la mort », « La grande
Mme Streep aurait-elle craqué ? »… Mais il ne voulait rien dire, c’était leur drame et ca ne
regardait personne d’autre. Il savait que c’était utopique, mais bon après tout les journalistes ne
pouvaient pas rentré dans l’hôpital. Une fois les portes franchi ils étaient tranquille a ce niveau la.
Les couloirs étaient blanc, ils marchaient de plus en plus lentement, la porte était toute proche. Une
fois arrivait devant ils s’étaient arrêté, ils tremblaient. Don posa doucement sa main sur la poigner et
l’actionna. Puis l’horreur se déchaina, encore ….
Son visage était blanc, un tube sortait toujours de sa bouche, 3 moniteur l’entourait d’ou émanait
des bruit étrange et plus ou moins régulier. On ne pouvait pas vraiment imaginer, ce que c’était
avant de connaître, on ne pouvait pas ressentir ce vide dans sa poitrine avant de voir un des ses
parent entre la vie et la mort. Ils savaient tous que ca vie ne tenait qu’a un fil, qu’elle n’était plus
tout a fait avec eux, qu’elle était déjà un peu parti. Ils s’avancèrent et doucement entourèrent le
corps meurtri de Meryl, ils avaient peur de la touché, ca semblait tellement irréel. Puis Louisa
craqué, elle recouvrit doucement la main de sa mère, la caressant doucement. Puis elle se pencha
sur elle et murmura :
- Maman, Maman, Maman … S’il te plait Maman.
Mais il n’y eu pas de réponse. Une douleur flagrante était lisible, comme un livre ouvert, elle se
trouvait sur le visage, dans leur posture. Ils étaient tous autour d’elle, lui parlant, lui racontant le
plus de chose qu’il pouvait, quand les sanglots ne gagnaient pas la partie. Puis Don demanda au
enfant de partir, ils devaient se reposer, c’était épuisant psychologiquement cette situation. Il allait
rester il allait veiller sur Meryl, il resterait le temps qu’il faudrait.
Pendant ce temps la un avion en provenance de Los Angeles venait d’atterrir à l’aéroport JFK.
Pierce descendit en courant, et récupéra ses bagage avant sortir en courant de l’aéroport pour
attraper un taxi, il ordonna au chauffeur :
- L’hôpital Lenox Hill , le plus vite possible s’il vous plait !
TBC....
peryl,
nc-17