NaNo - 1ère semaine
J'aime le NaNo parce que pendant un mois, ça me permet de dire f*** à la petite voix qui habituellement m'empêche d'avancer, à grands coups de "c'est mauvais", "c'est pas drôle", "c'est faible", "c'est pas le bon mot".
Pendant un mois, on met ça de côté, on avance quoi qu'il arrive.
Le risque, bien sûr, c'est d'avoir beaucoup à jeter. Honnêtement, je crois que ça va être mon cas.
Quantitativement, je crois que je n'ai jamais autant écrit, même les autres années. Qualitativement, ça ne suit pas par contre.
Je vais tâcher de rester positive en gardant en tête que ça me fait avancer, ça me fait me poser de bonnes questions et ça met en lumière des failles et des faiblesses que je n'avais pas vu ou auxquelles je pensais réfléchir plus tard.
Donc j'ai mon document word ouvert. Mais j'ai également à portée de clic, un document où je note tout ce qu'il y aura à reprendre et corriger.
Hier, j'étais prête à tout laisser tomber. La petite voix s'était changée en grosse voix, tout me paraissait insurmontable. J'ai essayé d'alterner les projets, mais je me faisais à chaque fois le même constat: mauvais, mauvais, mauvais. J'ai même essayé de reprendre les corrections de Bulle et du JTD. Mauvais. Je n'y arrivais pas. A quoi ça servait de continuer ?
Le pire, c'est que je suis consciente que si je vois les choses en noir, c'est à cause du boulot. Et aux petites contrariétés du quotidien.
Une bonne nuit de sommeil m'a remis les idées en place, et je continue.
Principalement, parce que je suis allée trop loin maintenant pour laisser tomber (le plus dur est fait!). Mais aussi parce que, le deuxième jour, j'ai eu un de ces moments. Vous savez, ceux où le cerveau vous paraît être en lien direct avec vos mains. Où les mots coulent tout seul. Où on écrit des heures sans réfléchir, sans chercher, naturellement. Et où on se rend compte que c'est pas mal tout compte fait.
J'ai bon espoir que ça arrive à nouveau. *croise les doigts*
Il faut que j'arrête de me mettre la pression (pour le NaNo comme pour le reste, en vérité). Ca ne reste que de la fanfiction.
Pendant un mois, on met ça de côté, on avance quoi qu'il arrive.
Le risque, bien sûr, c'est d'avoir beaucoup à jeter. Honnêtement, je crois que ça va être mon cas.
Quantitativement, je crois que je n'ai jamais autant écrit, même les autres années. Qualitativement, ça ne suit pas par contre.
Je vais tâcher de rester positive en gardant en tête que ça me fait avancer, ça me fait me poser de bonnes questions et ça met en lumière des failles et des faiblesses que je n'avais pas vu ou auxquelles je pensais réfléchir plus tard.
Donc j'ai mon document word ouvert. Mais j'ai également à portée de clic, un document où je note tout ce qu'il y aura à reprendre et corriger.
Hier, j'étais prête à tout laisser tomber. La petite voix s'était changée en grosse voix, tout me paraissait insurmontable. J'ai essayé d'alterner les projets, mais je me faisais à chaque fois le même constat: mauvais, mauvais, mauvais. J'ai même essayé de reprendre les corrections de Bulle et du JTD. Mauvais. Je n'y arrivais pas. A quoi ça servait de continuer ?
Le pire, c'est que je suis consciente que si je vois les choses en noir, c'est à cause du boulot. Et aux petites contrariétés du quotidien.
Une bonne nuit de sommeil m'a remis les idées en place, et je continue.
Principalement, parce que je suis allée trop loin maintenant pour laisser tomber (le plus dur est fait!). Mais aussi parce que, le deuxième jour, j'ai eu un de ces moments. Vous savez, ceux où le cerveau vous paraît être en lien direct avec vos mains. Où les mots coulent tout seul. Où on écrit des heures sans réfléchir, sans chercher, naturellement. Et où on se rend compte que c'est pas mal tout compte fait.
J'ai bon espoir que ça arrive à nouveau. *croise les doigts*
Il faut que j'arrête de me mettre la pression (pour le NaNo comme pour le reste, en vérité). Ca ne reste que de la fanfiction.