Si tu as l’ouïe fine
Ecoute l’appel, écarte les loups
Ceux-ci hurlent à la mort,
Il n’y aucune jeunesse en eux.
Ce à quoi je te convie,
Ne se convoie pas,
Ne se désire pas,
Personne pour s’en languir.
Débarrasses-toi de tes peaux mortes,
Les abords du Séléné t’attendent.
Peu d’espoir sous les algues
Car sans se languir plus encore, viens…
L’attente n’a été que trop longue.
Alain, 31 décembre 2013 - Hors challenge
http://psyche-d-ames.eklablog.com/Séléné = satelite de Pluton