un poeme

Oct 25, 2008 00:53

Quand je souris au monde,
Les étrangères me rendent leurs yeux
qui se méfier des autres...
Mais les arbres avec leurs couleurs d’automne,
ils ses effeuillent à me saluer ;
les feuilles me donnent les petites tapes sur ma tête.

Quand je me trompe essayant,
Les faux amis me rendent leurs yeux froids
à me rappeler que l’élégance me manque.
Mais la pluie avec sa belle voix musicale,
elle fait la danse sur mon parapluie ;
les pas me chantent les sérénades.

Je trouve la joie parce qu’il me laisse jamais.
La joie pure me suit sans cesse en forme de la nature.

-Yin
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