Je me rends compte que ça fait 3 mois, que pour le coup j'ai battu mon record mais il n'est pas évident de réaliser le temps qui passe. Pas que je n'ai rien à raconter, c'est surtout la flemme. Bon ma vie n'est pas une aventure de roman de gare tout les jours non plus. Le plus souvent j'écris par stress, ennuie, ou pour m'éviter de faire le travail
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Je parlais de psy parce que là c'était limite la crise dans ma tête, surtout quand on doit faire un choix dans la minute qui suit, et puis la super pression des gens "qui vous veulent du bien", quand on est enfin sur de soi et en paix, y a toujours quelqu'un pour vous sortir "t'es sur de toi ?", et on remerciera particulierement la famille et les parents qui veulent pas vous aider à choisir, mais qui seront toujours là pour vous faire des reproches.
Ca impressionne toujours le fait que je cumule, pourtant j'ai rien d'une tête de classe. C'est pas tellement que je veuille faire des études jusqu'à la fin de ma vie, d'ailleurs on me le rappel sans cesse "il serait temps que tu trouve un vrai travail !", c'est juste que j'aime apprendre, sauf qu'ici en france si je veux avoir accès à ce savoir, et que ça soit pris en compte, il faut que je rentre dans un cursus. Alors ouais j'ai une soif de reconnaissance mégalo, mais ya aussi le fait que dans notre super société on nous laisse vachement plus de choix, que j'ai envie de tout faire, mais que j'aurai jamais le temps (puis j'aurai pas rempli le bon formulaire, ni me serait inscrit à la bonne fac, ou j'aurai pas suivi le cursus exact...)
Pour la citation j'étais sur que quelqu'un releverait, c'est un peu pour ça que je l'ai mise d'ailleurs, je fais dans le racolage. J'ai emprunté cette phrase à un photographe de guerre, et je trouvais ça assez juste pour cette situation ci et mon côté maso, spa forcement évident d'expliquer cet attrait amour/repulsion.
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