Je retombe dans la fanficion et voilà que je tombe sur un échange de fics avec des kinks. C'est donc avec beaucoup de joie et d'émotion aussi que je poste ma fiche. (merci à
andersandrew pour l'organisation, et le post original se trouve
ici)
(
La suite ici )
La chair frissonnante du garçon rougit sous l'effort. Il tenta de supporter l'étirement, la gêne, car il s'agissait d'une étape nécessaire. Il ouvrit la bouche sur un râle silencieux, un peu de salive brillant au coin de ses lèvres fines.
Durant un temps qui lui parut beaucoup trop long, il ne fut plus qu'un désordre de gémissements et d'imprécations autoritaires murmurées. Puis vînt le moment qu'ils attendaient avec impatience depuis le début.
Hadrien se positionna contre lui, lui écartant les fesses avec deux doigts. Antinoüs prit une grande inspiration.
L'empereur envahit son fondement d'une poussée brusque, lui coupant le souffle sous la force de l'intrusion.
C'était un moment toujours difficile, et, malgré son contrôle, l'éphèbe ne pouvait retenir des couinements indignes d'inconfort. Son amant les faisait passer du mieux qu'il pouvait, tout en promesses et caresses de réconfort.
Cela ne l'empêchait pas d'imposer un rythme de plus en plus rapide avec ses reins, s'enfonçant et se déversant chaque seconde un peu plus dans cette chaleur accueillante et resserrée d'Antinoüs. Ce dernier poussait des cris aiguës, la voix haute, les jambes levées en l'air ; et il savourait chaque impact du corps de l'empereur contre le sien, maîtrisant sa passion en lui offrant l'étreinte protectrice de ses bras. Peu à peu, la douleur refluant, il pouvait se mettre à apprécier le glissement sensuel en lui, la satiété étrange de cette intrusion, et les grognements d'extase de l'homme au dessus de lui. L'empereur qui le désirait à en marteler ses bourses contre les siennes, à s'épuiser jusqu'à en avoir le souffle rauque et bruyant, puis à en exploser littéralement lorsqu'Antinoüs, avec une expression chaste, contracte ses muscles sur son membre épais, qui s'enfouit alors au plus profond de lui, le remplissant de sa sève vitale, incandescente.
Content de lui, le garçon se détend, relâchant ses muscles jusqu'alors tendus. Il s'étale sur les draps, laissant Hadrien se reprendre, regagner sa maîtrise de soi, et retirer son sexe flasque de son anus endolori par un si vigoureux exercice.
Il jouira après, quand l'empereur sera parti. Il se rappellera le râle d'Hadrien, le jaillissement brusque en lui, l'écoulement entre ses fesses - à la fois souillure et preuve d'accomplissement de leur amour.
Et il sourira à l'absent, tout entier dévolu à sa dominance absolue de la montée de leur plaisir à tous les deux.
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Merci beaucoup ! J'étais loin d'espérer pouvoir lire quelque chose sur ces deux-là et j'aime bien la façon dont tu les as décrit ^^
(et puis Antinoüs <3)
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