[Fic] Offert comme le plus beau des Vins, Dracula, Jonathan/Dracula [ParanormalSyndrome à Chat alors
Titre : Offert comme le plus beau des Vins
Auteur : ParanormalSyndrome (Participant.e 2)
Pour : Chat alors (Participant.e 15)
Fandom : Dracula
Persos/Couple : Jonathan/Dracula
Rating : M
Disclaimer : Bien sur le fandom appartient à son auteur.
Prompt : Dracula vient s'abreuver du sang de Jonathan , qu’il soit endormi ou conscient, lorsque Jonathan est encore invité au château de Dracula. Montrez les ressentis de Dracula sur Jonathan, qui est plus qu’une de ses victimes mais un gentleman intelligent dont il apprécie la compagnie malgré tout et peut-être songe-t-il à en faire un des siens… Cette scène peut se produire quand Jonathan est conscient qu’il est prisonnier, ou pas encore !
Notes : Je n’écrit pas souvent du point de vue du Comte. J’espère que cela vous plaira malgré tout et que j’ai put montrer une "belle" alchimie entre les personnages. Si on peux qualifier une situation aussi difficile de belle.
La sensation était divine, laissant le sang couler sur ses lèvres et dans sa bouche en laissant les arômes s’épanouir sur sa langue. C’était à chaque fois une nouvelle découverte, certain se démarquant des autres par un goût et un arôme unique. Le comte avait passer assez de ses nuits avec de nombreuses femmes et quelques rares hommes pour savoir que tout les sangs ne se ressemblait pas. Il avait l’éternité pour découvrir et élargir ses connaissance pour goutté le sang comme on goutté le meilleurs des vins.
Et Jonathan était quelqu’un avec une histoire comme les meilleurs des vins, une personnalité qui laisser le comte réellement captivait. Cela avait été un plaisir d’avoir une telle compagnie entre les murs de son manoir.
Un jeune homme qui était venu d’Angleterre presque pure et à la naïveté qui laisser place à un comportement raffiné et doux. Il aurait pensé qu’il serait assez doux pour plier, comme beaucoup d’autre avait fait. Le comte avait l’habitude de voir ses visiteurs céder sous ses avances. Peu de personne lui résister, et Dracula en avait pleinement conscience et cela était sans doute son arme la plus habille.
Mais égale à la politesse et la douceur qui l’avait attiré, l’homme restait ferme. Et lentement un combat de volonté avait commencé, et cela avait rendu se long séjour bien plus réjouissant. Le plaisir de la chasse dépasser celui du sang et de la chaire, et Jonathan le lui offrait en plus d’une compagnie délicieuse sur un plateau d’argent.
Le comte s’éloigna un instant du cou marqués par sa morsure, observant la blessure et la marque de ses crocs. Il aimait voir le cou de l’homme marquer par ses dents, voir le sang coulait et tacher les draps aussi blanc que l’homme. Cela le changer des autres victimes, mêmes ses fiancées ne lui avait pas offert tant de surprise.
Et ses yeux, d’un bleu aussi profond que le ciel, se tournaient vers lui et laisser une émotion bien trop sombre que le comte Dracula était le seul à avoir. Un si beau cadeau que de voir une âme comme celle de son hôte se noircir à son approche. Oh, ce n’était que de la haine, du moins en surface.
Il replongea dans le cou si invita, s’émerveillant en entendant Jonathan retenir son souffle sous la douleur et le plaisir. Il était si agréable d’entendre ses partenaires réagir sous ses touchés, même pour les plus récalcitrant. Surtout chez les plus récalcitrant.
L’homme n’aurait dut n’être qu’une étape, mais il se montré si divertissant. Il espérait que cette fois-ci cela sera le bon, il en avait la conviction alors qu’il laissait ses mains sur les épaules du jeune homme, le maintenant contre le lit.
En voyant ses yeux, il pouvait être sur qu’il pourrait être le bon, peut être même qu’il rencontrait sa propre médecine et tomber lui aussi sous le charme . Mais comment ne pas l’être en voyant ses yeux qui le regardait si profondément alors que ses bras tentaient de l’éloigné, cette force et détermination à le refuser mais néanmoins ne pas être complètement indifférent à ses demandes.
Quel terrible tentation offrait-il à l’homme.
Ses fiancées avaient voulut la vie, le plaisir et tout se qu’il avait à offrir et le comte Dracula avait décidait de tout leur offrir. Mais lui ne souhaiter qu’une chose, lui échapper, retourner vers les bras qui lui était promit et oublier comment ses yeux s’étaient égaré en pensant que le comte ne le regarder pas. Dracula ne pouvait pas le laisser faire ça. Pas quand il avait été une aussi bonne compagnie, et une telle distraction.
Le souffle de l’homme était agité quand le comte s’éloigna, leur yeux se croisèrent alors que le comte léchait le sang sur ses lèvres. L’homme avait été une compagnie divine. Un spectacle amusant de voir un homme tentait de garder son contrôle, sa bonne éducation et ses manières alors qu’il savait les monstruosités que cachait les profondeurs de son château et le cœur même de l’homme qui l’invité à sa table, avant de s’inviter dans son lit.
Il était dommage que les choses se termines bientôt, malgré que l’homme avait vaillamment lutter.
Mais le comte avait le présentement qu’il pourrait peut être le garder, laissant une nouvelle marié rejoindre son éternité. Et peut être que quelque chose renaîtra enfin de sa malédiction. Peut être qu’il sera le bon. Enfin la bonne personne qui resterait malgré la transformation.
Auteur : ParanormalSyndrome (Participant.e 2)
Pour : Chat alors (Participant.e 15)
Fandom : Dracula
Persos/Couple : Jonathan/Dracula
Rating : M
Disclaimer : Bien sur le fandom appartient à son auteur.
Prompt : Dracula vient s'abreuver du sang de Jonathan , qu’il soit endormi ou conscient, lorsque Jonathan est encore invité au château de Dracula. Montrez les ressentis de Dracula sur Jonathan, qui est plus qu’une de ses victimes mais un gentleman intelligent dont il apprécie la compagnie malgré tout et peut-être songe-t-il à en faire un des siens… Cette scène peut se produire quand Jonathan est conscient qu’il est prisonnier, ou pas encore !
Notes : Je n’écrit pas souvent du point de vue du Comte. J’espère que cela vous plaira malgré tout et que j’ai put montrer une "belle" alchimie entre les personnages. Si on peux qualifier une situation aussi difficile de belle.
La sensation était divine, laissant le sang couler sur ses lèvres et dans sa bouche en laissant les arômes s’épanouir sur sa langue. C’était à chaque fois une nouvelle découverte, certain se démarquant des autres par un goût et un arôme unique. Le comte avait passer assez de ses nuits avec de nombreuses femmes et quelques rares hommes pour savoir que tout les sangs ne se ressemblait pas. Il avait l’éternité pour découvrir et élargir ses connaissance pour goutté le sang comme on goutté le meilleurs des vins.
Et Jonathan était quelqu’un avec une histoire comme les meilleurs des vins, une personnalité qui laisser le comte réellement captivait. Cela avait été un plaisir d’avoir une telle compagnie entre les murs de son manoir.
Un jeune homme qui était venu d’Angleterre presque pure et à la naïveté qui laisser place à un comportement raffiné et doux. Il aurait pensé qu’il serait assez doux pour plier, comme beaucoup d’autre avait fait. Le comte avait l’habitude de voir ses visiteurs céder sous ses avances. Peu de personne lui résister, et Dracula en avait pleinement conscience et cela était sans doute son arme la plus habille.
Mais égale à la politesse et la douceur qui l’avait attiré, l’homme restait ferme. Et lentement un combat de volonté avait commencé, et cela avait rendu se long séjour bien plus réjouissant. Le plaisir de la chasse dépasser celui du sang et de la chaire, et Jonathan le lui offrait en plus d’une compagnie délicieuse sur un plateau d’argent.
Le comte s’éloigna un instant du cou marqués par sa morsure, observant la blessure et la marque de ses crocs. Il aimait voir le cou de l’homme marquer par ses dents, voir le sang coulait et tacher les draps aussi blanc que l’homme. Cela le changer des autres victimes, mêmes ses fiancées ne lui avait pas offert tant de surprise.
Et ses yeux, d’un bleu aussi profond que le ciel, se tournaient vers lui et laisser une émotion bien trop sombre que le comte Dracula était le seul à avoir. Un si beau cadeau que de voir une âme comme celle de son hôte se noircir à son approche. Oh, ce n’était que de la haine, du moins en surface.
Il replongea dans le cou si invita, s’émerveillant en entendant Jonathan retenir son souffle sous la douleur et le plaisir. Il était si agréable d’entendre ses partenaires réagir sous ses touchés, même pour les plus récalcitrant. Surtout chez les plus récalcitrant.
L’homme n’aurait dut n’être qu’une étape, mais il se montré si divertissant. Il espérait que cette fois-ci cela sera le bon, il en avait la conviction alors qu’il laissait ses mains sur les épaules du jeune homme, le maintenant contre le lit.
En voyant ses yeux, il pouvait être sur qu’il pourrait être le bon, peut être même qu’il rencontrait sa propre médecine et tomber lui aussi sous le charme . Mais comment ne pas l’être en voyant ses yeux qui le regardait si profondément alors que ses bras tentaient de l’éloigné, cette force et détermination à le refuser mais néanmoins ne pas être complètement indifférent à ses demandes.
Quel terrible tentation offrait-il à l’homme.
Ses fiancées avaient voulut la vie, le plaisir et tout se qu’il avait à offrir et le comte Dracula avait décidait de tout leur offrir. Mais lui ne souhaiter qu’une chose, lui échapper, retourner vers les bras qui lui était promit et oublier comment ses yeux s’étaient égaré en pensant que le comte ne le regarder pas. Dracula ne pouvait pas le laisser faire ça. Pas quand il avait été une aussi bonne compagnie, et une telle distraction.
Le souffle de l’homme était agité quand le comte s’éloigna, leur yeux se croisèrent alors que le comte léchait le sang sur ses lèvres. L’homme avait été une compagnie divine. Un spectacle amusant de voir un homme tentait de garder son contrôle, sa bonne éducation et ses manières alors qu’il savait les monstruosités que cachait les profondeurs de son château et le cœur même de l’homme qui l’invité à sa table, avant de s’inviter dans son lit.
Il était dommage que les choses se termines bientôt, malgré que l’homme avait vaillamment lutter.
Mais le comte avait le présentement qu’il pourrait peut être le garder, laissant une nouvelle marié rejoindre son éternité. Et peut être que quelque chose renaîtra enfin de sa malédiction. Peut être qu’il sera le bon. Enfin la bonne personne qui resterait malgré la transformation.