May 19, 2004 10:35
J'ai...un probème
oui,
un problème.
Grave.
..
.
...
Ce Matin, je me suis levée pour aller en cours, enfin aller en cours est un bien grand mot, pour aller faire un bishônen fight avec les filles pdt que madame Oshima s'epoumone avec ses doigts a dessiner des kanji plus ou moin foireux, en nous donnant des explictions qui le sont au moin tout autant.
Bref,
Ce matin j'était prète, pour une fois. Je m'étais même, en gage de bonne foi, lavée une bonne partie de ma surface corporelle, en retrouvant le joyeux souvenir de ma couleur de peau si longtemps loin des yeux (mais pas du coeur).
C'était une matinée comme tant d'autres, je donne à manger aux bébés rats, je me fait un ptit peu de Radiohead, et je retourne vers ma salle de bain pour m'habiller.
et la,
la...
Je réalise avec effroi, stupeur (et tremblements) que je n'ai plus de pantalons.
Mais vraiment,
plus...
J'en déduis que mon esprit deducteur peut résoudre cette sombre affaire par une seule déduction :
ON M'A VOLE MES PANTALONS
Cette nuit un rôdeur type (genre Aragorn, ou Hidalgo c'est comme vous le detestez plus)s'est donc introduit dans mon appartement à mon nez et à ma barbe blanche pour voler mon bien le plus precieux.
Et là je me dis "Ouf, heureusement qu'en fait mon bien le plus precieux n'était pas dans ma poche" (Ben oui, vous pouvez essayer de faire entrer un ordinateur dans une poche de jean...d'ailleurs vous ne pourrez QU'ESSAYER...)
Je me retrouve donc, clopin clopant et surtout sans pantalon (et heureusement avec ma chemise, sinon mes suspiscions se seraient bien evidemment tournées vers Annie Cordy)devant mon ordinateur à me dire :
"OUAIP...BAH, JVAIS POUVOIR BOSSER MON FANZINE..."
Ce qui est ineluctablement commele dirait Jean Luc Delarue:
UN MAL POUR UN BIEN VAUT MIEUX QUE DEUX TU L AURA"
j'en terminerai donc sur une citation philosophique ô combien conn(u)e d'un grand maître du genre à la tete de coquille :
"Va tefaire cuire un oeuf, Caliméro " ou sa variante (ma préférée) : "Va donc, hé "
Obscene Blue Mana