Pérégrinations en tous genres

Jul 26, 2009 20:38



Quand j'ai ouvert ce LJ, je ne pensais pas poster aussi souvent, mais puisque c'est pour la bonne cause ... ^^

- Hier : rencontre (enfin !) avec
lilou_black , autour d'un milk-shake pour elle et d'une gigantesque glace pour moi. Une rencontre plein de kyas (forcément !) et de bavassages divers et variés et plaisants. C'tait chouette ♥.

- Puis retour dans l'hébérgement familial (qui ne s'étend que jusqu'à vendredi, heureusement, après 4 mois de... disons-le, supplice), où la tension était comme souvent à couper au couteau. Après je vais retrouver mes parents, simplement. Ce sera beaucoup plus naturel, avant de retrouver mon vrai chez moi breton, fin aout.

- Me suis donc penchée sur mon fidèle Albert (mon pc, que j'aime, mon plus loyal ami ^_^), et sans l'avoir prévu, bom, presque mille mots d'un SBRL même pas commencé. Tout guimauveux à tendance dangereusement fluffysante, mais ... je l'aime quand même o_O.  Alors il se peut que je brode autour. Pour un OS plus structuré. Ou plus. Je suis dans une période où ma muse s'agite dans tous les sens comme si elle avait envie de danser la lambada mais que je la réffrénais inconsciemment. Il faut que je canalise, ça part dans tous les sens !

- Mon Snupin avance peu. Il faut que j'organise mes idées, vraiment. Ca a toujours été mon problème, dans l'écriture. Je pars très souvent d'une phrase qui m'est venu dans la tête, et après je continue, je continue, jusqu'à ce que je me dise "pff, c'est naze, ça vaut pas la peine", et je classe. Je dois continuer ce Snupin, le terminer, et l'assumer. Na.

- Oui, ce post ressemble fort à de l'auto-motivation XD.

- J'ai regardé Truly madly deeply cet après-midi. Avec Alan dans l'un des deux rôles titres.

Donc, donc, un review que je vais tenter non spoilerisante :
C'est un film de 1990 (et qui fleure bon ces années-là, notamment au niveau vestimentaire (OMG, les vestes en jean bouffantes) et au niveau des couleurs. A cette epoque, de ce que j'ai pu remarquer, les films étaient soit infestés de couleurs criardes et mal-aux-yeux-tisantes, soit toutes ternes. Pour le coup, deuxième solution, et c'est plutôt joli.
Le réalisateur est Anthony Minghella. On m'en avait dit beaucoup de bien, et je n'avais encore vu aucun de ses films. Je suis plutôt conquise, en fait. J'ai trouvé la réalisation très intimiste. Vraiment belle. Mais c'est lent. Lentissime. Point noir du film. Oui, car, bon, Alan Rickman met 1/2h à ramener sa fraise, quand même !!!
Alan Rickman est mort, dans ce film (Jamie). Donc Jamie est mort et sa femme Nina (jouée par l'excellentissime Juliet Stevenson) ne s'en remet pas, malgré tout son entourage qui ... ben qui l'entoure, quoi. Et, un beau jour, pof, le fantôme de Jamie se pointe. Et c'est le bonheur parfait, des bisous, des câlins, des chansons. Oui, mais. Mais des hics. Nina aime Jamie. Jamie ramène un tas de ses potes fantômes à la maison. Nina rencontre Mark.
Et il va se passer des choses, dans l'histoire.
Et la fin ... je ne peux pas vous la raconter. Mais, elle m'a émue, comme, je pense une fin ne m'a jamais émue, ou presque. Parce que cette fin est inattendue (ou alors je suis vraiment gourde), merveilleusement jouée, merveilleusement amenée, et qu'Alan est Alan.
Donc, si j'avais quelques réserves sur le rythme, sur l'utilité de certains personnages secondaires, et du comportement inexplicable de certains personnages tout court, et bien la fin sauve de toutes façons le film. Et je ne saurai que vous le conseiller.
Et puis, randomisistiquement parlant : la scène où ils chantent tous les 2 est mémorable, et Alan porte très mal la moustache.
Je sais, j'aurais dû reviewer Rasputin avant, mais ... Mais flûte ^^.
Prochaine étape du Alan-a-thon : Mesmer, probablement.

C'est tout. A bientôt !

alan-a-thon, review ciné : truly madly deeply, ecriture, maviemavie

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