Passé ! J'ai eu du mal mais je les ai eut ! Et avec un jour d'avance par rapport à l'an passé ! Na ! et même que j'ai travaillé/lu mon cours d'histoire de l'Europe avant de nanoter et que je les ai quand même eut ! Na !
Bon, j'avoue, qu'au bout d'un moment dans "l'écriture" du chapitre 2, je m'en sortais pas de digression en digression j'arrivais pas à revenir à la scène. Alors du coup, j'ai abandonné le chapitre 2 et j'ai réécris le chapitre 1. Et je suis bien plus contente de cette version.^^ Je vais certainement la mettre sur le site du nano.
Et elle s’arrête, oublie la femme et se pétrifie. Son sang se glace encore. Sa respiration se coupe nette. Son cœur s’arrête. Elle est prise dans un étau d’effroi total. Elle veut fuir mais elle n’arrive pas à bouger. Ses yeux ne peuvent se détacher de l’horrible bébé assis contre la fenêtre sale du bus. Il est énorme, presque difforme. Sa bouche est mangée par ses joues trop grandes même pour un enfant obèse. Ses yeux sont tous petits. Ce sont tout juste deux fentes qui ne la lâche pas et qui la terrorise. Ce montre, elle n’a pas d’autre mot pour qualifier cette chose qui la fixe, a un semblant de chevelure qui ressemble plus à des fils de laine rêche qu’à des cheveux de bébé. Elle ne voit de lui que sa tête et le haut de son torse trop gros même pour un enfant de cinq ans et pourtant c’est bien un nourrisson qu’elle a devant elle. Elle le sait. Au plus profond d’elle-même, elle le sait.
Avec stupeur elle voit les lèvres du monstre s’ouvrir sur une phrase muette. Elle ne l’entend pas et elle distingue difficilement les mouvements de la petite bouche édenté pourtant elle comprend parfaitement et sans hésitation possible e qu’il lui dit. Parce qu’elle sait qu’il ne s’adresse qu’à elle, qu’il n’a attendu qu’elle pour parler.
- Aide-moi.
Bon, en ce qui concerne les digressions, c'est un mal pour un bien parce qu'elles m'ont fait découvrir/poser les "règles" des cauchemars et de comment on en sort. J'ai aussi découvert pourquoi mon héro cherche absolument à trouver l'origine de la maladie. Par contre, l'ambiguité de ses sentiments pour son collègue reviennent un peu trop à mon goût...
Demain, je suis en formation pour toute la semaine, je sais pas si j'arriverais à nanoter...