He Died With a Felafel in his Hand
Je viens d'écouter un film bizarrement intéressant.
He Died With a Felafel in his Hand.
Un genre de l'Auberge espagnole mais incluant des personnages hautement plus détraqué psychologiquement. Un soupçon de Trainspotting par ci (personnages paumés ne semblant pas chercher grand chose à faire avec leur vie sinon être là), de I heart Huckabees par là (petits monologues philosophiques ici et là, rien d'aussi poussé par contre, mais des personnages aussi dérangés, ô si), mélangé avec un peu de la personnalité de l'homme qui n'était pas là dans The Man who wasn't there (tout lui arrive mais lui demeure étrangement neutre).
Et bien que c'est huis clos la plupart du temps, ils sont parvenus à avoir une sacré belle image, les cadres sont dégustables les uns après les autres, tout en étant assez subtils pour ne pas déranger au contenu, à l'histoire. Les dialogues sont esquis, on se délecte de personnages certes caricaturés mais je crois que c'était l'intention et c'est juste assez, pas trop, et marrant. Ma préférée est une goth bi faisant des messes noire, lisant la personnalité des gens comme si elle avait la vérité incarnée, faisant sans cesse référence à de la littérature médiévale aux mythes sanguignolants et supposément profonds, et ne manquant pas de citer Star Trek dans le détour. Le mec qui se fait griller la nuit aux rayons de lunes, avec ses panneaux solaire pour mieux capter la lumière et moontanner au visage est lui aussi pas mal non plus.
Je voulais mettre un film pour regarder distraitement, en pratiquant mes caractères chinois, mais j'ai finalement pas pu décrocher de l'écran. J'ai vraiment aimé, je traine ce film avec moi depuis décembre dernier, et il ne m'était pas encore été donné de le visionner. Je regrette ne pas l'avoir fait plus tôt. Avis aux intéressés.
[infos]
He Died With a Felafel in his Hand.
Un genre de l'Auberge espagnole mais incluant des personnages hautement plus détraqué psychologiquement. Un soupçon de Trainspotting par ci (personnages paumés ne semblant pas chercher grand chose à faire avec leur vie sinon être là), de I heart Huckabees par là (petits monologues philosophiques ici et là, rien d'aussi poussé par contre, mais des personnages aussi dérangés, ô si), mélangé avec un peu de la personnalité de l'homme qui n'était pas là dans The Man who wasn't there (tout lui arrive mais lui demeure étrangement neutre).
Et bien que c'est huis clos la plupart du temps, ils sont parvenus à avoir une sacré belle image, les cadres sont dégustables les uns après les autres, tout en étant assez subtils pour ne pas déranger au contenu, à l'histoire. Les dialogues sont esquis, on se délecte de personnages certes caricaturés mais je crois que c'était l'intention et c'est juste assez, pas trop, et marrant. Ma préférée est une goth bi faisant des messes noire, lisant la personnalité des gens comme si elle avait la vérité incarnée, faisant sans cesse référence à de la littérature médiévale aux mythes sanguignolants et supposément profonds, et ne manquant pas de citer Star Trek dans le détour. Le mec qui se fait griller la nuit aux rayons de lunes, avec ses panneaux solaire pour mieux capter la lumière et moontanner au visage est lui aussi pas mal non plus.
Je voulais mettre un film pour regarder distraitement, en pratiquant mes caractères chinois, mais j'ai finalement pas pu décrocher de l'écran. J'ai vraiment aimé, je traine ce film avec moi depuis décembre dernier, et il ne m'était pas encore été donné de le visionner. Je regrette ne pas l'avoir fait plus tôt. Avis aux intéressés.
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