Bien commencer la journée
Je ne regrette pas d'avoir pris le tram ce matin !
C'est ce par quoi je voulais commencer mon post, ça serait très bien passé si ça ne c'était pas passé hier.
Tant pis, on a qu'à faire comme si.
- Mais pourquoi ne regrette-t-il pas d'avoir pris le tram hier matin ? Et surtout, pourquoi est-ce qu'il revient l'air de rien
comme si la dernière fois qu'il était passé remontait à la veille alors que son dernier post date d'il y a dix mois ?
Oui, j'avoue, pour l'absence j'ai un peu honte et j'étais tellement embarrassé que je ne savais pas trop comment revenir,
tous les jours rendant le dilemme un peu plus insoluble...
Bref !
J'attendais à l'arrêt de tram lorsqu'un un brave homme, arborant un gilet 20 minutes, me glissa dans les mains le quotidien éponyme,
je pu ensuite, une fois assis dans le wagon de tête du transport en commun urbain, lire la section « 20 news ».
Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je lu la première de ces news ; « La cyber-humanité, l'humanité en mieux ? ».
Les plus geeks auront déjà compris ce qui m'a alors fait rire comme un abruti - intérieurement, bien entendu, je sais me tenir en société -.
La sortie du troisième jeu de la série Deus Ex, human révolution, remonte au 26 août dernier,
ça fait presque deux mois, d'accord, mais j'étais assez sceptique concernant la qualité de ce jeu alors je ne me suis pas jeté dessus,
comme je le regrette aujourd'hui...
Si vous vous êtes déjà penchés sur ce jeu, avouez qu'on pourrait inclure cette coupure de presse en préface d'un dossier retraçant le cadre historique de la série Deus Ex.
Certes, le transhumanisme est un vrai sujet qui existe au delà de ce jeu mais je pense que tous les gens qui auront joué à Deus Ex prendront chaque occurrence de ce thème pour un clin d’œil.
Si on n'a pas pensé plus tôt au rapport, les premiers mots du dernier paragraphe représentent plus qu'une simple similitude ;
« « L'homme augmenté » », celui qui survivra à l'humanité non modifiée, est le même dont les qualités sont vantés dans les publicités pour Sarif Industries.
2027, ce n'est que dans 16 ans.
Si la journaliste qui a fait cet article ne pensait au jeu en l'écrivant, elle ne doit pas se douter qu'elle a égayé la journée d'au moins un gamer.