Parce que je suis super motivé en ce moment...
Donc voilà, encore une pitite histoire sur mes perso rien qu'à moi !
Histoire d’un couple.
Elle était là. Ses court cheveux châtains volant sur ses épaules, ses yeux bruns perdu dans les vagues. Les mariages avaient le don de la rendre mélancolique, celui là particulièrement, puisqu’il réunissait tout ses amis du lycée. Il y avait Lola, bien sur, qui se mariait, Nicolas, son futur, mais il y avait également Sarah, Mina, Ronnie, Jean, Alphonse et…
Axel.
Elle aurait eu du mal à expliquer pourquoi ils s’étaient séparés, pour une broutille, sûrement. Elle ne s’en souvenait même pas.
Mais le revoir, lui, ses beaux yeux gris, sa forme athlétique, et tout ce qui faisait de lui, lui… C’en était presque trop.
Et puis il y avait cette manie qu’avait cette maudite mariée et son témoin. Pourquoi vouloir à tout prix les remettre ensemble ? Qu’y avait-il de compliqué dans le fait que c’était bel et bien finit ?
Elle soupira.
- C’est bizarre, n’est-ce pas ? - murmura une voix à coté.
Elle tourna la tête vers la personne qui s’était installée à ses cotés. Axel.
- Que veux-tu dire ? - demanda-t-elle.
Ce n’était pas comme si elle n’avait pas compris où il voulait en venir, elle avait toujours su le comprendre, ses actes, ses paroles n’avait jamais eu le moindre secret pour elle. Mais maintenant qu’ils n’étaient plus ensemble, elle trouvait ça étrange, de le comprendre à ce point.
- J’sais pas… - il rit - C’est bizarre, de se retrouver, tous ensemble, comme avant… - il baissa les yeux en rougissant - enfin, pas tout à fait comme avant…
Elle baissa les yeux à son tour. Non, pas tout à fait comme avant. Parce qu’avant, il y avait elle, et lui, parce que c’était Le couple du groupe, et que maintenant, il n’y avait plus de couple, et que c’était Lola, qui épousait Nicolas, rien d’autre.
Mais surtout, parce que leur histoire avait tout changé, entre eux, et dans leur rapport avec les autres.
- … rianne ? Marianne ?!
Elle releva les yeux, surprise.
- Hem, oui, tu disais ? - demanda-t-elle, rougissante.
- Je disais qu’il vaudrait mieux qu’on rentre, sans quoi, les autres vont s’inquiéter…
Elle hocha doucement de la tête, quoi que pas tout à fait d’accord avec lui : Les autres ne s’inquiéteraient certainement pas, mais il y avait fort à parier qu’ils se fassent de fausse idée, par contre.
Soupirant, elle imagina Lola et Ronnie se jeter sur elle, pour l’assaillir de question, toute plus indisposante les unes que les autres.
Alors qu’ils allaient entrer dans le chapiteau, monter spécialement pour la fête, elle sentit une main tiède lui prendre la sienne.
Se tournant légèrement vers lui, elle sentit une rougeur traître fleurir sur ses joues.
- Tu sais… - commença-t-il doucement - Moi, je ne me souviens pas vraiment de la raison qui a fait que… qu’on a arrêté… Et…
Elle le regardait s’emmêler dans ses explications et elle se dit qu’il était peut-être temps qu’elle se comporte en femme de son siècle, et qu’elle fasse le premier pas.
Rapprochant leurs visages elle posa ses lèvres sur les siennes, prête à reprendre leur histoire là ou elle s’était arrêtée.
Qui a dit que les mariages ne pouvait pas nourrir d’autre idylle ?
Histoire d’un couple.
Elle était là. Ses court cheveux châtains volant sur ses épaules, ses yeux bruns perdu dans les vagues. Les mariages avaient le don de la rendre mélancolique, celui là particulièrement, puisqu’il réunissait tout ses amis du lycée. Il y avait Lola, bien sur, qui se mariait, Nicolas, son futur, mais il y avait également Sarah, Mina, Ronnie, Jean, Alphonse et…
Axel.
Elle aurait eu du mal à expliquer pourquoi ils s’étaient séparés, pour une broutille, sûrement. Elle ne s’en souvenait même pas.
Mais le revoir, lui, ses beaux yeux gris, sa forme athlétique, et tout ce qui faisait de lui, lui… C’en était presque trop.
Et puis il y avait cette manie qu’avait cette maudite mariée et son témoin. Pourquoi vouloir à tout prix les remettre ensemble ? Qu’y avait-il de compliqué dans le fait que c’était bel et bien finit ?
Elle soupira.
- C’est bizarre, n’est-ce pas ? - murmura une voix à coté.
Elle tourna la tête vers la personne qui s’était installée à ses cotés. Axel.
- Que veux-tu dire ? - demanda-t-elle.
Ce n’était pas comme si elle n’avait pas compris où il voulait en venir, elle avait toujours su le comprendre, ses actes, ses paroles n’avait jamais eu le moindre secret pour elle. Mais maintenant qu’ils n’étaient plus ensemble, elle trouvait ça étrange, de le comprendre à ce point.
- J’sais pas… - il rit - C’est bizarre, de se retrouver, tous ensemble, comme avant… - il baissa les yeux en rougissant - enfin, pas tout à fait comme avant…
Elle baissa les yeux à son tour. Non, pas tout à fait comme avant. Parce qu’avant, il y avait elle, et lui, parce que c’était Le couple du groupe, et que maintenant, il n’y avait plus de couple, et que c’était Lola, qui épousait Nicolas, rien d’autre.
Mais surtout, parce que leur histoire avait tout changé, entre eux, et dans leur rapport avec les autres.
- … rianne ? Marianne ?!
Elle releva les yeux, surprise.
- Hem, oui, tu disais ? - demanda-t-elle, rougissante.
- Je disais qu’il vaudrait mieux qu’on rentre, sans quoi, les autres vont s’inquiéter…
Elle hocha doucement de la tête, quoi que pas tout à fait d’accord avec lui : Les autres ne s’inquiéteraient certainement pas, mais il y avait fort à parier qu’ils se fassent de fausse idée, par contre.
Soupirant, elle imagina Lola et Ronnie se jeter sur elle, pour l’assaillir de question, toute plus indisposante les unes que les autres.
Alors qu’ils allaient entrer dans le chapiteau, monter spécialement pour la fête, elle sentit une main tiède lui prendre la sienne.
Se tournant légèrement vers lui, elle sentit une rougeur traître fleurir sur ses joues.
- Tu sais… - commença-t-il doucement - Moi, je ne me souviens pas vraiment de la raison qui a fait que… qu’on a arrêté… Et…
Elle le regardait s’emmêler dans ses explications et elle se dit qu’il était peut-être temps qu’elle se comporte en femme de son siècle, et qu’elle fasse le premier pas.
Rapprochant leurs visages elle posa ses lèvres sur les siennes, prête à reprendre leur histoire là ou elle s’était arrêtée.
Qui a dit que les mariages ne pouvait pas nourrir d’autre idylle ?