Six mois de pur bonheur.
Il fait froid, les temps chauds ont laissé place à un petit vent glacial, mais ce n'est pas encore l'hivers meurtrié. Les bras crisper de façon serrer sur ma poitrine, j'avance maladroitement, en enfonçant la tête dans les épaules.
Je ne peux pas dire que je vie un grand malheur, mais je ne peux pas dire que c'est temps ci, je me sens complètement bien. Pourtant aujourd'hui, je sais que j'ai la force d'avancer, c'est juste très difficile pour moi....
On c'est encore tromper de route, et de nouveau il faut subir nos mauvais choix, et attendre, et espèrer que le temps passe vite, et que ça ce replace. j'essais de rester forte, et parfois je flanche, mais je sais, que tu n'es pas loin....
Je sais que tu es là pour moi, tout prêt de moi. La chaleur de ton corps, de tes paroles, me donnent assez de force et d'espoire pour continuer. Sans ça, sûrement que je ne serais pas rendu là où j'en suis en ce moment. Tu es tout pour moi, et ça, je le remarque de plus en plus, jour après jour.
Tu es comme cet éclat de Soleil chaud qu'on perçois dans la peau après un long hivers. Ce même éclat qui ramène le bon temps, et la bonne humeur.
Passer du temps prêt de toi me permet de tout oublier, de rire, de sourire très franchement, de me sentir apprécié et de me sentir à ma place.
Ça fait maintenant six mois que tu m'as embrasser pour la première fois, et depuis aucun de tes baiser n'a perdu cet éclat rafraichissant et grisant qu'il m'apportent. Tes bras m'apportent toujours autant de réconfort, et dès que je suis prêt de toi, je me sens déjà bien moins nerveuse.
Nôtre complicité est devenue de plus en plus belle à force de ce taquiner et de tant s'aimer. On abbat les mauvais jours avec beaucoup de sérieux, ce qui renforce notre relation. Je suis la femme la plus comblé avec l'homme que tu es. Samuel, tu es irremplaçable dans mon coeur, et je suis prête à beaucoup pour pouvoir passer ma vie avec toi.
Je t'aime Samuel, et merci pour tout ce que tu fais pour moi. Tu es l'ange de ma vie. ♥♥ ♥♥ ♥♥~
Après un certain temps à marcher dans le petit vent froid, mes joues ont prisent cette couleurs rouge si caractéristique. Un frisson me parcour le corps et me fait serrer les dents. Puis, soudainement, une chaleur s'empare de moi. Je m'arrête de marcher, parce que je sens très distaintement des bras s'enrouler autour de moi. Le sourire me reviens facilement, sans effort, et je ferme les yeux en me laissant un peu aller vers l'arrière, accôter contre son torse, dans un pur instant de bonheur. Je finis par lever le bras, caressant ses cheveux.
-Je t'aime.