Drabble. A fond la caisse
Titre : A fond la caisse !
Auteur : taraxacumoff
Pairing : Di Nozzo/ Gibbs
Rating : G
Disclaimer : Rien n’appartient au dandelion
Nombre de mots :270
A fond la caisse !
Monter en voiture avec l’agent Gibbs, c’était comme monter dans son propre corbillard.
Il ne montrait aucun respect pour les sens interdits, roulait à tombeau ouvert, faisait demi-tour n’importe où et obligeait ses agents à réciter leurs prières à toute allure, et silencieusement pour être sûr que Gibbs n’entendrait pas.
Aujourd’hui, c’était différent. Pensant qu’ils allaient mourir, en infiltration, pas en voiture, Tony avait tout déballé au patron.
Tout.
A commencer par le fait qu’il était raide dingue de lui.
Et c’est le moment qu’avait choisi Ziva pour débarquer avec la cavalerie.
Tony était bien ennuyé et ne savait pas quel bout empoigner la conversation pour faire passer cela pour un mensonge. La voiture freinant brusquement manqua de l’envoyer dire bonjour au pare-brise. Mince, on était chez Gibbs, à tous les coups, il allait le tuer de ses mains et cacher son corps dans le bateau !
« Dinozzo, tu sors ou tu attends l’année prochaine ? »
La mort dans l’âme, Tony s’exécuta. Il suivit Gibbs dans la maison, prêt à se prendre des claques, mais c’est sa veste qui lui fut prise.
« Heu…. »
Un sourire en coin, le patron verrouillait la porte et retirait à son tour son veston.
Il n’allait pas le tuer ?
Sentant brusquement sur son coude une main qui l’entraînait vers le salon Tony eut une autre sorte de peur, il ne voulait quand même pas…là….tout de suite…sans en parler.
Avec un coup d’un soir c’était une chose, mais entre eux….
« Arrête de gamberger, Tony, je conduis comme un bolide, mais pour certaines choses, je sais prendre mon temps ! »
***FIN.
Auteur : taraxacumoff
Pairing : Di Nozzo/ Gibbs
Rating : G
Disclaimer : Rien n’appartient au dandelion
Nombre de mots :270
A fond la caisse !
Monter en voiture avec l’agent Gibbs, c’était comme monter dans son propre corbillard.
Il ne montrait aucun respect pour les sens interdits, roulait à tombeau ouvert, faisait demi-tour n’importe où et obligeait ses agents à réciter leurs prières à toute allure, et silencieusement pour être sûr que Gibbs n’entendrait pas.
Aujourd’hui, c’était différent. Pensant qu’ils allaient mourir, en infiltration, pas en voiture, Tony avait tout déballé au patron.
Tout.
A commencer par le fait qu’il était raide dingue de lui.
Et c’est le moment qu’avait choisi Ziva pour débarquer avec la cavalerie.
Tony était bien ennuyé et ne savait pas quel bout empoigner la conversation pour faire passer cela pour un mensonge. La voiture freinant brusquement manqua de l’envoyer dire bonjour au pare-brise. Mince, on était chez Gibbs, à tous les coups, il allait le tuer de ses mains et cacher son corps dans le bateau !
« Dinozzo, tu sors ou tu attends l’année prochaine ? »
La mort dans l’âme, Tony s’exécuta. Il suivit Gibbs dans la maison, prêt à se prendre des claques, mais c’est sa veste qui lui fut prise.
« Heu…. »
Un sourire en coin, le patron verrouillait la porte et retirait à son tour son veston.
Il n’allait pas le tuer ?
Sentant brusquement sur son coude une main qui l’entraînait vers le salon Tony eut une autre sorte de peur, il ne voulait quand même pas…là….tout de suite…sans en parler.
Avec un coup d’un soir c’était une chose, mais entre eux….
« Arrête de gamberger, Tony, je conduis comme un bolide, mais pour certaines choses, je sais prendre mon temps ! »
***FIN.