5x14: The Greater Good
Waouh, cet épisode était NASE. C'est pour se conformer à l'esprit contradictoire de House? Au lieu de faire un 100ème épisode génial comme le veut la tradition, on en fait un super nul, c'est plus innovateur!
Y a tellement de critiques à faire sur cet épisode que je ne sais pas par où commencer...Du coup, je vais le faire perso par perso, que chacun s'en prenne pour sa poire.
Y a tellement de critiques à faire sur cet épisode que je ne sais pas par où commencer…Du coup, je vais le faire perso par perso, que chacun en prenne pour sa poire.
Désolée, pas de caps cette semaine, ma Livebox fait des siennes et j'arrive pas à charger de photos :(Pour ça et pour d'autres raisons, je suis d'une humeur massacrante, alors ne vous formalisez pas de certains trucs que je dirais, c'est juste le venin qui se libère.
Boreteen :
Ces derniers temps, j’ai l’impression qu’ils essaient désespérément de faire passer Foreman pour quelqu’un de bien, de sentimental….mais pour moi, c’est un bide total. Je n’arrive même pas à concevoir l’éventualité que Foreman ait fait ça par amour. J’ai essayé, mais non, je ne trouve pas son geste désintéressé du tout. Bon au moins, ce que je pense ne sort pas de nulle part apparemment puisque Kutner le traite d’hypocrite et que House (je crois) lui fait remarquer qu’il dit avoir fait ça pour elle, mais qu’il n’a pensé qu’aux conséquences que ça aurait sur lui…
Bref, je ne vois toujours pas l’intérêt de cette histoire. Pourquoi faire tomber 13 malade si c’est pour la guérie en trois minutes chrono ? C’est le dernier truc qu’ils ont trouvé pour qu’on ressente de la compassion envers elle ?
Pis la scène où Thirteen retrouve la vue, c’était si convenue et neuneu que j’ai failli en avoir la nausée. Oh il s’excuse et elle retrouve miraculeusement la vue ! Comme c’est pratique…
Foreman qui se dénonce quand même, il avait plutôt intérêt ouais ! Mais bon malheureusement, il ne se fait que taper sur les doigts avec une plume…
Je n’ai jamais été folle de Foreman, mais cette trame est, à mon avis, en train de le faire couler. Ca devait très certainement avoir l’effet contraire, mais…je sais pas, y a pas d’alchimie entre les personnages…et Omar Epps a le charisme d’une truite, aussi.
House :
C’est rare, mais il m’a déçu. Il m’a déçu et en même temps…pas vraiment, parce que ce type qu’on a fait jouer à Hugh Laurie dans cet épisode, ce n’était pas House. Depuis quand House se fout à ce point de son patient ? Une femme qui saigne de tous les trous et il n’a même pas trouvé ça cool ! Depuis quand House dit le mot « love », donne des conseils en amour et s’inquiète pour les autres à ce point ? Depuis quand il apprécie Foreman d’ailleurs ? Et…Depuis quand est ce qu’il ne répond pas aux provocations de Cuddy ?
Ah oui ce qui me fait penser, ses illuminations en pleine discussion avec Cuddy, ça a pas intérêt à devenir une habitude parce que c’est frustrant et très agaçant ! C’est peut-être pratique pour les scénaristes qui ne veulent pas approfondir le Huddy de les couper dés que la conversation devient un peu plus profonde, mais soit ils leur font dire ce qu’ils ont à dire, soit ils ne les font pas parler du tout, soit je leur enfonce une kalachnikov dans l’anus à ces cons !
Cuddy :
Comme House le dit à la fin, ils doivent être relié psychiquement ou quelque chose, parce que quand House n’est pas House, Cuddy n’est pas Cuddy. Sérieusement, son bébé lui grille des neurones ou quoi ? C’est bon, on a compris qu’elle aime sa fille, pas la peine de la faire gagatiser à chaque épisode. Pis Cuddy qui blesse physiquement House…je ne pense pas que la vraie Cuddy, celle d’il y a encore une saison, aurait fait ça. Le laxatif, c’est ok, utiliser sa faiblesse, son handicap, contre House…Non mais ça va pas non ? Cuddy est bien plus inventive que ça, et beaucoup moins cruelle. Ai pas aimé du tout. Tout ce qu’elle arrive à faire, c’est lui faire avaler plus de pilules.
Bon juste un détail parce que ça m’a fait sourire quand même…Quand House arrive avec le seau dans le bureau, j’étais moi aussi convaincu qu’il venait le renverser sur la moquette !
Wilson :
Comme pour le Huddy : soit ils s’en servent correctement, soit ils lui font fermer sa gueule. Sérieusement, en voyant la tasse avec le rouge à lèvre d’Amber, je me suis dit que je devrais peut-être préparer un kleenex, que Wilson allait enfin montrer qu’il éprouve quelque chose à ce sujet et qu’il ne l’a pas oublié. Ah ba oui, il l’a fait. En cinq phrase. Waouh, ça c’est du drame ! Exaspérant et décevant, tout simplement. Wilson vaut mieux que ça. Amber valait mieux que ça aussi. Elle méritait mieux que Wilson qui passe l’éponge (littéralement) et l’efface juste comme ça, que les scénaristes claquent des doigts et qu’elle disparaisse. Elle méritait au moins un monologue un brin émouvant…ou plus de une minute trente sur son cas D :
Taub :
D’où ça lui sort à lui cette envie de gosse ? Ca lui vient comme ça de nulle part. La veille il s’en foutait et tout à coup il en dort plus la nuit et ne peut pas vivre sans. Qui a foutu un aimant sur l’horloge biologique de Taub et l’a déglingué ?!
Si c’est une façon de dire que Taub va pas tarder à être papa, j’ai deux choses à répondre :
- Pourquoi est ce qu’on nous prévient trois plombes à l’avance ?
Et :
- Qu’est ce qu’on en a à foutre ?
J’avoue que ça commence à me faire peur tout ça. J’aime beaucoup Taub (jcrois même que c’est mon préféré de la nouvelle équipe maintenant), mais chaque fois qu’on dit un truc sur sa vie, c’est qu’il n’est pas heureux. Ai peur de la fin de cette trame. Ne m’enlevez pas mon Taubichounet…
La patiente :
Moraliste et inintéressante. Elle m’agaçait à prêcher la bonne parole comme ça. Oui, t’es heureuse, c’est bien, maintenant ta gueule.
Je n’ai pas compris grand chose à la maladie, j’ai juste eu l’impression que chaque fois qu’on voyait la patiente, on lui plantait une aiguille quelque part. Pas étonnant qu’elle saigne de partout, ils l’ont transformé en passoire !
Voilà…je crois qu’on devine que je n’ai pas aimé. J’ai regardé sans réel plaisir. Ca n’a pas ressemblé à House je trouve. C’était trop plein de bons sentiments et de mélo. Où était le suspense et l’humour qui font le charme de House ? Aucune idée, envolés comme le cynisme de House apparemment.