En direct du train Redon-Quimper
Comme le dit le titre, il y a maintenant la possibilité d'utiliser un réseau wifi gratuit dans le train. Ca aurait pu être la bonne nouvelle de la journée - en plus de mon retour pour quelques jours dans mon cher sur-Finistère - mais Murphy, réincarné aujourd'hui dans la compagnie SNCF, en a décidé autrement.
Mais commençons par le commencement...
Arrivant en avance à la gare, comme à mon habitude, je me dirigeais vers une borne d'achat de billet afin de prendre mon ticket pour le train de 14h21 à destination de Quimperlé - avec un changement de quelques minutes à Lorient, mais ça, ça va encore. Là, horreur, le TGV était complet. Quand même étonnée - les gens partent surtout pendant le premier week-end des vacances, ma grande expérience des transports féroviers me l'a appris à coups de pied dans le c** - je prends mon billet pour le train suivant : Rennes, 14h26 - Redon, 15h05 ; Redon, 15h35 - Quimperlé, 16h56. Plus d'attente au moment du changement de train, mais c'était ça ou partir à 17h et des poussières... Choix très vite fait, je peux vous le garantir.
14h15, la voie est *ENFIN* affichée. Je vais me mettre dans le vieux TER à destination de Redon, arrive à caser ma volumineuse valise entre deux sièges, sort l'avant dernier tome de Rhapsody que je me suis *ENFIN ^^* acheté, et m'installe aussi confortablement que possible.
14h30, je sors de ma lecture avec le jingle hautement agaçant de la SNCF - et je ne vous parle même pas de l'effet de la voix sur mes nerfs -_- - qui annonce en retard en raison d'un problème au niveau de la gérance des trains à l'arrivée. "Cool", me dis-je. "J'attendrai moins longtemps à Redon."
Départ de Rennes avec dix minutes de retard.
15h15, arrivée à Redon. Pendant que le train s'arrête, je jette un coup d'oeil par la fenêtre et vois une icône inquiétante clignoter sur les écrans annonçant les trains à l'arrivée et au départ. Pas très rassurée, je descends du train, et découvre avec une certaine consternation que la train en provenance de Nantes et à destination de Quimper est annoncé avec un retard de 15, puis 20 minutes.
Prenant mon mal en patience, je continue ma lecture en fumant très tranquillement deux cigarettes.
Quand le train arrive, avec, effectivement, 20 mn de retard, je suis étonnée de ne voir qu'une rame. Je me dirige vers l'avant du train, et découvre une scène digne d'un des cercle de l'Enfer. Quelques personnes descendent, puis c'est au troupeau attendant sur le quai de monter... pour se retrouver entassés comme des sardines en boîte - et je suis sûre que les sardines on plus du place.
Cinq minutes passent, et toujours aucun signe n'indiquant que le train soit en passe de démarrer. Je saisis des conversations de mes voisins au vol : en raison de la surpopulation de la rame, il y a besoin d'une autorisation pour que le train parte. Une voix masculine demande aux passages descendant à Questambert et Vannes de sortir, un car les conduira aux gares citées.
Cinq minutes encore, une femme et son fils monte dans le train, énervé. Le car est plein. Nouvelle annonce, un second car est en place.
16h15, le train part enfin. Je m'assois par terre devant la porte des toilettes, ouvre mon ordinateur, me connecte au réseau wifi et me dis qu'il faut absolument que je raconte mes aventures ô combien palpitante sur facebook, histoire de poster quelque chose de temps en temps.
Vous allez rire, facebook ne fonctionne par sur le réseau wifi de la SNCF -_-
A qui qu'on dit merci ? A Murphy...
Mais bon, voyons les choses du bon côté : sur facebook, je n'aurais pas pu faire un post aussi long. En puis comme ça, mon livejournal sert *enfin* à quelque chose.
On vient de partir d'Auray, on devrait pas tarder à arriver à Quimperlé.
Je vous dis à une prochaine fois, des fois que je me retrouve de nouveau bloquée dans un train avec un réseau wifi ^^
Mais commençons par le commencement...
Arrivant en avance à la gare, comme à mon habitude, je me dirigeais vers une borne d'achat de billet afin de prendre mon ticket pour le train de 14h21 à destination de Quimperlé - avec un changement de quelques minutes à Lorient, mais ça, ça va encore. Là, horreur, le TGV était complet. Quand même étonnée - les gens partent surtout pendant le premier week-end des vacances, ma grande expérience des transports féroviers me l'a appris à coups de pied dans le c** - je prends mon billet pour le train suivant : Rennes, 14h26 - Redon, 15h05 ; Redon, 15h35 - Quimperlé, 16h56. Plus d'attente au moment du changement de train, mais c'était ça ou partir à 17h et des poussières... Choix très vite fait, je peux vous le garantir.
14h15, la voie est *ENFIN* affichée. Je vais me mettre dans le vieux TER à destination de Redon, arrive à caser ma volumineuse valise entre deux sièges, sort l'avant dernier tome de Rhapsody que je me suis *ENFIN ^^* acheté, et m'installe aussi confortablement que possible.
14h30, je sors de ma lecture avec le jingle hautement agaçant de la SNCF - et je ne vous parle même pas de l'effet de la voix sur mes nerfs -_- - qui annonce en retard en raison d'un problème au niveau de la gérance des trains à l'arrivée. "Cool", me dis-je. "J'attendrai moins longtemps à Redon."
Départ de Rennes avec dix minutes de retard.
15h15, arrivée à Redon. Pendant que le train s'arrête, je jette un coup d'oeil par la fenêtre et vois une icône inquiétante clignoter sur les écrans annonçant les trains à l'arrivée et au départ. Pas très rassurée, je descends du train, et découvre avec une certaine consternation que la train en provenance de Nantes et à destination de Quimper est annoncé avec un retard de 15, puis 20 minutes.
Prenant mon mal en patience, je continue ma lecture en fumant très tranquillement deux cigarettes.
Quand le train arrive, avec, effectivement, 20 mn de retard, je suis étonnée de ne voir qu'une rame. Je me dirige vers l'avant du train, et découvre une scène digne d'un des cercle de l'Enfer. Quelques personnes descendent, puis c'est au troupeau attendant sur le quai de monter... pour se retrouver entassés comme des sardines en boîte - et je suis sûre que les sardines on plus du place.
Cinq minutes passent, et toujours aucun signe n'indiquant que le train soit en passe de démarrer. Je saisis des conversations de mes voisins au vol : en raison de la surpopulation de la rame, il y a besoin d'une autorisation pour que le train parte. Une voix masculine demande aux passages descendant à Questambert et Vannes de sortir, un car les conduira aux gares citées.
Cinq minutes encore, une femme et son fils monte dans le train, énervé. Le car est plein. Nouvelle annonce, un second car est en place.
16h15, le train part enfin. Je m'assois par terre devant la porte des toilettes, ouvre mon ordinateur, me connecte au réseau wifi et me dis qu'il faut absolument que je raconte mes aventures ô combien palpitante sur facebook, histoire de poster quelque chose de temps en temps.
Vous allez rire, facebook ne fonctionne par sur le réseau wifi de la SNCF -_-
A qui qu'on dit merci ? A Murphy...
Mais bon, voyons les choses du bon côté : sur facebook, je n'aurais pas pu faire un post aussi long. En puis comme ça, mon livejournal sert *enfin* à quelque chose.
On vient de partir d'Auray, on devrait pas tarder à arriver à Quimperlé.
Je vous dis à une prochaine fois, des fois que je me retrouve de nouveau bloquée dans un train avec un réseau wifi ^^