La Batfamille : Partie II

Aug 18, 2008 18:21

I. Le Who’s who du Batclan

II. One big, (mostly) happy, fucked up family (ou : Iiiiils s’haiment…)

1. La chauve-souris et ses rouges-gorges




Batman est toujours très protecteur envers ses Robins. À intervalles régulières, il réalise le danger qu’il leur fait courir et panique. Les Robins quant à eux ne laissent ni ses menaces, ni les engueulades, ni la mort les séparer de lui. Du moins pas pour de bon.

1. Bruce et Dick




Oulà, tout un poème. Épique. Genre l’Iliade et l’Odyssée.
Tout d’abord, rappelons que Bruce et Dick n’ont pas plus de quinze ans d’écart, que c’est Alfred (comme on nous le rappelle dans Dark Victory) qui s’est occupé de l’éducation de Dick. Batman faisait figure de mentor, et non pas forcément/uniquement de figure paternelle comme on a tendance à imaginer. D’ailleurs, la dynamique pseudo père-fils est une « nouveauté » : jusque dans les années quatre-vingts, il n’était pas question de cette dimension entre eux. Bruce et Dick/Batman et Robin ont souvent été catalogués de héros gays, de couple gay : pour corriger cette image, il y a eu la création de Batgirl (et de la peu connue Batwoman…) ainsi que divers autres procédés plus ou moins légitimes…

Ils sont l’incarnation parfaite du « Dynamic Duo », ils sont des partenaires hors-pairs et en parfaite synchronisation. Mais leur absence de communication une fois les masques tombés est légendaire. Bruce est incapable de montrer son affection pour Dick de façon claire, et cela jouera beaucoup dans leur « rupture ».
Le comportement de Bruce est très paradoxal : il accepte que Robin patrouille avec lui, mais ne supporte pas qu’on lui rappelle le danger qu’il coure. À chaque fois que Robin se retrouve en position périlleuse (par exemple, la cible du Joker) ou perturbé émotionnellement, Bruce essaie de l’empêcher d’être Robin. Et plutôt que de dire franchement qu’il s’inquiète pour son pupille, il fait comprendre que Dick n’est pas assez fort, assez mature, digne de son masque.
Au final Bruce préfère éloigner Dick de lui plutôt que d’être responsable, de près ou de loin, de sa détresse. Il y a quelque chose d’égoïste à sa façon de mettre de la distance entre eux.

Bruce sépare très bien Robin et Dick : ce n’est pas parce qu’il vire Robin que Dick est chassé, aussi prend-il encore plus mal leur « rupture », car Dick quitte le Manoir Wayne.
Pour Dick, la limite est plus floue : en rejetant Robin, Batman et Bruce le rejettent tout entier. Ce qui rend l’arrivée de Jason encore plus douloureuse.

Néanmoins, lorsque Dick, sous le masque de Nightwing, vient confronter Batman à propos du nouveau Robin, Batman, après avoir sorti différentes excuses, finit par avouer que Dick lui manquait.
Cela ne résout rien à ce moment-là car Batman se dépêche de rejeter de nouveau Dick dans la foulée, mais permet à ce dernier d’accepter Jason et de repartir sur un meilleur pied.
La tension entre eux ne commencera à s’apaiser qu’à l’arrivée de Tim et ils ne se réconcilient pour de bon que plus tard lorsqu’après un combat contre le dénommé Bane, Batman est supposé mort. Seul Dick refuse de croire à son décès. Batman, qui n’est que paralysé pour un temps, se choisit sans en parler un successeur provisoire (Azrael, donc) qui se révélera instable. Après le retour de Batman, Dick est très blessé de ne pas avoir été dans le secret et de ne pas être celui à qui Bruce a demandé de reprendre le costume de Batman.
Bruce le lui justifie en disant que Dick est désormais indépendant et qu’il ne voulait pas lui imposer cela, en réalité il ne voulait pas que Dick ait à affronter Bane.




Quelques temps après, Bruce présente des papiers d’adoption à Dick. Il précise qu’il ne s’agit que d’une pure formalité et qu’il n’avait jamais osé avant, par respect pour ses parents.
Étrangement, Bruce avait les papiers depuis un certain temps, et c’est lorsque Dick vient lui apprendre que Barbara et lui tentent une relation qu’il les brandit.
(Waaaah, panique ! Dick s’échappe ! Encore ! Reviens, j’ai les mêmes à la maison ! Signe le papier, Dick, signe le papier, que tu puisses plus te débarrasser de moi… Je les aurai tous ! TOUS ! Tous mes Robins !)

Batman avouera à Superman qu’il avait beaucoup souffert de l’absence de Dick et avait eu du mal à le laisser voler de ses propres ailes et confie régulièrement la fierté qu’il ressent à chaque fois qu’il voit Nightwing, mais presque jamais à Dick directement. Ou alors seulement si la Terre est sur le point de s'effondrer (parce que, pour sauver Dick, Bruce a refusé d'épouser le Superman d'une autre Terre. ET C'EST A PEINE UNE EXAGERATION, ON ETAIT TRAUMATISEES DE TANT DE SLASH EN SI PEU DE CASES.)

Hush nous présente les pensées de Batman après leur réconciliation : il dit à quel point il est fier de Dick, que ce dernier est la meilleure chose que Batman ait jamais eue et fait comprendre la place toute particulière que Dick tient pour lui : Dick n’hésite pas à lui faire des réflexions directes, Bruce l’écoute et les accepte et signale que Dick est le seul à lui parler ainsi et à en avoir le droit. Squee. Il y a aussi souvent des références à Dick comme étant « le préféré » de Bruce.

De son côté, Dick est d’une loyalitude et d’une fidélitude absolue envers Bruce/Batman, et a un besoin constant de le lui prouver. Ça effraie sûrement beaucoup Bruce et ce doit être une des raisons qui le poussent à essayer de maintenir une certaine distance avec Dick sans pour autant être capable de le laisser partir. Mais il sait que s’il demande à Dick de sauter, Dick lui fera : « Ok. À partir de quelle hauteur ? ».
Nightwing est une slut, il n’existe probablement pas un superhéros qu’il n’a pas embrassé et plus selon affinités, mais Bruce reste son One True Love, de façon platonique ou pas (chacun voit les choses comme il veut XD).




Mais nul autre qu’un auteur officiel ne pourra mieux parler d’eux, aussi nous laissons la parole à Devin Grayson…
On vous a traduit un bout de son interview, mais on vous encourage vivement à lire l’intégralité de son point de vue sur la relation de Dick et Bruce.

Gay League : J’ai entendu dire que vous aviez dans l’idée que Dick était attiré par Bruce. D’où ça vient ? Cela pourrait être un rebondissement intéressant si Dick se trouvait attiré par Bruce mais que Bruce ne ressente pas la même chose.
Devin Grayson : « Ok, voilà comment je vois les choses :
[…]
[Dick] veut rendre Batman heureux. […]

Le drame, c’est que bien sûr, c’est déjà le cas. Dick n’a aucune idée d’à quel point il a influencé la vie de Bruce. Pour nous, il n’y a aucun doute que Bruce l’aime comme un fou. Pas de façon romantique mais mon Dieu ! il est tellement fier de ce gamin, tellement enchanté de sa résistance et de sa vivacité. Dick a fait autant qu’on puisse faire pour rendre Bruce heureux. […]

(Se croyant) […] Incapable de rendre [Bruce] heureux, Dick se retrouve à la fin de son adolescence sans savoir vraiment ce qu’il est pour cet homme. Il sait qu’il ne pourra pas rester un sidekick toute sa vie. Et « pupille » cessera d’avoir une signification à l’instant même où il aura dix-huit ans. Il n’est pas vraiment le fils de Bruce, et il n’est certainement pas primordial à la mission… tout cela ne fera-t-il que se terminer ? Dick est terrifié. Il doit absolument découvrir ce qui lui permettrait de faire partie de la vie de Bruce pour toujours. […]

Alors que Bruce se satisfait de désirer Catwoman ou Talia de temps à autres, Dick vient de soudainement tourner une page de sa vie qui rend difficile toute pensée au-delà de l’épais brouillard des hormones. Voilà deux personnes très physiques, ainsi qu’extrêmement séduisantes et, dans sa peur de perdre toute importance, je crois que Dick Grayson peut être tombé sur l’idée d’une relation amoureuse. Elle lui permettrait de rester au Manoir et dans la vie de Bruce de manière permanente ; cela le rassurerait sur les sentiments de Bruce à son égard, lui offrirait un soulagement physique bien nécessaire et peut-être, peut-être même que cela aiderait Batman à être plus heureux et plus détendu. À quel point ce dernier l’aime-t-il et lui fait-il confiance ? Ce type de relation serait-elle possible ? Dick étant cette personne courageuse et audacieuse que Batman l’a aidé à devenir, il décide de le découvrir.

[…] L’intégralité de la scène aurait duré environ vingt seconds, et ils se souviendraient tous les deux de ce jour de façon viscérale, presque fiévreuse. […]

J’imagine que cela a commencé par une question. À un moment arbitraire, dans la Batcave, Dick demande: « Qu’est-ce qu’il m’arrivera quand j’aurai dix-huit ans ? Qu’est-ce qu’il nous arrivera après que ces… papiers… n’aient plus aucun sens… ? »
Ce à quoi Bruce répond, comme le ferait quelqu’un qui ne s’est pas focalisé sur cette fin du monde potentielle pendant des mois : « Mmh ? »

Alors peut-être que Dick arrête d’utiliser les mots. Peut-être se rapproche-t-il soudain de Batman, sombre et déterminé d’une façon étrangement excitante ; de la chaleur irradie de lui en vagues lorsqu’il appuie les lèvres contre celles de Batman - une force irrésistible se jetant contre un objet immuable. Et si c’est arrivé, alors j’imagine que deux choses traversent l’esprit de Batman à cet instant.

Tout d’abord, cette personne désormais face à lui n’est PAS un petit garçon. Cela fait des années qu’il ne l’a pas regardé, pas pour de vrai. Et penser à la perte de ce petit garçon le glace de chagrin. Il est tellement, inexcusablement, follement attaché à ce petit garçon (danger, danger, danger ! amour = mort) et ce dernier n’existe plus, a plus ou moins disparu. Ce petit garçon qui lui appartient, pour de vrai - légalement, loyalement, financièrement, une possession de dette de vie, de marque posée, de création, d’encouragement, de promesses jurées. Corps et âme.

Ce qui signifie que ce non-petit garçon face à lui, cet être lui appartient aussi. Cet être qui a une apparence différente, un mode de pensée différent et, bordel, même une odeur différente (mais comment a-t-il pu ne pas s’en rendre compte ?!), et néanmoins il le reconnaît absolument. Absolument. L’esprit est toujours le même, et peut-être que quelque chose au plus profond de Batman fait un geste pour s’en saisir, le serrer contre lui, pour étouffer le terrible chagrin d’avoir perdu ce petit garçon, qui n’a pas à être terrible du tout, car cet être face à lui, tremblant d’audace et de passion, qui le regarde de ces yeux bleus familiers à lui en couper le souffle, il est, de façon si frustrante, tellement IDENTIQUE qu’avant même de pouvoir y penser, peut-être que Batman se tend vers Dick − non pas pour répondre au baiser mais pour le briser à mains nues et délivrer la forme qu’il reconnaît mieux : son rayon de soleil lumineux, son petit lutin malicieux, son petit garçon.

Alors le non-petit garçon s’approche des mains de Batman avec une telle absence de peur que ce dernier en recule, d’un pas rapide en arrière, et tout en le faisant il sait que le non-petit garçon l’a vu vaciller, que cette âme à côté de laquelle il a respiré pendant plus de huit ans ne pourra désormais plus prendre un autre chemin que celui d’un dévouement absolu à le poursuivre, jusqu’à la victoire finale et douloureuse. Parce que je crois que Dick aurait raison s’il affirmait plus tard que Bruce lui-même était partiellement en tort. Bruce aura reculé, après tout, c’est vrai. Et il a lui-même appris à Dick Grayson à ne jamais laisser fuir un opposant qui bat en retraite.

Je ne crois pas qu’ils soient gays. […] Ce que je crois, c’est qu’ils ont une relation monstrueusement compliquée qui souffre souvent d’une surabondance d’anxiété et se cogne contre une grave absence de communication. Je pense qu’ils s’aiment de façon familiale, mais qu’ils ont si peu connu leurs familles qu’ils savent à peine ce que c’est ou ce que cela signifie. […]

Je ne fais pas de cette théorie l’explication absolue de l’évolution psychologique de la dichotomie Wayne/Grayson… C’est juste ce qu’il y a dans ma tête et mon cœur lorsque j’écris. […] »

Nous, on n’aura qu’une chose à dire pour conclure : Bruce/Dick OTP (et croyez-nous quand on vous dit qu’on aurait jamais cru défendre ça un jour !).
Et si vous en doutez, sachez qu’aux dernières nouvelles ils sont partis en croisière. Véridique.




2. Bruce et Jason



Batman l’a avoué : Jason était là pour combler l’absence de Dick. Il cherchait trop le précédent Robin en lui pour réussir à comprendre et guider un Jason déjà bien violent et difficile à vivre. Néanmoins, Bruce avait de l’affection pour Jason et sa mort sera un énorme traumatisme qui le ronge et ressurgit régulièrement.
Le retour de Jason est extrêmement douloureux pour l’un comme pour l’autre, Jason réalise son statut de remplaçant en se voyant lui-même remplacé et encore une fois Batman se retrouve impuissant devant la colère et le désarroi de son second Robin.
Jason a toujours cherché par tous les moyens à obtenir l’attention de Bruce et cela continue : il kidnappe Tim pour prouver qu’il est meilleur que lui. Il veut que Batman le choisisse lui.




Il lui pose à plusieurs reprises des ultimatums, cherchant à pousser Batman à tuer le Joker. Encore une fois, c’est un Robin qui ne sait pas où est sa place et quelle importance il a pour Bruce.
Tout comme Dick, Jason finit par se trouve une nouvelle identité, celle de Red Hood.
Jason et Batman se battent parfois de paire, poussés par les circonstances, mais le premier ne peut s’empêcher de provoquer le second et d’être agressif. Batman rentre systématiquement dans son jeu, toujours enfermé dans sa nature de mentor ; de fait ils ne cessent de se rater et de manquer leur réconciliation.
Contrairement à Dick, Jason n’a jamais de réponses à ses questions. Il n’osera probablement jamais les demander à Bruce, de peur de ce qu’il pourrait entendre ou ne pas entendre (toudooooum).Il est aussi un chouia drama queen.

3. Bruce et Tim




C’est Bruce qui ira récupérer Tim lorsque celui-ci découvrira son père mort.

La relation de Bruce et Tim est la plus simple. Tim est le petit dernier et malgré le fait qu’il ait (pendant un temps) un père, Bruce est pour lui une vraie figure paternelle.
Autant il a eu du mal à accepter Tim, autant par la suite c’est avec lui qu’il se montrera le plus ouvertement affectueux. Il propose beaucoup plus facilement à Tim de l’adopter et n’hésite pas à réitérer sa proposition. Il n’hésite pas non plus à le poursuivre lorsque Tim disparaît et à le complimenter au besoin, ce qui est plus que n’ont jamais eu les deux autres. Si on dit que Dick est le préféré, Tim, lui, est le mieux aimé. Il est sûrement un des seuls de tout le DC à pouvoir faire des câlins à Batman sans être jeté (Dick, lui, force les câlins à un Batman étrangement tétanisé et d’une raideur absolue, mais il faut dire qu’il s’obstine à les donner en PUBLIC).

Des trois Robins, Tim est celui qui ressemble le plus à Batman dans son comportement comme dans sa façon de réfléchir. Tout comme Batman c’est un détective.




De fait, c’est un Robin calme et obéissant qui n’a jamais l’occasion de douter de sa place, tant au Manoir Wayne qu’auprès de Batman.
Et si Dick est l’héritier de Bruce Wayne, Tim, lui, est celui de Batman.




Pour le moment, il se plait dans le rôle de Robin, mais de tous, nous estimons qu'il serait celui qui supporterait le mieux le poids du masque de Batman.

Tim a participé à la Bat-croisière (s’amuse) avec Bruce et Dick, one big happy family, on vous dit !





2. Piles of Robins




Le schéma est simple : Dick est le frère aîné protecteur et l’acrobate, Jason le cadet rebelle et frustré et la force brute, Tim le petit dernier chouchouté et martyrisé et le ninja geek.

1. Dick et Jason




Comme dit précédemment, ils ont eu un départ difficile mais la nature protectrice de Dick fait son apparition : il va jusqu’à offrir son vieux costume de Robin à Jason pour l’encourager et le surveille de loin.

Lorsque Jason devient Red Hood, il garde une vague relation avec Dick, qui consiste à s’agripper le col et se tenir très près l’un de l’autre avant d’échanger des informations.
Au retour de Dick de sa lune de miel son voyage avec Bruce et Tim, il découvre que Jason lui a piqué le costume de Nightwing (Jason est un garçon assez répétitif). Jason refuse de le lui rendre, l'appelle "brother" et titille Dick pour qu’ils fassent équipe (« Allez, Diiick-euuuuh ! Joue avec moi ! Tu joues toujours avec Tim, jamais avec moiiii !»), Dick ne veut pas car les méthodes de Jason sont trop violentes, mais lorsque ce dernier se fait capturer, Dick part à la rescousse de son petit frère problématique.
Dans cet arc, on nous dit que Jason fait du hero worship envers Dick, et Dick retient ses coups pour ne pas blesser Jason.
Après, Jason repart enfin mais envoie une lettre à Dick pour lui dire qu’il l’aime et le considère comme sa famille. Awwwwww ! ♥
À noter que Jason va bientôt piquer un troisième costume à Dick, celui de Red Robin. Non, il n’est pas obsessionnel, il montre son amour.
Comme nous le disions, la Batfamille a toujours une façon bien à elle de prendre des nouvelles des autres et de communiquer. Ils s’aiment quand même.

2. Jason et Tim




Eux ont eu un départ encore plus difficile. Jason, blessé de se voir remplacer, s’en est pris à Tim qu’il jugeait indigne du masque de Robin. Il le kidnappe plusieurs fois et va le tabasser défier jusque chez les Titans. Tim finit tout de même par prouver sa valeur. Jason finit par reconnaître que Tim est un bon Robin et fait sa drama queen en lui accordant son respect, mais à contrecœur, hein, et sans jamais lui dire, parce que c’est pas comme ça que ça se passe dans la Batfamille, et Tim est déjà bien assez le chouchou.
On ne sait pas s’ils vont se réconcilier vraiment mais on compte sur Nightwing. Sinon Jason restera dans son coin d’un air agressif et Tim restera trois pas en arrière, au cas où il voudrait encore lui arracher le R de sa tunique. Même si c’est du kevlar.

3. Dick et Tim




C’est bien simple : Dick l’appelle « petit frère » et Tim lui voue une admiration sans faille, ce depuis qu’il a cinq ans.
Tim est même un chouïa obsessionnel : il est capable, et c’est canon, de reconnaître l’après-rasage de Dick. Il souffre toujours beaucoup de leurs rares disputes et n’hésite pas à sortir des jeux de mots vaseux si c’est pour imiter son aîné, à la profonde mortification de Batman qui ne les a pas élevés comme ça, bon sang.
Ils se rendent régulièrement visite, prennent soin l’un de l’autre et patrouillent ensemble avec plaisir.

Leur relation est tellement saine ouais, même le crush de Tim pour Dick est sain, c’est grave quand même ! XD qu’ils en paraissent décalés dans cet univers de fous. Et on couine beaucoup quand ils sont sur la même image parce qu’ils sont trop choupis et qu’on les aime très fort.

Addendum

La série animée Batman Beyond part du principe que Dick et Tim ont tous les deux rejetés Bruce (et que Barbara n’a jamais été Oracle, triple hérésiiiiiiie), que Tim devient le nouveau Joker et qu’un petit gars au code génétique particulier (koff koff ADN Batman koff koff) du nom de Terry McGinnis devient le nouveau Batman.
Nous on rejette cette vision supra-noire des choses. On n’a rien contre Terry, hein, au contraire, il ferait un splendide Robin pour un Tim affolé de se retrouver catapulté sous le masque de Batman, et il peut très bien devenir Batman. APRES Tim.




A venir : La Super-famille super-résumée et Superfamille et Batfamille : Tout Cela C'est Très Louche.

(OMG ON A FINI LA PREMIERE PARTIE.)

fangirl, fangirl : robins are love, i will go down with this ship, canon : le dcu n'a pas besoin de canon, post de la puissance

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