PACÔME / ZORGLUB: CONFESSIONS ET AUTRES YERBAS...

Nov 18, 2006 15:57

Yerbas? Je ne sais pas! C est un refran de mon pays. Yerba: l herbe pour boire el "mate"!

Enfin, le fanfic:
Note: cette fiction est un chapitre (ou 2) d´une roman. Je l´ai traduit au français, et il a eté un grand travail….Puffff! Pacôme et Zorglub parlent depuis le rencontre de “Panade...”. Et dans le seconde chapitre il y a des souvenirs de la zorglhommization, et…des imaginations secretes de Zorglub…J (Para Amber, la versión española está a disposición).

PACÔME- Mais dis-moi, toutes ces années de solitude, comment faisais-tu pour... ? Je sais déjà, ne me le dis pas. ZORGLUB - Pourquoi, ami ? - Tu pouvais l'avoir par les fois que tu voudrais, je dis, je me réfère à... - Je sentais quelque chose spéciale que je veux te raconter ; il m'arrivait à "ces moments"... je vais te dire. Il pourra être très terrible, mais veux que tu connaisses jusqu'à quel point on approfondissait ma peine. - Peine ? - Peine, oui ! Ou connais-tu une autre façon d'appeler ça? Découvrir, après des années, que personne ne te veut. Cette manque incroyable de ce que tous possédaient ; cette torture qui n'était pas seulement mentale ! Parce que, sais-tu, Pacôme ? L'amour, en moi, était détruit, il se désagrégeait en voulant exprimer ce qui est inexprimable. Et j'ai commencé à jouer d'une manière différente ; torturer, parce qu'ils me torturaient. Il y a des vengeances qui ont l'aspect d'un tunnel sans fin. La mie'était tellement claire, mo'il se présentait aux sens dans une échelle de gris qu'il m'ordonnait : fais ce que tu veux. As-tu comment faire, et pourquoi non ? Je pensais : maintenant je me retourne fou. Surveillait mes mains, des créateurs de science inutile, d'engins jamais appréciés par aucun, les surveillait avec attention, Pacôme. Délibéréement, c'ont été plus tard les instruments de précision avec lesquels j´ organisais le décès cérébral de ces personnes. J´ avait par tout calculé. Tu auras déjà vu la salle où se produisaient les choses. - Les choses, quel ? - Cela, la robotisation. La salle où je m'asseyais... - Ah ! Et dit-moi, la chaise était confortable ? - Oui. Il avait peau... Les chaises de d'eux étaient aussi confortables. Dans la mesure du possible, je procurais que l'essai était agréable. - Oh, sûrement. - Je m'asseyais dans cette salle, il y avait un cristal depuis où je pouvais observer chaque détail des opérations. Lumières de différentes couleurs. Le panneau les émettait. Mais l'emplacement, en elle, brillait dans l´ombre... Mon corps, mes mains clignotaient dans le changement des lumières. J'aimais cela, était comme un spectacle dans lequel il ne faisait pas chaleur. C´est ne savoir pas si l'acteur étaient ils ou moi-même... - Il donne la même chose... - Non, sais-tu ? Parce que, Qu'est-ce que surveillaient-ils ? - Ne surveillaient-ils pas ? - Parfois. Est que cette pente les conduisait rapidement. Peut-être il leur donnait de la peur. - Peur ? - Bien que le pense, j'aie retenu maintenant seulement un regard : celle de ton ami. Oui, il m'a surveillée ainsi, de flanc. Je ne sais pas ce qu'il serait parvenu à voir depuis cette position. J'aimais beaucoup les voir passer. - Il explique mieux cela. - Une nuit j'ai écrit une chanson. Il était pour l´éloge ; non tant pour moi, plutôt à mon oeuvre de maître. Parce qu'ainsi je l'appelait à cet acte scientifique. Pour moi c'était un exploit. Il disait ainsi : "Ce que beaux les policiers de mes nuits!" Mais il était mensonge, je n'effectuais pas cela toujours de nuit... - Ah, non ? - Non ! À ton ami je l'ai conditionné aux neuf heures du matin. Je me rappelle du jour comme d´aujourd'hui. J'ai déjeuné des concombres frais, je me suis lavé les mains avec eau de fresias et je me suis assis face à la machine. La peau était pelucheuse, que beauté ! Je me suis mis confortable. À eux les avait attachés aux chaises, autour du circuit...
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Ce qui passait par sa tête à ces moments ne peut pas être exprimé, maintenant, par l'homme en évocation. Dans cette chaise plongée dans l'ombre, préférentiellement á le matin, (le jour promettait la solitude), le cérémonial de la science il l'installait pour ne pas le laisser aller. Face à cette machine ses meilleurs rêves de pouvoir commençaient à être realité. Serrer ce bouton, le droit, signifiait les propulser à un destin flambant. Dans l'obscurité les yeux lui brillaient avec transparence. Les autres le surveillaient et ne comprenaient pas. Le garçon blond des cheveux épineux en effet a compris. Il l'a vu : il a su que ces yeux brûlaient avec intensité et projetaient la haine. Cette fois, le motif de l'opération a été la vengeance. Cet acte était une magie forcée, bestiale, et aussi un acte de justice. Mais, alors, pourquoi une palpitation dégénérée le consommait le sang, élargissait-il les doigts comme griffes de cristal malignes? Ces réactions étaient un ensemble inopportun qu'il ne pouvait pas éviter. De nuit rappelait à le vieux Pacôme et ses deux amis (tellement amicaux). Le vomissement de haine lui provoquait des tremblements. Les imaginaient à cette même heure en étant donné des soins, en prenant un café, en surveillant la télévision. Amis enthousiastes, un pour l'autre. Avec de tendresse étrangère, cette mansuétude (étrangère) dans les âmes des deux garçons se présentaient dans l'imagination, sucrerie comme jus et en étant glissé entre les lèvres (étrangers, les lèvres). Ah. Comment l'intriguaient les mouvements secrets des deux dans la maison : ouvriraient lentement les cahiers, prépareraient un travail pour le jour suivant. La vengeance lui venait depuis la Lune. Sa lumière, pâle ou cendrée, tombait dans des morceaux froids sur son tête, et il y avait le clignoter d'extase. Sa vengeance était ainsi : pour son goût propre, il les imaginait dans la maison. Oui, ils étaient là, la TV, les cahiers, les jeux des animaux. Et ils ne pouvaient alors pas supporter plus ; de l'amitié et de la tendresse (étrangères) il apparaissait, seulement pour lui, un´eau acide, bufonesque, qui corrompait l'amour juvénile. Dans ces imaginations il les voyait les lèvres, les vides d'expressions chaudes, et maintenant salis avec une langue obscène ou avec des mots sales, et il les préférait ainsi : étrangers, mais propres de toute innocence... Les cheveux de d'un sur la face de l'autre, mains pour la provocation. Gémi lisse. Il savait que cela n'était pas possible, il était convaincu toutefois qu'en effet il l'était. Ils n'étaient pas surveillés au moment des ces arts sales ; c'est pourquoi il pouvait arriver davantage de mensonge, et paraître innocents devant les autres. Maudits! Cela était le péché, il était sûr. Parfois une caresse le parcourait le corps, et il y avait le vibrer avec le diapason congelé des choses étrangères. Il ne voulait pas trembler. Il avait les mains froides, la caresse le laissait dans la lenteur et la ruine. La nuit il le couvrirait définitivement. La lune, par des instants, disparaissait.

fantasio, zorglub, comte de champignac

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