On se révolte, on se soumet...
Eymrich et Altaël.
Jaloux, parce que l'un a eu des attentions que l'autre n'a pas eu pendant que l'autre aimerait qu'on lui donne toute la confiance qu'on donne au premier...
Qui ne se supportent pas, mais qui supportent encore moins de ne pas avoir à se supporter...
Bataille de deux jeunes coqs au Concile, et tellement déçu si l'autre ne saisit pas la flèche au passage. Parce que c'est tellement plus rassurant de détester quelqu'un qui vous déteste...
Chamailleries de deux grands gamins qui se regardent comme deux rivaux sans même connaître le prix du gagant, si un jour gagant il y a...
Angoisses de petits garçons à l'idée que ce simple état de fait entre eux puisse un jour changer : il me hait, je le hais, et c'est tout.
Apeurés à l'idée que l'affection de l'un pour l'autre puisse n'être qu'à sens unique, et donc murés dans ce carcan de mépris et de colère. Plus simple. Moins risqué. Moins douloureux aussi.
Deux enfants nés pour être forts, l'un seul, gradé très tôt, face à des responsabilités qui lui font peur, l'autre avec un jumeaux, pour le protéger et l'épauler, suivi par les plus vieux parce qu'il est jeune et inexpérimenté...
Longue suite de quiproquos qui donne deux jeunes hommes que tout oppose et qui s'opposent pour bien marquer leurs différences, elles sont si minimes, puis deux adultes différents mais au fond tellement semblables, même s'ils n'ont jamais voulu le reconnaitre jusque là...
Deux imbéciles qui mourraient plutôt que de voir l'autre disparaitre, juste parce qu'il faut qu'il soit là pour que tout aille bien, sous le prétexte d'être le seul à avoir le droit de s'en débarasser...
Hmmm... Je savais que leur irait bien à tous les deux.
Et en plus je cerne de mieux en mieux leur relation.
C'est une bonne chose. *nod nod*
Jaloux, parce que l'un a eu des attentions que l'autre n'a pas eu pendant que l'autre aimerait qu'on lui donne toute la confiance qu'on donne au premier...
Qui ne se supportent pas, mais qui supportent encore moins de ne pas avoir à se supporter...
Bataille de deux jeunes coqs au Concile, et tellement déçu si l'autre ne saisit pas la flèche au passage. Parce que c'est tellement plus rassurant de détester quelqu'un qui vous déteste...
Chamailleries de deux grands gamins qui se regardent comme deux rivaux sans même connaître le prix du gagant, si un jour gagant il y a...
Angoisses de petits garçons à l'idée que ce simple état de fait entre eux puisse un jour changer : il me hait, je le hais, et c'est tout.
Apeurés à l'idée que l'affection de l'un pour l'autre puisse n'être qu'à sens unique, et donc murés dans ce carcan de mépris et de colère. Plus simple. Moins risqué. Moins douloureux aussi.
Deux enfants nés pour être forts, l'un seul, gradé très tôt, face à des responsabilités qui lui font peur, l'autre avec un jumeaux, pour le protéger et l'épauler, suivi par les plus vieux parce qu'il est jeune et inexpérimenté...
Longue suite de quiproquos qui donne deux jeunes hommes que tout oppose et qui s'opposent pour bien marquer leurs différences, elles sont si minimes, puis deux adultes différents mais au fond tellement semblables, même s'ils n'ont jamais voulu le reconnaitre jusque là...
Deux imbéciles qui mourraient plutôt que de voir l'autre disparaitre, juste parce qu'il faut qu'il soit là pour que tout aille bien, sous le prétexte d'être le seul à avoir le droit de s'en débarasser...
Hmmm... Je savais que leur irait bien à tous les deux.
Et en plus je cerne de mieux en mieux leur relation.
C'est une bonne chose. *nod nod*