Sep 02, 2009 13:33
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Lorsque Don poussa la porte de chez lui, il avait à peine la force d’avancer. Il ne savait comment il allait pouvoir affronter ses enfants ? Comment il allait pouvoir leur expliquer ? Comment il allait pouvoir effacer ses images du corps de son épouse mal traité, si pal ? Il ne savait même pas s’il allait à survivre à cette soirée. Quand il poussa la porte du salon, ses trois filles étaient là, regardant la télé, serrées les une contre les autres. Leurs visages étaient ravagés par les larmes, la douleur était visible dans leur beau yeux. Elles n’avaient pas entendu la porte, trop occupé à regardés les images qui défilaient, à écouter les suppositions des journalistes. Don referma la porte, brusquement trop brusquement ces filles l’avaient entendue ! Mais il ne pouvait pas, quand ses yeux se sont posé sur le visage de Mamie puis de Grace sont cœur c’est arrêté ! Elles lui ressemblaient tant, comment pouvait-il faire face au portrait craché de son épouse, alors qu’elle était entre la vie et la mort dans un hôpital a quelque kilomètre ? Il était presque arrivé à la porte d’entrée, quand il entendit la supplique de ses enfants :
- Papa …
Il s’était arrêté incapable de se retourner, puis il avait sentit des bras l’entouraient, et il avait vu le visage de Louisa sa bébé, en face de lui. Il ne pouvait pas les laisser, il attrapa ses 3 filles dans ses bras et les serra de toutes ses forces contre lui. Puis après 10 minutes ils retournèrent tous dans le salon. Les trois filles s’étaient de nouveau blottit ensemble dans le canapé. Don était assis en face d’eux et personne n’osait parler. Don ne savait pas comment expliqué ce qui c’était passé, ses 3 enfants ne savaient pas si ils voulaient savoir ! Don se leva :
- Je vais faire du chocolat chaud !
D’habitude c’était Meryl qui faisait ca pour ses enfants, quand une de ses filles revenaient en pleure à la maison ! Un grand chocolat chaud puis assis dans le canapé, elle prenait doucement son enfant dans ses bras pour le bercé, pour faire diminuer la douleur, et faire oublier la cause de ses larmes ! Aujourd’hui elle n’était plus la et Don devait consoler ses enfants ! Lorsqu’il revint Louisa c’était endormi vaincu par la fatigué et par les larmes. Il savait qu’a ses deux grandes filles il allait devoir expliqué la situation. Il allait commencé quand la porte d’entrée a sonné, vu l’heure ca ne pouvait être qu’une seul personne. Son fils était en larme devant la porte d’entrée, il l’attrapa dans ses bras le serrant contre lui.
- Rentre, chéri. Murmura-t-il !
Une fois qu’Henri eu rejoint ses sœurs sur le grand canapé, Mamie demandé enfin :
- Papa, qu’est ce qui c’est passé ? Sa voix n’était pas plus forte qu’un murmure !
Les larmes se remirent doucement à couler sur les joues de Don, doucement les mots s’échappèrent de sa bouche …
Flash Back
Ce soir comme tous les soirs depuis prés de 1 ans Meryl et Don c’étaient violement disputé. Encore une fois pour la même raison, le comportement de Meryl. Depuis qu’elle était revenue de Grèce rien n’avait été plus pareil. Elle était devenu froide, distante, mais ce qui faisait le plus mal à Don c’était le malheur évident de son épouse. Et ce soir là les mots avaient dépassé sa pensée :
- Mais si tu es si malheureuse Meryl, pars ? C’est ce que tu attends de toute manière ?
Meryl avait cru que son cœur allait se briser elle avait renoncé a tant pour lui et ses mots si dure si cruel … Et Don pris son absence de réponse comme un oui, sans se retourner il quitta leur maison claquant la porte violement.
Les heures ont doucement passé dans la maison Gummer. Meryl était effondré au sol de son bureau, là ou Don l’avait laissé. Son corps était a bout, des sanglots sans fin lui échappé. Elle était perdue, que faire ? Elle ne savait plus. Elle aurait pu appeler Pierce, mais ce n’était pas la chose à faire, il y a longtemps elle avait fait un choix, celui de sa famille aujourd’hui elle devait vivre avec.
Puis la solution lui vint à l’esprit, c’était lâche c’était abjecte pour ses enfants mais c’était sa seule porte de sortie. Péniblement elle se leva et se traina jusqu’à la salle de bain récupérant le plus de boite de médicament qu’elle trouva. Puis elle rejoignit son salon, ou elle se servit un première verre de Vodka avalant une poigné de comprimé, puis un deuxième verre toujours accompagné de médicament en tout genre, puis un troisième et un quatrième … Puis le noir, le vide plus rien, son cœur ne souffrait plus, son âme ne la tourmentait plus …
Il était plus de 2 Heures du matin quand Don regagna enfin son domicile. Il s’en voulait, il n’aurait jamais du dire ca à Meryl et il le savait. Elle était fragile en ce moment, et il l’avait enfoncé encore plus. Mais il était tellement démuni, tellement perdu face au comportement dernier de sa femme. Le plus doucement possible, il monta les escaliers, et ouvrit la porte de sa chambre mais il n’y trouva personne, le lit n’était même pas défait ! Il essaya la salle de bain, puis les autres pièces du haut. La panique prit possession de son corps, il ouvrit la porte de la chambre de Louisa, il n’y avait personne sa petite dernière dormait exceptionnellement chez une amie. Cette pensée le réconforta, elle n’avait pas eu à entendre cette terrible dispute. Mais il n’y avait toujours pas de trace de Meryl, enfin il retourna en bas et quand il ouvrit la porte du salon il hurla ! Un cri de peur, d’horreur, de douleur :
- MERYL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le corps inerte de son épouse reposait sur le sol de leur salon, il se précipita vers elle, mais rien elle ne bouger pas. Très vite la bouteille de vodka et les boites de médicament lui sautèrent aux yeux. Et il comprit ce qu’elle avait fait ! Il sortit son portable de sa poche et composa la 911 au nom de Meryl Streep, la personne à l’autre bout du fil lui assura que dans quelque minute la meilleure équipe serait la.
Il attrapa doucement le corps de sa femme, le serrant contre lui, déversant toute les larmes de son corps.
- Meryl, je t’en supplie bat toi, accroche toi ! Tu ne peux pas me quitter pas comme ca. Si tu savais comme je t’aime, comme je m’en veux mon amour. Je t’en pris, n’abandonne pas…
Puis avant qu’il ne sache ce qui se passait, l’équipe d’urgences avait fait irruption dans son salon. Il avait attrapé Meryl et l’avait posé sur une planche dure, puis ils ont découpé son haut, on placé divers électrode sur sa poitrine.
- On est entrain de la perdre ! Il faut l’intuber maintenant !
Tout le monde s’affairait autour de la star de cinéma. Une perfusion était relié à son bras, un tube sortait de sa bouche, un machine émettant des bips irrégulier était relié à sa poitrine. Puis sans savoir exactement comment il s’était retrouvé à l’hôpital. Il se souvenant vaguement avoir appelé ses enfants, avoir enlevé les boites de médicament et la bouteille, puis avoir sortir la voiture. Mais tout le reste c’était un grand trou noir. Puis sa vision suivante fut le corps de sa femme, alors que son cœur venait de s’arrêter. Et maintenant il était dans son salon, ou il y a quelque heure l’enfer s’était déchainé.
Fin du Flash-Back
Ses enfants étaient abasourdis, comment leur mère avait pu faire ca ! Comment avait-elle pu croire qu’ils allaient pouvoir survivre sans elle ? Comment avait-elle pu les trahir a ce point ? Pourquoi voulait-elle les abandonner ? Mais ces questions furent de nouveau remplacées par la peur, l’incertitude, le doute….
- Papa pourquoi ? Demanda choqué Henri.
- Si seulement je savais …
Don se leva et attrapa Louisa, il l’a monta à l’étage et l’installa dans son lit. Mamie et Grace étaient toute les deux monté aussi et elles étaient serré l’une contre l’autre dans le lit de l’ainé. Henri quand à lui était resté dans le salon et c’était servi un verre de scotch, Don le rejoint et ils restèrent la tous les deux. Ils avaient toujours étaient heureux et maintenant plus rien n’était sur, les yeux dans le vide ils attendirent demain …