Dans une salle vide - Théodore/Draco
Titre : Dans une salle vide
Auteur : camille_miko
Pairing : Théodore/Draco
Fandom : Harry Potter
Rating : NC-17
Nombre de mots : 500
Défi : Amours parallèles de hp_slash_fr et hp_het_fr
Bêta : elwan59
Draco était endormi dans la couette que j’avais fait apparaître. Le corps satisfait, repu de plaisir et d’amour. Il avait cette manière totalement indécente de dormir, comme si le monde entier était là pour l’admirer. Deux chevilles fines, qui menaient à deux cuisses musclées et puissantes. Des hanches étroites, aux os légèrement saillants. Juste ce qu’il faut pour attirer les mains dessus. Un torse fin, sans pilosité au plus grand regret de Draco. Un visage doux, dès l’instant où tu es endormi. Puis… Ton sexe. Epais, niché au creux des poils blonds. La peau pâle de Draco n’en faisait que ressortir plus le sexe sombre de celui-ci.
Cela faisait partie des mystères que j’aimais observer chez lui. Son corps était d’un blanc presque maladif sur tout son corps, à l’exception de ce sexe lourd où la peau était plus foncée, comme bronzée. Aussi irrationnel que cela puisse être, ça ne m’en rendait que plus possessif. Il n’y avait que moi qui avait le droit de le voir, de le toucher, de jouer avec. Le soleil n’avait même pas ce privilège. Même si cela devait être horriblement cliché.
Draco bougea dans son sommeil, enlaçant ma taille sans même s’en rendre compte. J’attirai un drap sur nous deux. La nuit était encore jeune et il restait encore pas mal d’heures avant que je ne doive le réveiller. Autant le laisser dormir. Je jouais avec ses cheveux. Il commençait à les avoir un peu long sur la nuque. C’était comme cela que je le préférais et Draco le savait bien.
Il jouait honteusement sur ses faiblesses. Je déposai un léger baiser sur sa nuque, le faisant soupirer de bien-être. Qui eut cru que le si intraitable fils Malfoy serait un véritable chaton ronronnant à la moindre caresse ?
Je lançai un Tempus. 22h30. Draco avait encore le temps. Ça ne me réjouissait pas, mais je n’avais pas réellement le choix. Tout comme Draco, en réalité. On en avait parlé plusieurs fois cette année, sans trouver d’autres solutions que de suivre les ordres. Alors autant profiter de ces derniers temps avec mon petit-ami. On venait de faire l’amour et si on avait eu le temps, si Draco n’était pas aussi épuisé nerveusement, on aurait certainement recommencé. Pour avoir un autre souvenir, pour pouvoir avoir une consolation, qui se glisserait sous mes paupières quand je serais seul, quand ce ne serait pas simples. Parce que les choses ne pourraient être simple, après ce soir. Après ce que toi et moi allions accepter de faire, Draco. Moi en te voyant agir. Et toi…
22h56. Voilà, c’était l’heure. Je devais réveiller Draco pour qu’il aille tuer Dumbledore.
HPHPHPHP
Dans une classe vide, je t’attends. La bataille a cessé de faire rage dehors et j’espère que tu viendras. Je prie pour que ce soit le cas. Après que je t’ai réveillé, tu m’as promis que quand tout serait fini, on se retrouverait ici. Le château est tellement silencieux, à cet instant.
Merlin, faites qu’il arrive. Faites qu’il arrive, par Merlin !
Auteur : camille_miko
Pairing : Théodore/Draco
Fandom : Harry Potter
Rating : NC-17
Nombre de mots : 500
Défi : Amours parallèles de hp_slash_fr et hp_het_fr
Bêta : elwan59
Draco était endormi dans la couette que j’avais fait apparaître. Le corps satisfait, repu de plaisir et d’amour. Il avait cette manière totalement indécente de dormir, comme si le monde entier était là pour l’admirer. Deux chevilles fines, qui menaient à deux cuisses musclées et puissantes. Des hanches étroites, aux os légèrement saillants. Juste ce qu’il faut pour attirer les mains dessus. Un torse fin, sans pilosité au plus grand regret de Draco. Un visage doux, dès l’instant où tu es endormi. Puis… Ton sexe. Epais, niché au creux des poils blonds. La peau pâle de Draco n’en faisait que ressortir plus le sexe sombre de celui-ci.
Cela faisait partie des mystères que j’aimais observer chez lui. Son corps était d’un blanc presque maladif sur tout son corps, à l’exception de ce sexe lourd où la peau était plus foncée, comme bronzée. Aussi irrationnel que cela puisse être, ça ne m’en rendait que plus possessif. Il n’y avait que moi qui avait le droit de le voir, de le toucher, de jouer avec. Le soleil n’avait même pas ce privilège. Même si cela devait être horriblement cliché.
Draco bougea dans son sommeil, enlaçant ma taille sans même s’en rendre compte. J’attirai un drap sur nous deux. La nuit était encore jeune et il restait encore pas mal d’heures avant que je ne doive le réveiller. Autant le laisser dormir. Je jouais avec ses cheveux. Il commençait à les avoir un peu long sur la nuque. C’était comme cela que je le préférais et Draco le savait bien.
Il jouait honteusement sur ses faiblesses. Je déposai un léger baiser sur sa nuque, le faisant soupirer de bien-être. Qui eut cru que le si intraitable fils Malfoy serait un véritable chaton ronronnant à la moindre caresse ?
Je lançai un Tempus. 22h30. Draco avait encore le temps. Ça ne me réjouissait pas, mais je n’avais pas réellement le choix. Tout comme Draco, en réalité. On en avait parlé plusieurs fois cette année, sans trouver d’autres solutions que de suivre les ordres. Alors autant profiter de ces derniers temps avec mon petit-ami. On venait de faire l’amour et si on avait eu le temps, si Draco n’était pas aussi épuisé nerveusement, on aurait certainement recommencé. Pour avoir un autre souvenir, pour pouvoir avoir une consolation, qui se glisserait sous mes paupières quand je serais seul, quand ce ne serait pas simples. Parce que les choses ne pourraient être simple, après ce soir. Après ce que toi et moi allions accepter de faire, Draco. Moi en te voyant agir. Et toi…
22h56. Voilà, c’était l’heure. Je devais réveiller Draco pour qu’il aille tuer Dumbledore.
HPHPHPHP
Dans une classe vide, je t’attends. La bataille a cessé de faire rage dehors et j’espère que tu viendras. Je prie pour que ce soit le cas. Après que je t’ai réveillé, tu m’as promis que quand tout serait fini, on se retrouverait ici. Le château est tellement silencieux, à cet instant.
Merlin, faites qu’il arrive. Faites qu’il arrive, par Merlin !