Aug 15, 2006 02:15
Adaption très libre du "Corbeau et le Renard" de Lafontaine, basé sur la phonétique des mots. Re lire la vraie fable avant ne serait pas une mauvaise idée.
LE BOBO ET LE CAVIAR
Bête Bobo, sur un arable bercé,
Donnait en son bec un hommage.
Être Caviar, par pudeur éméchée,
Lui vient à peu raie ce bandage.
« Et jambon ma sœur le Bobo!
Que mouette hormis! Quenouille, blé, eau!
Sans vomir, si votre dommage
S’apporte à vos rats mages,
Violette le pénis de ses rois. »
À ces morts le Bobo ne sentit pas l’oie.
Et pour mater sa vieille noix
Louve une barge sec,
Baise pomper son poids.
Le Caviar s’en assit et rit :
« Mon rond essieu,
Après nez que toux frappeur
Vitraux dépend de céleri qui l’égoutte :
Sept caleçons veau rien un roi mage sans boute. »
Le Bobo, bon gueux et rompu,
Tua métro art, corne lit pendrais plus.
Sur une note positive, ma pièce de théâtre avance et je devrais poster 2 nouvelles scènes d'ici 2 jours. Toujours aucune idée comment la finir, parcontre.