[Fic] Douceur et candeur
Fandom : Gisèle Alain
Disclaimer : L'univers et les personnages appartiennent à Sui Kasai.
Personnages : Colette → Gisèle Alain
Rating : PG
Notes : Ou comment rédiger sur un manga peu connu.
Gisèle était belle. Fraîche comme le sont toutes les jeunes filles avant de devenir adultes. Colette admirait chacun de ses gestes. Comment elle se tendait, sur la pointe des pieds, pour saisir un livre, tout en haut de la bibliothèque. Quand elle tirait la langue, concentrée à rédiger une lettre, sa plume grattant le papier. Sa façon de réprimander son chat pour ensuite le prendre dans ses bras et le caresser, enfouir son visage dans son pelage.
Parfois par jeu, souvent par envie, Colette prenait Giselle dans ses bras. Glissant ses bras dans son cou alors qu'elle était penchée sur son bureau. Observant sa nuque découverte, nue et tentatrice, véritable invitation aux baisers. Elle jouait avec Gisèle à des jeux de pensionnaires, n'allant jamais trop loin. Se contentant de caresses, de chatouilles qui poussaient Gisèle à rire aux larmes.
Parfois lui échappait un baiser qui allait se nicher au creux des lèvres.
Après tout Colette avait déjà beaucoup offert à Gisèle. Un baiser sur les lèvres, un baiser qui avait fait rougir la demoiselle jusqu'aux oreilles. Et Colette riait encore de cette gêne, alors que Gisèle avait assisté, quelques minutes auparavant, à son spectacle de strip-tease sans sourciller. Elle l'avait même admiré, trouvant son spectacle sublime.
Véritable vierge ingénue, petite noble ayant quitté sa famille, s'émerveillant de tout comme l'enfant qu'elle était.
Toute cette douceur, cette candeur, attirait Colette. Et même si d'autres femmes se retrouvaient dans ses draps, se lovaient dans ses bras, Colette continuait à songer à Gisèle. Et priait chaque jour pour que cette dernière grandisse vite, très vite.
Disclaimer : L'univers et les personnages appartiennent à Sui Kasai.
Personnages : Colette → Gisèle Alain
Rating : PG
Notes : Ou comment rédiger sur un manga peu connu.
Gisèle était belle. Fraîche comme le sont toutes les jeunes filles avant de devenir adultes. Colette admirait chacun de ses gestes. Comment elle se tendait, sur la pointe des pieds, pour saisir un livre, tout en haut de la bibliothèque. Quand elle tirait la langue, concentrée à rédiger une lettre, sa plume grattant le papier. Sa façon de réprimander son chat pour ensuite le prendre dans ses bras et le caresser, enfouir son visage dans son pelage.
Parfois par jeu, souvent par envie, Colette prenait Giselle dans ses bras. Glissant ses bras dans son cou alors qu'elle était penchée sur son bureau. Observant sa nuque découverte, nue et tentatrice, véritable invitation aux baisers. Elle jouait avec Gisèle à des jeux de pensionnaires, n'allant jamais trop loin. Se contentant de caresses, de chatouilles qui poussaient Gisèle à rire aux larmes.
Parfois lui échappait un baiser qui allait se nicher au creux des lèvres.
Après tout Colette avait déjà beaucoup offert à Gisèle. Un baiser sur les lèvres, un baiser qui avait fait rougir la demoiselle jusqu'aux oreilles. Et Colette riait encore de cette gêne, alors que Gisèle avait assisté, quelques minutes auparavant, à son spectacle de strip-tease sans sourciller. Elle l'avait même admiré, trouvant son spectacle sublime.
Véritable vierge ingénue, petite noble ayant quitté sa famille, s'émerveillant de tout comme l'enfant qu'elle était.
Toute cette douceur, cette candeur, attirait Colette. Et même si d'autres femmes se retrouvaient dans ses draps, se lovaient dans ses bras, Colette continuait à songer à Gisèle. Et priait chaque jour pour que cette dernière grandisse vite, très vite.