scribouillage
Les 300 premiers mots de la suite de Soul Blue :)
Bruce le raccompagna jusqu’à la porte de son immeuble.
La soirée s’était bien passée, tellement bien passée que Dick s’était attendu à ce que le Joker débarque au moment du dessert. Bruce avait charmé Charlene et Dennis et, régulièrement, posé une main légère sur la cuisse de Dick, une simple pression avant de s’écarter.
Dick savait que son propre comportement avait été plus réservé que d’ordinaire - il cherchait encore à rétablir son équilibre intérieur.
À la fin de la soirée, ça allait mieux. Ils dirent au revoir aux West ; dès les premiers pas dans la rue, Bruce passa un bras presque hésitant autour des épaules de Dick.
Dick lui tira sur la main - oui, il était d’accord et bon Dieu, Bruce, je ne vais pas m’effaroucher !
Ils marchèrent en silence jusqu’au métro, Dick passa sa carte de transport deux fois devant la machine afin de payer pour le trajet de Bruce aussi. Ce dernier haussa un sourcil mais ne commenta pas. Ils restèrent debout dans le wagon malgré les sièges vides, Dick se pressa contre Bruce comme si c’était bondé.
Lorsqu’ils arrivèrent devant son immeuble, Bruce s’arrêta. Dick se tourna vers lui, ouvrit la bouche (Monte) mais Bruce l’embrassa, une main sur sa nuque. Puis il s’écarta d’un pas.
« Je t’appelle demain, pour le dîner. »
Dick eut besoin d’une seconde pour se souvenir, le temps qu’il fallut à une limousine pour se garer le long du trottoir. Un chauffeur en descendit et vint ouvrir la porte à Bruce.
« Le GPS de la voiture est connecté à ton téléphone portable pour te situer, c’est ça ? »
Bruce lui offrit un sourire fugace, lui pressa la main.
« Bonne nuit », dit-il.
Dick lui rendit son sourire et regarda la limousine s’éloigner.
Demain soir, se promit-il.
Batman ne le rejoignit pas au cours de sa patrouille.
Bon courage, Dick. *ton solennel*
Bruce le raccompagna jusqu’à la porte de son immeuble.
La soirée s’était bien passée, tellement bien passée que Dick s’était attendu à ce que le Joker débarque au moment du dessert. Bruce avait charmé Charlene et Dennis et, régulièrement, posé une main légère sur la cuisse de Dick, une simple pression avant de s’écarter.
Dick savait que son propre comportement avait été plus réservé que d’ordinaire - il cherchait encore à rétablir son équilibre intérieur.
À la fin de la soirée, ça allait mieux. Ils dirent au revoir aux West ; dès les premiers pas dans la rue, Bruce passa un bras presque hésitant autour des épaules de Dick.
Dick lui tira sur la main - oui, il était d’accord et bon Dieu, Bruce, je ne vais pas m’effaroucher !
Ils marchèrent en silence jusqu’au métro, Dick passa sa carte de transport deux fois devant la machine afin de payer pour le trajet de Bruce aussi. Ce dernier haussa un sourcil mais ne commenta pas. Ils restèrent debout dans le wagon malgré les sièges vides, Dick se pressa contre Bruce comme si c’était bondé.
Lorsqu’ils arrivèrent devant son immeuble, Bruce s’arrêta. Dick se tourna vers lui, ouvrit la bouche (Monte) mais Bruce l’embrassa, une main sur sa nuque. Puis il s’écarta d’un pas.
« Je t’appelle demain, pour le dîner. »
Dick eut besoin d’une seconde pour se souvenir, le temps qu’il fallut à une limousine pour se garer le long du trottoir. Un chauffeur en descendit et vint ouvrir la porte à Bruce.
« Le GPS de la voiture est connecté à ton téléphone portable pour te situer, c’est ça ? »
Bruce lui offrit un sourire fugace, lui pressa la main.
« Bonne nuit », dit-il.
Dick lui rendit son sourire et regarda la limousine s’éloigner.
Demain soir, se promit-il.
Batman ne le rejoignit pas au cours de sa patrouille.
Bon courage, Dick. *ton solennel*