La Femme Peintre

Jul 23, 2007 14:04

In another instalment of Learn Time Management The Fun and Easy Way with William Matheson, I stayed up more than half the night writing this short story in French. It was a tremendous learning experience, with tenses, vocabulary, genders, pronouns and prepositions (for the most part still misused, but I learned a little)... last night I might as well have been back at Sainte-Anne. It's fun to get out sometimes and learn some things on your own, but I must throw some water on the romantic notion of the thing and remind myself and everyone that it's an awful lot of work.

That being said, here's the story. Enjoy, and please don't hesitate to correct my grammar or suggest improvements to my style! I'll post the translation next week - if I posted it now, everybody would just read the translation and nobody would learn anything! =)


La Femme Peintre
Une très courte histoire par William Matheson

Il fut une fois, il y eut une belle femme peintre et il y eut aussi un garçon. (Et aussi un auteur qui put écrire avec les anciens clichés seulement, parce que il fut en train apprendre le français.) Un après-midi tard, ils rencontraient sur la plage. Le garçon disait à la femme, « Quel est-ce que vous faites? » Le femme répliqué, « Je suis en train peindre la mer et les nuages. Il fait très beau, n’est pas? »

Le garçon regardait dehors au-dessus de la mer. « Oui, il fait très beau. Mais, votre peinture est plus belle. »

« Vraiment? Pourquoi? C’est juste une peinture. Ce n’est pas comparable avec la nature. »

« Oui, et normalement, vous seriez correcte - une peinture ne peut pas rivaliser avec la nature. Mais ici vous avez quelque chose spéciale. Dans ta peinture, le bleu du ciel est plus bleu! Les nuages sont pelucheux dans les deux cas, mais dans votre peinture je veux jouer et habiter dans leurs. Et la mer… »

« Arrêtez! Ne direz pas plus. Je ne veux pas cultiver une grande tête! Mais merci, monsieur, je vous remercie. »

« De rien! C’est juste la vérité! »

Ils parlaient pour un long temps, mais tôt le soleil allait à coucher. Il disait à elle, « C’était un très beau soir, n’était pas? »

« O, vraiment. »

« Est-ce que je peux revenir demain soir? »

« Oui, mais seulement si vous m’apportez quelque chose. »

« Quoi? »

« J’ai besoin de quelque peinture noire. Est-ce que vous pouvez m’apportez cela? »

« J’essayerai. »

Et avec ça, ils partaient, elle à son coucher, et il à son coucher. A-t-il rêvé de elle? Il est trop tôt de dire.

Le prochain soir, il elle revoyait.

« Salut! » il disait.

« Salut! » elle répondait.

(Quelque fois, Tivo est une bonne chose.)

« J’ai votre peinture noire. Est-ce que vous voulez ça maintenant? »

« Oui, oui. Je voudrais utiliser il pour… »

« Quoi? »

« Non, je dirai vous demain ou bientôt après. Mais, merci! »

Il était perplexe. Quoi était ci?

« Probablement je ne jamais pas comprend vous, » il souriait. « Et c’est tragique, parce que je dois partir dans trois jours. »

« Trois jours?! Oh, non! À où est-ce que vous allez? »

« La ville, comme toujours. »

« Oh… oh, ok. Pour quoi? Votre travail? Vous savez, j’ai quelques amis dans la ville… »

Ils parlaient plus, longtemps dans la nuit. La lune levait. Cependant, ils causait, jusqu’à la lune s’arrêtait à l’haut du ciel. Il était alors ils devaient aller à leurs couchers. Mais, avant il partait, il disait à elle, « C’était une très belle nuit, n’était pas? »

« O, vraiment, tu as raison. C’était! »

« Est-ce que je peux revenir demain soir? »

« Oui, mais seulement si tu m’apportes quelque chose. »

« Quoi? »

« J’ai besoin d’une toile de maître. Est-ce que tu peux m’apportez cela? »

« J’essayerai. »

Et avec ça, ils partaient, elle à son coucher, et il à son coucher. A-t-il rêvé de elle? C’est une possibilité, oui. Mais - et ce n’est pas un reflet de elle - les rêves étaient probablement bizarres. « Pourquoi est-ce qu’elle voulait une autre toile de maître?! Oui, mademoiselle, je voudrais cinq biscuits plus, si vous plait. »

Le troisième soir, il elle revoyait.

« Salut! » il disait.

« Salut, mon ami! » elle répondait.

(Ok, maintenant nous allons frapper le bouton sur notre Tivo…)

« J’ai ta toile de maître. Est-ce que tu veux ça maintenant? »

« Ah, oui! Merci! »

« Est-ce que vas-tu me dire pourquoi tu as eu besoin de lui? » il souriait.

« Non, pas maintenant! » elle riait.

Il remarquait sa peinture, « Tu peins la lune et les nuages noires! Est-ce que c’est la raison pour la peinture noire? »

« Ha-ha, non, mais c’est une bonne conjecture! »

« C’est très belle… la plupart des personnes ne font pas peindre à nuit ou de la nuit - c’est difficile, et la plupart des personnes sont dans leurs couchers! »

« Oui, mais je ne suis pas la plupart des personnes! »

« Ha-ha, oui, tu as raison je pense! J’aime ça. »

Et comme ça, ils parlaient longtemps dans la nuit. La lune levait. La lune se coucher. Le soleil presque levait, mais il était alors ils devaient aller à leurs couchers. Mais, avant il partait, il disait à elle, « C’était un très beau matin tôt, n’était pas? »

« Oui, oui… est-ce que tu n’es pas fatigue? »

« Oh, oui, un petit peu. … J’espère je toi n’oublierais jamais. »

« Non… moi aussi… J’espère nous n’oublierons jamais. »

« Mais, est-ce que je peux revenir demain soir? »

« Demain soir? »

« Ok, ce soir? »

« Ha-ha, oui, mais seulement si tu m’apportes quelque chose. »

« Quoi? »

« J’ai besoin d’un miroir. Est-ce que tu peux m’apportez cela? »

« J’essayerai, comme toujours! » il disait avec un clin d'oeil.

Et avec ça, ils partaient, elle à son coucher, et il à son coucher. A-t-il rêvé de elle? Non, parce que il était le matin! Il n’avait pas holà temps de sommeil pour avoir le sommeil paradoxal, et il avait beaucoup choses il devait faire!

Il avait un jour prochain difficile - il était très fatigue! Mais, cependant, il elle revoyait.

« Salut! » il disait.

« Salut, mon cher! » elle répondait.

(Tivo! Mettrez-nous avant! Avant!)

« J’ai ton miroir. »

« Ah, oui! Merci! O-la-la! C’est grand! Ow! »

« Mille excuses. Dans ma chambre, j’ai juste le miroir sur ma porte. Est-ce que c’est trop grand? »

« Non, non, il est ok, je pense. »

« Tu penses, ou tu espères? »

« Je sais. »

« Ok. Bonne chance! »

« Merci. Peut-être je vais avoir besoin de bonne chance. »

« Non, pas toi! Tu as talent beaucoup! Comment est-ce que tu as fait tes belles peintures avant maintenant? Pas avec chance, avec ton talent et savoir-faire! »

Elle regardait à lui. A-t-il connu? Non, ce n’était pas possible.

« Merci. Mais, actuellement, je dois partir maintenant. Je suis désolé, mais j’ai une peinture très important, et je dois finir ça ce soir. »

« O, vraiment? »

« Oui, vraiment. Mais, rencontre avec moi ici demain. »

« Ok, je vouloir. »

Et avec ça, ils partaient, elle à sa peinture très important, et il à son coucher. A-t-il rêvé de elle? Oui, et il était beau (et elle était adorable!), mais il est triste aussi.

Le nouveau jour arrivait. Il était son dernière jour être proche à la plage. Il faisait ses valises, et vérifiait une deuxième fois son billet. La ville. Aujourd’hui. Comment est-ce que c’était possible? Il faut partir, en actualité?

Et finalement, il elle revoyait.

« Salut! » elle criait enthousiasment.

« Salut. » Il trouvait lui difficile à marcher ou parler avec confidence.

« Pourquoi est-ce que tu es en train marcher comme ça? Est-ce que tu n’es pas contente? »

« Oh, oui… mais, je suis en train partir… de toi. »

« Oh, oui… mais, il ne sera pas donc mal que tu penses. »

« Non? Ha-ha, je ne devine pas, tu as raison probablement. »

« Oui, tu seras meilleur, et aussi… (Ici est ton miroir, merci!) … juste donc tu me n’oublies pas… voila! »

Et sur sa toile de maître, il y avait un beau portrait, de… elle!

« Wow… il est très beau, comme toi… je ne peux pas dire rien! »

« Et maintenant, tu ne peux pas me oublies! »

Ils embrassaient. Et il elle n’oublies pas, jamais.

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