5x17: "The Social Contract"
Très bon épisode! Du Taub idiot, un cas intéressant, beaucoup de Wilson, ça fait du bien^^
Bon, là j'ai un peu la rage parce que j'ai mis une heure à mettre des caps pour décorer le pavé, et qu'une fausse manip à tout effacer...donc le pavé est nu pour l'instant, vraiment plus la patience. Si je m'ennuie plus tard, je changerais ça :-/
Donc commençons par le commencement:
House/Wilson :
J’ai beaucoup cette idée du contrat social qu’ils n’ont pas, mais ont quand même au fond, ça représente vraiment très bien leur relation. D’un côté, ils n’ont pas d’inhibition l’un avec l’autre, mais en même temps, ils tiennent assez l’un à l’autre pour mentir quand ils pensent que c’est important. Ils font bien la différence entre ce qu’on « veut » entendre et ce qu’on a besoin d’entendre. Ca nuance le « everybody lies » de House. Tout le monde ment, mais pas de la même façon et pas pour les mêmes raisons. Le mensonge est essentiel pour maintenir une relation, mais ne doit pas en être le pilier. C’est ce qui est beau dans cet amitié, cette façon qu’ils ont d’être là l’un pour l’autre. D’un côté, avec House, Wilson peut être lui-même, n’a pas besoin d’être poli, aimable et focul…mais parfois, il le fait quand même, pour le bien de House. House aime les Monster Trucks, alors Wilson fait croire qu’il les aime aussi, pour son bien. D’une façon inverse, House dit la vérité crue à Wilson parce qu’il sait qu’il a besoin de l’entendre, qu’il peut se reposer sur ce que House dit et avoir un avis objectif.
Fin bon, c’est très tordu parce qu’un contrat social implique de mentir par politesse, mais House et Wilson sont aussi menteurs qu’honnêtes. D’un côté, ils n’hésitent pas à se balancer leur quatre vérités à la tronche, de l’autre ils passent leur temps à se mentir et s’entre-manipuler. Une amitié atypique quoi, mais j’aime.
J’ai aussi tiqué sur l’histoire du coup de téléphone du frère de Wilson. A un moment House dit « c’est pour ça que tu réponds toujours », ça m’a fait pensé à House’s Head. Le pauvre Wilson, deux fois dans sa vie il rate un coup de téléphone, et chaque fois il perd quelqu’un….Par contre, ça explique aussi pourquoi il est toujours là pour House, parce qu’il sait ce qui risque d’arriver (surtout avec la personnalité de House et ses abus), s’il le laisse tomber, ne serait-ce qu’une fois. Fin ça m’a l’air d’être un sacré cercle vicieux son truc quand même.
Bref, ai beaucoup aimé le fait qu’on comprenne un peu mieux ce qui fait que Wilson est Wilson. J’l’ai toujours dit qu’au fond, Wilson est diabolique ! Parce que ce que ça veut dire, c’est que le vrai Wilson, c’est celui qui se dévoile face à House et…Bah il est sacrément fourbe celui là !
Petit serrement de cœur quand même en voyant qu’encore une fois, House choisit son travail avant sa vie privée. L’épisode dernier, il le préférait à son propre bonheur, et là il le met avant Wilson. Quand un patient est en danger, il ouvre tout le reste. C’est à la fois très noble et triste…Mais bon, il était choux, on sent que, même atypique et parfois (souvent ?) insupportable, House est vraiment un ami sur qui on peut compter. C’est l’inquiétude qui le fait psychoter et harceler, donc c’est un geste d’amitié plutôt que de possession.
Pis juste une note en vrac : J’adoooore la scène du déjeuner. House qui arrive avec une assiette vide, pique la moitié de la bouffe de Wilson et sort une fourchette de sa poche, excellent ! =)
Patient :
J’avoue, j’ai souri fièrement au début quand ils nomment Phinéas Gage. Pour une fois que je comprends une de leur référence dans toute son ampleur! Mes études m’auront au moins servi à ça…
Le patient était à la fois très drôle et touchant. Parce que bon, d’un côté on se dit qu’il était sacrément hypocrite, de l’autre, on est tous pareils. Si on devait dire ce qu’on pense à chaque personne qu’on connaît, on serait sacrément dans la merde. Ce n’est pas méchant, mais parfois, on pense tous un petit quelque chose qu’on sait qu’on ne doit pas répéter parce que même si c’est trois fois rien, on est conscient que c’est quelque chose que l’autre ne veut pas entendre et qui se retournera donc contre nous.
Je n’ai pas vraiment compris l’intérêt de l’enfant dans cet épisode. Ou plutôt, de son handicap. Ils l’ont testé, mais ça n’a servi à rien au final, donc j’ai trouvé ça un peu superflu. Mais c’est bien la seule chose que je peux reprocher à cet épisode.
Ah si, un autre défaut ! La femme qui se barre alors que son mari est en plein arrêt cardiaque…parce qu’elle est vexée…Gné ? Il devait pas avoir tort en disant qu’elle était conne, l’est aussi égocentrique. Il la critique alors c’est « vas-y crève je m’en fous », elle a quoi, 13ans ? Ca m’a un peu choqué, j’avoue.
J’ai beaucoup aimé la fin. Le type qui retombe en plein dans son rôle de type bien, autant avec Taub qu’avec sa femme. Sa discussion avec sa femme….ça disait tout en fait. Il parlait, mais il ne faisait que brasser de l’air et tout le monde le sait à présent. Mais en même temps, sa femme fait la même chose et il le sait aussi, mais ils préfèrent retomber dans leur relation volontairement idéalisée que de risquer d’être sincère et de tout gâcher. Vraiment bien ce cas.
Taub :
Je ne le dirais jamais assez : Taub, je t’aime !
J’étais morte de rire avec son trip sur son nez ! Il n’avait jamais remarqué que son nez était plus long que la tour Eiffel ? Pis personne qui ose le lui dire en face, sauf House évidemment avec son « Eh, Cyrano de Bergerac ! ». Me suis bien marrée.
Pareil pour le coup du racketball et du double agent double, c’était excellent. C’est ce qui fait que Taub est trop fort, il essaie d’être perfide, mais il est juste ridicule à chaque fois. C’est l’plus fort <3
Foreteen :
On l’a eu en juste dose. C’est à dire : pratiquement pas. Juste une scène gentillette de deux minutes. Ah ça fait du bien un peu de repos !
Huddy :
Une seule scène, mais my god quelle scène ! House était vraiment choupidou dans cet épisode ! J’étais morte de rire quand il apparaît dans la salle de contrôle de l’IRM, je m’y attendais pas ! Je ne m’attendais pas non plus à ce qu’il fasse ça pour la complimenter et non pour se moquer d’elle. Trop choux ! Pis son ptit sourire à Cuddy…Ah, c’est comme ça que je l’aime mon Huddy.
Notes en vrac :
- Pas mal d’erreurs dans cet épisode :-/ . D’abord, le mouchoir de House bouge tout seul sur la table, sa fourchette disparaît et ses frites sont vivants, puis la raquette de Taub se déplace toute seule sur le comptoir, puis c’est au tour des mains de Wilson de faire des leurs : elles sont dans la poche puis la seconde d’après, elles sont sorties, sans qu’il bouge ! J’vous le dis, House M.D. est hanté !
- Rahh, frustrant, la chanson de la fin, je sais que je la connais, je sais que je l’ai quelque part, mais plus moyen de retrouver le titre ! Quelqu’un pourrait m’aider ?
- Dites, ça a toujours été comme ça ou c’est une nouvelle signature le fait qu’à presque chaque fin d’épisode, on voit House quitter l’hôpital ?
Bon, là j'ai un peu la rage parce que j'ai mis une heure à mettre des caps pour décorer le pavé, et qu'une fausse manip à tout effacer...donc le pavé est nu pour l'instant, vraiment plus la patience. Si je m'ennuie plus tard, je changerais ça :-/
Donc commençons par le commencement:
House/Wilson :
J’ai beaucoup cette idée du contrat social qu’ils n’ont pas, mais ont quand même au fond, ça représente vraiment très bien leur relation. D’un côté, ils n’ont pas d’inhibition l’un avec l’autre, mais en même temps, ils tiennent assez l’un à l’autre pour mentir quand ils pensent que c’est important. Ils font bien la différence entre ce qu’on « veut » entendre et ce qu’on a besoin d’entendre. Ca nuance le « everybody lies » de House. Tout le monde ment, mais pas de la même façon et pas pour les mêmes raisons. Le mensonge est essentiel pour maintenir une relation, mais ne doit pas en être le pilier. C’est ce qui est beau dans cet amitié, cette façon qu’ils ont d’être là l’un pour l’autre. D’un côté, avec House, Wilson peut être lui-même, n’a pas besoin d’être poli, aimable et focul…mais parfois, il le fait quand même, pour le bien de House. House aime les Monster Trucks, alors Wilson fait croire qu’il les aime aussi, pour son bien. D’une façon inverse, House dit la vérité crue à Wilson parce qu’il sait qu’il a besoin de l’entendre, qu’il peut se reposer sur ce que House dit et avoir un avis objectif.
Fin bon, c’est très tordu parce qu’un contrat social implique de mentir par politesse, mais House et Wilson sont aussi menteurs qu’honnêtes. D’un côté, ils n’hésitent pas à se balancer leur quatre vérités à la tronche, de l’autre ils passent leur temps à se mentir et s’entre-manipuler. Une amitié atypique quoi, mais j’aime.
J’ai aussi tiqué sur l’histoire du coup de téléphone du frère de Wilson. A un moment House dit « c’est pour ça que tu réponds toujours », ça m’a fait pensé à House’s Head. Le pauvre Wilson, deux fois dans sa vie il rate un coup de téléphone, et chaque fois il perd quelqu’un….Par contre, ça explique aussi pourquoi il est toujours là pour House, parce qu’il sait ce qui risque d’arriver (surtout avec la personnalité de House et ses abus), s’il le laisse tomber, ne serait-ce qu’une fois. Fin ça m’a l’air d’être un sacré cercle vicieux son truc quand même.
Bref, ai beaucoup aimé le fait qu’on comprenne un peu mieux ce qui fait que Wilson est Wilson. J’l’ai toujours dit qu’au fond, Wilson est diabolique ! Parce que ce que ça veut dire, c’est que le vrai Wilson, c’est celui qui se dévoile face à House et…Bah il est sacrément fourbe celui là !
Petit serrement de cœur quand même en voyant qu’encore une fois, House choisit son travail avant sa vie privée. L’épisode dernier, il le préférait à son propre bonheur, et là il le met avant Wilson. Quand un patient est en danger, il ouvre tout le reste. C’est à la fois très noble et triste…Mais bon, il était choux, on sent que, même atypique et parfois (souvent ?) insupportable, House est vraiment un ami sur qui on peut compter. C’est l’inquiétude qui le fait psychoter et harceler, donc c’est un geste d’amitié plutôt que de possession.
Pis juste une note en vrac : J’adoooore la scène du déjeuner. House qui arrive avec une assiette vide, pique la moitié de la bouffe de Wilson et sort une fourchette de sa poche, excellent ! =)
Patient :
J’avoue, j’ai souri fièrement au début quand ils nomment Phinéas Gage. Pour une fois que je comprends une de leur référence dans toute son ampleur! Mes études m’auront au moins servi à ça…
Le patient était à la fois très drôle et touchant. Parce que bon, d’un côté on se dit qu’il était sacrément hypocrite, de l’autre, on est tous pareils. Si on devait dire ce qu’on pense à chaque personne qu’on connaît, on serait sacrément dans la merde. Ce n’est pas méchant, mais parfois, on pense tous un petit quelque chose qu’on sait qu’on ne doit pas répéter parce que même si c’est trois fois rien, on est conscient que c’est quelque chose que l’autre ne veut pas entendre et qui se retournera donc contre nous.
Je n’ai pas vraiment compris l’intérêt de l’enfant dans cet épisode. Ou plutôt, de son handicap. Ils l’ont testé, mais ça n’a servi à rien au final, donc j’ai trouvé ça un peu superflu. Mais c’est bien la seule chose que je peux reprocher à cet épisode.
Ah si, un autre défaut ! La femme qui se barre alors que son mari est en plein arrêt cardiaque…parce qu’elle est vexée…Gné ? Il devait pas avoir tort en disant qu’elle était conne, l’est aussi égocentrique. Il la critique alors c’est « vas-y crève je m’en fous », elle a quoi, 13ans ? Ca m’a un peu choqué, j’avoue.
J’ai beaucoup aimé la fin. Le type qui retombe en plein dans son rôle de type bien, autant avec Taub qu’avec sa femme. Sa discussion avec sa femme….ça disait tout en fait. Il parlait, mais il ne faisait que brasser de l’air et tout le monde le sait à présent. Mais en même temps, sa femme fait la même chose et il le sait aussi, mais ils préfèrent retomber dans leur relation volontairement idéalisée que de risquer d’être sincère et de tout gâcher. Vraiment bien ce cas.
Taub :
Je ne le dirais jamais assez : Taub, je t’aime !
J’étais morte de rire avec son trip sur son nez ! Il n’avait jamais remarqué que son nez était plus long que la tour Eiffel ? Pis personne qui ose le lui dire en face, sauf House évidemment avec son « Eh, Cyrano de Bergerac ! ». Me suis bien marrée.
Pareil pour le coup du racketball et du double agent double, c’était excellent. C’est ce qui fait que Taub est trop fort, il essaie d’être perfide, mais il est juste ridicule à chaque fois. C’est l’plus fort <3
Foreteen :
On l’a eu en juste dose. C’est à dire : pratiquement pas. Juste une scène gentillette de deux minutes. Ah ça fait du bien un peu de repos !
Huddy :
Une seule scène, mais my god quelle scène ! House était vraiment choupidou dans cet épisode ! J’étais morte de rire quand il apparaît dans la salle de contrôle de l’IRM, je m’y attendais pas ! Je ne m’attendais pas non plus à ce qu’il fasse ça pour la complimenter et non pour se moquer d’elle. Trop choux ! Pis son ptit sourire à Cuddy…Ah, c’est comme ça que je l’aime mon Huddy.
Notes en vrac :
- Pas mal d’erreurs dans cet épisode :-/ . D’abord, le mouchoir de House bouge tout seul sur la table, sa fourchette disparaît et ses frites sont vivants, puis la raquette de Taub se déplace toute seule sur le comptoir, puis c’est au tour des mains de Wilson de faire des leurs : elles sont dans la poche puis la seconde d’après, elles sont sorties, sans qu’il bouge ! J’vous le dis, House M.D. est hanté !
- Rahh, frustrant, la chanson de la fin, je sais que je la connais, je sais que je l’ai quelque part, mais plus moyen de retrouver le titre ! Quelqu’un pourrait m’aider ?
- Dites, ça a toujours été comme ça ou c’est une nouvelle signature le fait qu’à presque chaque fin d’épisode, on voit House quitter l’hôpital ?