Comme l'an dernier, l'année d'avant , et celle d'avant, voilà le bilan fandomique de l'année qui vient de s'écouler : 2016. Je le fais en retard, mais c'était important pour moi de poster ce bilan.
The Cursed Child m'a donné l'impression d'une fanfiction du début de mon entrée dans la vie de fandom (aux alentours de 2005-2007), avec plein de trous de scénario, des retournements de situation peu subtils, mais quelques trouvailles ingénieuses - je l'ai beaucoup redit, mais comme ça me fait sauter sur ma chaise, ben tant pis : HERMIONE GRANGER EST NOIRE \o/ Et puis j'ai couiné sur bébé Albus et bébé Scorpius, dont la relation est toute choupie et attachante.
Fantastic Beasts ne m'a en revanche pas déçue, alors que justement, je craignais beaucoup le concept même d'un Newt Scamander "à la Hollywood" (entendre "grilles et sectarisme d'Hollywood" derrière ce terme, car c'est maintenant bien connu que les gros studios sont quand même pas des champions de la diversité xD ). Donc j'étais rassurée de constater qu'ils en avaient fait un personnage - certes blanc et en apparence hétéro mais bon bah on n'est pas sur Tumblr xD - mais marqué par sa douceur (les scènes du Botruc !!), ses instincts maternels ("Mommy is here" *^^* ), une misanthropie de doux rêveur ("The worst beasts of this world... humans"), une maladresse très touchante et ce que j'ai interprété comme un positionnement sur le spectre de l'asexualité grise - le final m'a plu, par exemple.
Et puis j'ai aimé plein de détails créatifs, inventifs, très potteriens : l'elfe de maison qui chante dans un bar en robe pailletée à la Ella Fitzgerald, les sublimes décors du MACUSA, la Légilimentie accidentelle de Queenie, le concept même d'Obscurial, la société de Salem... Le film m'est resté longtemps en tête, m'a donné de l'inspiration pour renouer avec cet univers, et ouvrait davantage de portes qu'il n'en fermait. J'ai juste un gros bémol sur le retournement de situation du climax, mais à part ça, cela restait un moment de fandom précieux.
Je note tes plussoyages sur Jessica Jones (dont justement, les thématiques pas jo-jo frappent un peu trop près de ma maison pour que ce me soit facile de m'y lancer sans arrière-pensée ^^") et surtout Voltron, car j'ai besoin de douceur, de tendresse et de choupitude en ce moment !!
Fantastic Beasts ne m'a en revanche pas déçue, alors que justement, je craignais beaucoup le concept même d'un Newt Scamander "à la Hollywood" (entendre "grilles et sectarisme d'Hollywood" derrière ce terme, car c'est maintenant bien connu que les gros studios sont quand même pas des champions de la diversité xD ). Donc j'étais rassurée de constater qu'ils en avaient fait un personnage - certes blanc et en apparence hétéro mais bon bah on n'est pas sur Tumblr xD - mais marqué par sa douceur (les scènes du Botruc !!), ses instincts maternels ("Mommy is here" *^^* ), une misanthropie de doux rêveur ("The worst beasts of this world... humans"), une maladresse très touchante et ce que j'ai interprété comme un positionnement sur le spectre de l'asexualité grise - le final m'a plu, par exemple.
Et puis j'ai aimé plein de détails créatifs, inventifs, très potteriens : l'elfe de maison qui chante dans un bar en robe pailletée à la Ella Fitzgerald, les sublimes décors du MACUSA, la Légilimentie accidentelle de Queenie, le concept même d'Obscurial, la société de Salem... Le film m'est resté longtemps en tête, m'a donné de l'inspiration pour renouer avec cet univers, et ouvrait davantage de portes qu'il n'en fermait. J'ai juste un gros bémol sur le retournement de situation du climax, mais à part ça, cela restait un moment de fandom précieux.
Je note tes plussoyages sur Jessica Jones (dont justement, les thématiques pas jo-jo frappent un peu trop près de ma maison pour que ce me soit facile de m'y lancer sans arrière-pensée ^^") et surtout Voltron, car j'ai besoin de douceur, de tendresse et de choupitude en ce moment !!
Reply
Leave a comment