Du blabla et une fic Hans>Skipper (UA PoM)
Hey, regardez ce que j'ai trouvé cet après midi en faisant les courses !
Non, vous ne rêvez pas ! Ce sont bien des autocollant The Penguins of Madagascar en cadeau dans une boîte de Chocapics !
Et oui, monsieur qui range les boîtes dans les rayons, je me suis bien jetée sur ces céréales avec un petits cris d'orgasme kowalskien, ça pose un problème ? Oui, j'ai presque 24 ans et alors ?
(interlude dramatique tout à fait hors de propos : oui, presque 24 ans, mon anniversaire est le 4 juin et... *soupir*... si vous saviez comme je suis seule, les meilleurs amis que je m'étais fait ici sont pour la plupart partis, mon colocataire est en voyage, je vais surement passer mon anniversaire en buvant un verre avec de vagues connaissances avant de rentrer tristement chez moi écrire des fics sur PoM... et je n'aurais surement pas de cadeaux... *puppy eyes* - il n'y avait pas de message subliminal dans cet interlude dramatique tout à fait hors de propos /)
Bref, tout ça pour dire que je crois que les chocapics vont devenir la base de mon allimentation de ces prochaines semaines... Ben ouais, il y en a 24 a collectionner !
Bref, tenez : du Hans>Skipper
J'avais déjà mentionné que je shippais Hans et Skipper ? Non ? Je me doutais que ça vous surprendrait...
(et j'en profite pour leur ajouter quelques un de mes kinks légers - mais vraiment légers, hein...)
Titre (j'aime pas chercher des titres -_-) : Somnambulisme
Fandom : The Penguins of Madagascar - UA humanisé
Disclaimer : Hans est Skipper sont à Dreamworks (et le coeur d'Hans est à Skipper...)
Personnages/Couple : Hans>Skipper
Rating : PG/PG-13
Nombre de mots : un peu moins de 1 000 mots
merci à sheepnimrauko pour la relecture
---
Dans un appartement de la banlieue de Copenhague, assis sur un lit, deux agents secrets étudiaient les plans d'un immeuble.
- On sait quoi sur les serrures ?
- Rien. On se renseignera. Demain...
- Et le système de ventilation ?
- Faut arrêter les films américains, mon vieux...
- Donc on escalade la façade Est, et on rentre par cette fenêtre...
- Laisse tomber, Zkipper, on verra ça demain, bâilla Hans en se laissant tomber en arrière. Ça fait plus de 48 heures qu'on a pas dormi, on sera plus efficaces après quelques heures de sommeil...
- Ce plan indique pas les caméras...
- Rrrrrrrr-shhhhhhhh-rrrrr...
-Tu mettrais des caméras où ?
-Tu vois pas que je suis en train de faire semblant de dormir pour que tu me lâches ?
Skipper soupira et replia les plans de travers.
- Ok, t'as raison, on verra ça dans quelques heures - mets pas tes pompes sur mon lit !
- Enlève-les moi, fit Hans en levant une jambe devant le visage de son coéquipier.
- Va mourir, je suis pas ton nègre...
Mais, finalement, comme l'allemand n'avait pas l'air décidé à faire un mouvement, Skipper entreprit avec un soupir lourd de défaire ses lacets.
- Génial, maintenant masse-moi les pieds...
Il évita en riant la chaussure que Skipper venait de lancer vers sa tête.
- Allez, dégage de ma chambre, feignasse...
- Négatif, je suis mort, je lèverai pas mon cul de ce lit avant le matin.
Hans s'attendait à ce que Skipper le pousse pour le faire tomber sur le sol, mais ce dernier dit juste :
- Ok...
Puis il se leva lourdement, retira son T-shirt, ses chaussures et son pantalon qu'il laissa tomber sur le sol, prit un pistolet qui traînait sur la table de nuit, vérifia qu'il était chargé, le glissa sous son oreiller et se coucha.
- Gute Nacht.
- C'est ça, fit Skipper d'une voix ensommeillée avant d'éteindre la lumière.
Hans, troublé, attendit que la respiration de son ami se soit faite calme et régulière, puis il se tourna doucement vers lui pour se retrouver face à sa nuque et au haut de son dos nu. Il se mordit la lèvre et avança vers lui une main hésitante. Ses doigts effleurèrent sa peau. Skipper grogna et remua légèrement les épaule dans son sommeil. Hans recula vivement son bras.
Il se sentait soudain très inconfortable, allongé ainsi, tout habillé, au-dessus des draps. Il songea un instant à imiter Skipper, se dévêtir, et se blottir contre lui sous la couverture. Non, pas se blottir contre lui, difficile à justifier au réveil, il valait mieux éviter - pour l'instant ...
Mais le même programme en oubliant la partie câlin, ça semblait négociable...
Non plus, non. Dormir en sous-vêtement à coté de lui, dans ce petit lit, sans pouvoir le toucher, l'étreindre, l'embrasser - à plus forte raison, lui faire l'amour... Non, c'était juste un coup à péter un câble, à se jeter sur lui au matin, et même dans son sommeil il risquait de se presser contre son dos, de passer un bras autour de sa taille, de laisser ses lèvres traîner sur son cou...
Avec un soupir douloureux, il se redressa. Autant retourner sagement dans sa chambre, ça, au moins, c'était facile à expliquer. Skipper se réveillerait sans doute quand il ouvrirait la porte et lui lancerai un "T'as changé d'avis ?" pâteux auquel il pourrait répondre quelque chose comme "Ouais, tu ronfles trop fort..." et tout resterait parfaitement normal entre eux.
La main sur la clenche, il se ravisa. Puisqu'il était là, qu'est-ce qui l'empêchait de, un instant, juste un court instant...
D'un pas silencieux, il contourna le lit et s'adossa près de la fenêtre, en face de lui. Et le regarda dormir.
La lumière des lampadaires qui filtrait à travers les rideaux éclairait son visage paisible, son épaule nue qui dépassait des draps, son bras musclé qui plongeait sous son oreiller, autour de la crosse de son arme. Il était beau.
Hans ferma les yeux et eut les épaules agitées d'un rire triste et silencieux. Il se faisait pitié à lui-même. Oui. Il était en train de regarder Skipper dormir. Cette fois il avait vraiment touché le fond...
***
Quand Skipper ouvrit les yeux, la première chose qu'il vit fut Hans, devant lui, assis sur le sol, contre le mur, la tête sur les genoux. Comme à chaque fois qu'il voyait quelque chose d'inhabituel, sa première réaction fut de sortir son arme. Après un coup d'œil circulaire dans la pièce, il ne vit aucune menace directe dans la pièce. Il appela doucement :
- Hans ?
Anxieux, il s'attendait presque à voir le corps de son ami tomber sur le coté, révélant une trace rouge derrière lui. Non. Hans redressa la tête en un sursaut et lança un regard perplexe autour de lui.
- Hein ?
- Qu'est-ce que... mais putain, qu'est-ce que tu fous à dormir assis par terre !
Hans se releva maladroitement en faisant jouer ses muscles endoloris par la nuit inconfortable, détourna la tête vers la fenêtre pour cacher son rougissement et baragouina :
- Non... heu... je sais pas... j'ai... peut-être fait une crise de somnambulisme...
Et la palme de la pire excuse de l'année est attribuée à...
- De somnambulisme ? Sans déconner ? Ils engagent des agents somnambules dans ton pays ?
Non, ça avait l'air de prendre. Skipper était juste tellement con des fois. Ça faisait partie de son charme.
- Ça va, c'est rien, ça m'arrive pas souvent et je vais jamais loin, tu vois bien. Ça doit être parce que j'étais très fatigué et que j'étais pas dans mon lit...
Ça prenait... Skipper posa son pistolet sur sa table de nuit et conclut :
- Ben dors tout seul dans ton lit.
- Je suppose que c'est ce que je vais continuer à faire, oui, répondit Hans, tristement.
Non, vous ne rêvez pas ! Ce sont bien des autocollant The Penguins of Madagascar en cadeau dans une boîte de Chocapics !
Et oui, monsieur qui range les boîtes dans les rayons, je me suis bien jetée sur ces céréales avec un petits cris d'orgasme kowalskien, ça pose un problème ? Oui, j'ai presque 24 ans et alors ?
(interlude dramatique tout à fait hors de propos : oui, presque 24 ans, mon anniversaire est le 4 juin et... *soupir*... si vous saviez comme je suis seule, les meilleurs amis que je m'étais fait ici sont pour la plupart partis, mon colocataire est en voyage, je vais surement passer mon anniversaire en buvant un verre avec de vagues connaissances avant de rentrer tristement chez moi écrire des fics sur PoM... et je n'aurais surement pas de cadeaux... *puppy eyes* - il n'y avait pas de message subliminal dans cet interlude dramatique tout à fait hors de propos /)
Bref, tout ça pour dire que je crois que les chocapics vont devenir la base de mon allimentation de ces prochaines semaines... Ben ouais, il y en a 24 a collectionner !
Bref, tenez : du Hans>Skipper
J'avais déjà mentionné que je shippais Hans et Skipper ? Non ? Je me doutais que ça vous surprendrait...
(et j'en profite pour leur ajouter quelques un de mes kinks légers - mais vraiment légers, hein...)
Titre (j'aime pas chercher des titres -_-) : Somnambulisme
Fandom : The Penguins of Madagascar - UA humanisé
Disclaimer : Hans est Skipper sont à Dreamworks (et le coeur d'Hans est à Skipper...)
Personnages/Couple : Hans>Skipper
Rating : PG/PG-13
Nombre de mots : un peu moins de 1 000 mots
merci à sheepnimrauko pour la relecture
---
Dans un appartement de la banlieue de Copenhague, assis sur un lit, deux agents secrets étudiaient les plans d'un immeuble.
- On sait quoi sur les serrures ?
- Rien. On se renseignera. Demain...
- Et le système de ventilation ?
- Faut arrêter les films américains, mon vieux...
- Donc on escalade la façade Est, et on rentre par cette fenêtre...
- Laisse tomber, Zkipper, on verra ça demain, bâilla Hans en se laissant tomber en arrière. Ça fait plus de 48 heures qu'on a pas dormi, on sera plus efficaces après quelques heures de sommeil...
- Ce plan indique pas les caméras...
- Rrrrrrrr-shhhhhhhh-rrrrr...
-Tu mettrais des caméras où ?
-Tu vois pas que je suis en train de faire semblant de dormir pour que tu me lâches ?
Skipper soupira et replia les plans de travers.
- Ok, t'as raison, on verra ça dans quelques heures - mets pas tes pompes sur mon lit !
- Enlève-les moi, fit Hans en levant une jambe devant le visage de son coéquipier.
- Va mourir, je suis pas ton nègre...
Mais, finalement, comme l'allemand n'avait pas l'air décidé à faire un mouvement, Skipper entreprit avec un soupir lourd de défaire ses lacets.
- Génial, maintenant masse-moi les pieds...
Il évita en riant la chaussure que Skipper venait de lancer vers sa tête.
- Allez, dégage de ma chambre, feignasse...
- Négatif, je suis mort, je lèverai pas mon cul de ce lit avant le matin.
Hans s'attendait à ce que Skipper le pousse pour le faire tomber sur le sol, mais ce dernier dit juste :
- Ok...
Puis il se leva lourdement, retira son T-shirt, ses chaussures et son pantalon qu'il laissa tomber sur le sol, prit un pistolet qui traînait sur la table de nuit, vérifia qu'il était chargé, le glissa sous son oreiller et se coucha.
- Gute Nacht.
- C'est ça, fit Skipper d'une voix ensommeillée avant d'éteindre la lumière.
Hans, troublé, attendit que la respiration de son ami se soit faite calme et régulière, puis il se tourna doucement vers lui pour se retrouver face à sa nuque et au haut de son dos nu. Il se mordit la lèvre et avança vers lui une main hésitante. Ses doigts effleurèrent sa peau. Skipper grogna et remua légèrement les épaule dans son sommeil. Hans recula vivement son bras.
Il se sentait soudain très inconfortable, allongé ainsi, tout habillé, au-dessus des draps. Il songea un instant à imiter Skipper, se dévêtir, et se blottir contre lui sous la couverture. Non, pas se blottir contre lui, difficile à justifier au réveil, il valait mieux éviter - pour l'instant ...
Mais le même programme en oubliant la partie câlin, ça semblait négociable...
Non plus, non. Dormir en sous-vêtement à coté de lui, dans ce petit lit, sans pouvoir le toucher, l'étreindre, l'embrasser - à plus forte raison, lui faire l'amour... Non, c'était juste un coup à péter un câble, à se jeter sur lui au matin, et même dans son sommeil il risquait de se presser contre son dos, de passer un bras autour de sa taille, de laisser ses lèvres traîner sur son cou...
Avec un soupir douloureux, il se redressa. Autant retourner sagement dans sa chambre, ça, au moins, c'était facile à expliquer. Skipper se réveillerait sans doute quand il ouvrirait la porte et lui lancerai un "T'as changé d'avis ?" pâteux auquel il pourrait répondre quelque chose comme "Ouais, tu ronfles trop fort..." et tout resterait parfaitement normal entre eux.
La main sur la clenche, il se ravisa. Puisqu'il était là, qu'est-ce qui l'empêchait de, un instant, juste un court instant...
D'un pas silencieux, il contourna le lit et s'adossa près de la fenêtre, en face de lui. Et le regarda dormir.
La lumière des lampadaires qui filtrait à travers les rideaux éclairait son visage paisible, son épaule nue qui dépassait des draps, son bras musclé qui plongeait sous son oreiller, autour de la crosse de son arme. Il était beau.
Hans ferma les yeux et eut les épaules agitées d'un rire triste et silencieux. Il se faisait pitié à lui-même. Oui. Il était en train de regarder Skipper dormir. Cette fois il avait vraiment touché le fond...
***
Quand Skipper ouvrit les yeux, la première chose qu'il vit fut Hans, devant lui, assis sur le sol, contre le mur, la tête sur les genoux. Comme à chaque fois qu'il voyait quelque chose d'inhabituel, sa première réaction fut de sortir son arme. Après un coup d'œil circulaire dans la pièce, il ne vit aucune menace directe dans la pièce. Il appela doucement :
- Hans ?
Anxieux, il s'attendait presque à voir le corps de son ami tomber sur le coté, révélant une trace rouge derrière lui. Non. Hans redressa la tête en un sursaut et lança un regard perplexe autour de lui.
- Hein ?
- Qu'est-ce que... mais putain, qu'est-ce que tu fous à dormir assis par terre !
Hans se releva maladroitement en faisant jouer ses muscles endoloris par la nuit inconfortable, détourna la tête vers la fenêtre pour cacher son rougissement et baragouina :
- Non... heu... je sais pas... j'ai... peut-être fait une crise de somnambulisme...
Et la palme de la pire excuse de l'année est attribuée à...
- De somnambulisme ? Sans déconner ? Ils engagent des agents somnambules dans ton pays ?
Non, ça avait l'air de prendre. Skipper était juste tellement con des fois. Ça faisait partie de son charme.
- Ça va, c'est rien, ça m'arrive pas souvent et je vais jamais loin, tu vois bien. Ça doit être parce que j'étais très fatigué et que j'étais pas dans mon lit...
Ça prenait... Skipper posa son pistolet sur sa table de nuit et conclut :
- Ben dors tout seul dans ton lit.
- Je suppose que c'est ce que je vais continuer à faire, oui, répondit Hans, tristement.