><> Tel père, tel fils ><>

Apr 01, 2008 21:11

 Titre : Tel père, tel fils
Auteur:
aylala
Personnages : Lucius Malefoy, Albus Potter, Ginny Weasley, George Weasley, Angelina Jonhson, Vernon Dursley, Pétunia Dursley, Scorpius Malefoy, Astoria Greengrass, Augusta Londubat, Neville Londubat, Hugo Weasley, Rose Weasley,
 Catégorie : Défi du mois d'avril "Proverbes et dictons"
Rating : K
Note de l’auteur : Je suis plongée à fond dans les drabbles en ce moment ! Il faut dire que le thème de ce défi m'a grandement inspiré. En attendant mes autres réponses à ce défi ( les idées explosent déjà comme du pop corn dans ma tête ! ^^) voilà une première série de drabbles sur lethème de la relation père/fils.

Tel père, tel fils

Lucius et Drago Malefoy :A côté de la beauté, l'esprit et le coeur font toujours l'effet de parents pauvres (proverbe chinois)

- « Papaaaaaaaaa ! »

Lucius se retourna pour apercevoir son fils Drago, cinq ans, courir d’un air apeuré dans sa direction. Le petit garçon vint se cacher derrière ses jambes et s’agrippa de toutes ses petites forces à sa robe. Lucius lança un regard curieux à et Mrs Parkinson Narcissa qui se trouvait non loin.

- « Que se passe-t-il Drago ? » demanda-t-il en le forçant à se détacher.

- « Pansy elle fait rien que me courir après pour me faire un bisou sur la bouche ! »  lui répondit le garçonnet

Les deux mères échangèrent un regard amusé et attendri. Lucius lui regarda son fils en souriant.

- « Et bien ? C’est tout à fait normal non ? C’est une charmante petite fille, elle pourrait être ta fiancée… »

- « Ah non ! » répondit alors Drago avec véhémence en esquissant une grimace de dégôut.

- « Et pourquoi donc ? » demanda Mrs Parkinson qui semblait le trouver bien moins attendrissant tout à coup. « Ma fille est tout à fait convenable ! Et son sang est parfaitement pur ! »

- « Mais elle est moche ! » s’exclama le garçonnet avec insolence.

Et tandis que Narcissa se levait pour réprimander son fils sur ses mauvaises manières, Lucius ne pu s’empêcher de trouver qu’il avait raison… Tant qu’à avoir une femme, autant qu’elle soit belle.

Harry et Albus Potter : A coeur vaillant, rien d'impossible

- « Par Merlin Albus ! Mais qu’est-ce que tu fiches là haut ? » hurla Ginny.

Accroché à sa branche, tétanisé par la peur, Albus n’osait pas la regarder par crainte de tomber.

- « J’ai voulu aidé le chat ! Il était coincé tout en haut ! Appelle Papa s’il te plait ! » couina-t-il.

- « Je suis là… » souffla alors une voix juste derrière lui.

Albus sursauta, il était tellement terrifié qu’il ne l’avait pas entendu arriver. Heureusement, il sentit la poigne de son père s’agripper sur son bras et le stabiliser.

- « Mais enfin tu sais bien que tu as le vertige ! » gronda Ginny d’un air agacé.

- « Mais il miaulait ?! Il me faisait de la peine, il avait besoin d’aide ! » lui répondit-il en fermant fort les yeux pour ne surtout plus voir le sol qui semblait se rapprocher de lui à une vitesse vertigineuse.

Il sentit alors son père l’attirer à lui et bientôt pu s’accrocher à lui de toutes ses forces.

- « Mais qui t’a demandé de partir à sa rescousse sans prendre le temps de réfléchir ! »grogna Ginny.

Albus se recroquevilla encore un peu plus dans les bras de son père et se mit à caresser doucement son dos.

- « T’inquiète pas… Moi aussi je fais ça tout le temps ! » lui chuchota-t-il à l’oreille.

Et le petit garçon se mit à sourire.

George et Fred (II) Weasley: Petite étincelle engendre grand feu

George se trouvait dans la pièce qui lui servait de bureau et réfléchissait avec attention aux modifications à apporter à ses berlingots à goût multiples afin qu’ils cessent enfin de faire des bulles dès qu’on les glissait sous la langue quand un cri retentit dans la maison.

Un cri animal, inhumain en tout cas, George était prêt à le jurer. Il fronça les sourcils d’un air surpris et se leva pour aller voir. Au moment où il allait ouvrir la porte, celle-ci s’ouvrit brutalement.

- « George Weasley ! » hurla Angelina de toute la force de ses poumons.

Et comme à chaque fois qu’elle était dans cet état, George regretta de ne pas être un animagus bourdon pour pouvoir fuir à toutes ailes loin d’elle.

- « Rappelle-moi qui a eu l’idée stupide d’offrir à ton fils un coffret du parfait petit alchimiste ? » demanda-t-elle avec furie.

- « Notre fils … » corrigea-t-il simplement.

- « NON ! Ton fils ! TON fils ! Qui a fait un trou de quinze centimètres de diamètre dans la moquette de sa chambre ! »

George la regarda alors pendant un court instant.

- « Sans rire ? Et il tentait de créer quoi ? » demanda-t-il alors.

- « GEORGE ! »

Immédiatement, il se tassa et du promettre de réparer dans l’heure tous les dégâts pour qu’elle consente à ne pas le tuer.

Vernon et Dudley Dursley : Un cochon ne peut pas se retenir devant une carotte de manioc (proverbe congolais)

Pétunia tournait d’un air fébrile les pages du petit carnet où elle tenait tous ses comptes depuis qu’elle était mariée. Elle scruta attentivement les dernières lignes avant de relever la tête vers Vernon qui attendait avec impatience.

- « Alors ? »

Pétunia soupira et referma son petit carnet.

- « Ca va vraiment être très difficile ! Son anniversaire était il y a à peine un mois, les finances

ont encore du mal à s’en remettre… »

Vernon grogna de mécontentement et frappa du poing sur la table.

- « Il y tient beaucoup ! Il a pleuré toute l’après midi ! » souffla-t-il.

- « Mais Duddy n’a pas besoin d’un nouveau vélo ! » souffla Pétunia.

- « Bien sur que si ! Tu as entendu ce qu’il a dit ? Un de ses camarades en avait un identique au sien ! C’est intolérable ! »

- « Mais cela coûte une fortune ! Et il faudrait tout de même acheter un nouveau pantalon à Harry et… »

- « Harry se contente parfaitement des anciennes affaires de Duddy ! Si mon fils veut un nouveau vélo, il aura un vélo ! »tonna Vernon.

Pétunia soupira et hocha la tête. Avec inquiétude, elle fixa les dépenses du ménage et su que les prochains mois allait être difficiles… Car il fallait aussi payer la nouvelle voiture que Vernon s’était offerte quand leur voisin d’en face avait acheté le dernier modèle à la mode… C’était le prix à payer pour compter parmi les gens important de LittleWinging. Pétunia espérait que cela en valait la peine.

Drago et Scorpius Malefoy : Les chiens ne font pas des chats

- « Monte dans ta chambre et je ne veux pas te voir redescendre tant que je ne t’en aurais pas donné l’autorisation ! »

Astoria regarda alors son fils prendre les escaliers en trainant les pieds. Elle attendit d’entendre la porte de sa chambre claquer pour soupirer et se rendre dans le salon. Drago s’y trouvait déjà. Il releva les yeux quand elle le laissa tomber sur le canapé.

Elle posa ses mains sur ses tempes et se les massa doucement.

- « Scorpius ? » demanda simplement Drago.

- « Oui ! »

- « Et qu’est-ce qu’il a fait cette fois ? » demanda-t-il en repliant son journal.

- « Il a refuser de prêter son ballon à un petit garçon au parc, le petit a insisté alors il l’a fait léviter ! » soupira le jeune femme d’un air las.

- « A sept ans… Beau travail ! »

- « Drago ! S’il te plait ! »

Drago leva les yeux au ciel et haussa les épaules.

- « Et toi, ta journée ? » demanda-t-elle pour changer de conversation et surtout de chasser l’agacement que la désinvolture de son mari avait fait naitre en elle.

- « Rien de bien amusant… » lui répondit-il alors « Gregory est passé pour me demander de lui prêter mon balai, il devait aller entrainer son fils. Mais je lui ai dit non ! Il n’a qu’à s’en acheter un, je refuse qu’il touche au mien ! Mais il a tellement insisté que j’ai dû le menacer d’un chauve-furie pour qu’il s’en aille. »

Incrédule, Astoria le fixa alors dans l’espoir qu’il s’agisse d’une plaisanterie, mais voyant que ce n’était pas le cas, elle frappa l’accoudoir du canapé avec colère et se leva. Comment pouvait-elle inculquer quoi que se soit à son fils alors que son père était pire ?!

Elle quitta la pièce de fort mauvaise humeur.

- « Mais quoi ? » demanda alors la voix de Drago tandis qu’elle referma la porte avec violence.

Franck et Neville Londubat : Tout vient à point qui sait attendre.

Et dire que pendant toutes ses années, elle s’était résignée. Qu’elle l’avait poussé à bout, qu’elle avait rêvé sa vie pour lui, qu’elle était dessus de voir qu’il ne suivait pas les voies qu’elle lui avait tracé.

Et dire que pendant toutes ses années, elle avait chaque semaine murmuré à l’oreille de Franck, allongé dans son lit d’hôpital qu’il n’avait pas eu le fils qu’il aurait mérité. Que Voldemort l’avait privé de son droit d’avoir un garçon téméraire et audacieux. Que quand il les avaient fait torturé cette nuit là, le Seigneur des Ténèbres avait brisé quelque chose et qu’il avait rendu Neville timoré et peu sur de lui.

Et voilà que maintenant, il était décoré, par le Ministre lui-même. Son petit fils était devenu un héros de la Guerre. On vantait partout sa bravoure et son courage. On ne cessait de parler de toutes ses choses courageuses qu’il avait faites pendant l’occupation de Poudlard.

Augusta avait les larmes aux yeux et retenait mal son émotion parce qu’elle venait enfin de comprendre… Que Neville était bel et bien le digne fils de Franck. D’ailleurs en cet instant, se tenant bien droit sur l’estrade où on l’avait installé, elle trouvait qu’il ne lui avait jamais autant ressemblé…

Ron et Hugo Weasley : Ce sont les plus petites bêtes qui font peur au grandes

- « Viiiiiite ! Viiiiite ! Fais quelque chose ! »

- « Je fais ce que je peux ! Figures toi ! »

Rose fronça les sourcils en passant devant la porte entrouverte de la chambre de son frère. Elle avait rarement entendu une telle panique dans la voix de son père. Curieuse, elle se rapprocha un peu.

- « Dépêche toi, elle se rapproche ! » sanglotait Hugo.

- « Je la vois ! Elle est énorme ! On ne peut pas la manquer ! »

La curiosité l’emporta alors et Rose poussa un peu plus la porte. Au départ, elle eut l’impression que la pièce était vide, mais en se penchant un peu plus, elle aperçut les pieds de son frère, solidement campé sur son lit.

- « Hugo ! » gronda-t-elle alors « Maman a dit qu’on n’avait pas le droit d’être debout sur le… »

Elle se figea un moment en voyant que son père se trouvait aussi debout sur le lit. Il tenait dans la main une de ses chaussures et était bien plus pâle que d’habitude.

- « Qu’est-ce que vous faites ? » demanda la petite fille.

Mais pour toute réponse, son père se contenta de pointer du doigt un coin de la chambre. Rose aperçut alors une toute petite araignée qui tissait sa toile sans se soucier de l’émoi qu’elle provoquait.

La fillette soupira alors et leva les yeux au ciel. Puis, elle s’approcha de la « terreur » et la récupéra délicatement dans le creux de sa main.

- « Fais attention chérie ! » hurla alors Ron « Fais attention à pas te faire piquer ! »

- « Ecrase là ! Ecrase là ! » réclama à son tour Hugo avec véhémence.

Mais Rose se contenta de leur lancer un regard hautain et quitta la chambre pour relâcher la petite bête dans un coin plus tranquille.

Chère modés, encore une fois j'ai écrit sur des persos qui n'avaient pas encore de tags : 
lucius malefoy( j'ai un doute,il est oublié ou pas,lui ?), albus potter, angelina johnson,  astoria greengrass, hugo weasley, rose weasley et je crois que ce sera tout... ^^

astoria greengrass, neville londubat, scorpius malefoy, angelina johnson, rose weasley, augusta londubat, george weasley, hugo weasley, vernon dursley, défi, pétunia dursley, albus potter, fic

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