Vendredi 26 Juin. Une demi heure pour chaque texte.
Encore une foi, jamais relut, jamais corrigé.
Pairing : Greg House.Robert Chase (House MD)
Thème : Ça ne nous regarde pas !
Warning : Alors, comme déjà dit, je suis crevée, et donc, je m'excuse si mon texte n'est pas clair, pour les fautes diverses et variées, et pour l'histoire un peu conne, surtout vers la fin. Et pour le vocabulaire vulgaire, j'ai l'impression qu'il empire avec ma fatigue.
Il était terrible que Cameron, alors même qu'elle ne travaillait plus pour House depuis longtemps déjà, alors même qu'elle était désormais sa femme, soit toujours aussi obsédée par le médecin acariâtre.
Encore, à l'époque où leur vie professionnelle et quotidienne, ainsi que leur carrière et leur avenir carcéral dépendaient pour une bonne part de l'humeur de l'infirme, il était normal qu'elle soit curieuse quant à ce qui influait dessus, et qu'elle essaye de l'améliorer, c'était même légitime et, diable, utile pour Foreman et lui. Mais maintenant...
Et puis, honnêtement, il se sentait un peu vexé, en tant qu'homme, que son épouse soit plus intéressée par un autre que part lui. Quelque part, il se sentait un peu trompé.
Et puis merde, ça l'emmerdait que sa vie de couple et son bonheur conjugal soit aussi soumis à l'état de ce type, que tout le reste avant.
C'est donc pourquoi l'australien blond décida d'aller voir son ex-patron, afin de voir ce qu'il pouvait faire pour l'aider à aller mieux, et ainsi sauver sa soirée en amoureux. Ou au moins, obtenir assez d'informations pour satisfaire la curiosité de sa satanée épouse.
House releva la tête, gardant sa balle rebondissante au creux de sa main, et regarda l'intrus.
Tiens donc, le blondinet qu'il avait viré. Pourtant, ce n'était pas lui l'accro du couple. Un sourire naquit sur ses lèvres à l'idée de pouvoir l'asticoter un peu. Peut être que finalement, sa journée n'allait pas être aussi nulle que ça.
« Docteur Chase ! Des années dans cet hôpital, et vous ne savez toujours pas vous rendre au service de chirurgie sans vous perdre ? Vous voulez que je demande à Foreman d'examiner votre cerveau ? Il est toujours dans mon équipe, *lui *. »
Son vis-à-vis poussa un soupire exaspéré. Soit lui-même avait encore fait des progrès en ce qui concernait le fait d'être chiant, soit l'australien était déjà énervé au départ. Ce qui, en y pensant, était logique puisqu'il était venu le voir.
« Non House ! C'est vous que je viens voir. Qu'est ce que vous avez, depuis quelques jours à être encore pire que d'habitude, et déprimé et chiant ? »
Bravo pour la subtilité Chase... Et bravo pour le ton calme et maitrisé aussi. En plus, à voir le regard brillant de House, ça lui plaisait de voir son ex-sous fifre avec le rouge au joues, et sans maîtrise de soi. Satisfaire l'ennemi dès la première remarque, franchement, comme s'il ne savait pas mieux se débrouiller que ça.
Oh, l'air moqueur de l'imbécile à barbe !
« Quoi Chaaaase, votre douce épouse ne s'intéresse plus à vous ? Vous êtes venu découvrir ce qui lui plaît tant chez moi ? »
Mais comment faisait-il pour savoir ça lui ? Ah oui, c'est vrai, le meilleur diagnosticien du monde. Aussi bon détective que Sherlock Holmes, et tout aussi drogué.
Et avant même que le chirurgien ait pu faire plus qu'ouvrir la bouche pour répliquer, au mépris de son infirmité, l'autre médecin était devant lui, trop proche pour que l'anglais d'origine (lointaine) qu'il était soit à l'aise.
« Eh bien, voyez vous, gueule d'ange, c'est *ça * qui fait du House le mâle suprême et qui rend votre copine accro. » Et sur ces paroles stupides, il employa sa langue à un meilleur usage, et lui roula une pelle.
Okay, donc, le problème, c'était la nouvelle conquête de Wilson.
Décidément, lui et sa femme ferait mieux d'apprendre à ne pas se mêler de ce qui ne les regardait pas, parce que ça semblait se finir à chaque foi dans le lit de House. Oh bien sur, c'était efficace pour améliorer l'humeur de celui-ci, mais quelque part, il n'était pas sur que ça soit tellement bon pour leur mariage.
Bonne étoile
Combinaison spatiale ouverte, bottes de cuir épais, long manteau claquant derrière lui, visage émacié portant des cicatrices et vieux tricorne râpé à l'ancienne sur ses cheveux hâtivement ramenés en catogan, sûr de lui et émettant une aura de colère, le redouté capitaine du Lucky Star pénétra le bar le plus mal fréquenté du spatio-port d'un pas vif.
Aucun regard ne se tourna vers lui, la faune hétéroclite du bouge préférant au contraire se cacher un peu mieux dans ses boissons, ou derrière les nuages de fumés émis par ses pipes et autres pétards.
Suivant l'homme, une partie de l'équipage; le chef des canonniers, le médecin de bord, le second et la responsable de l'armurerie, ainsi qu'un certain nombre de sous officiers à l'air patibulaire. Ils s'assirent tous autour de deux tables, vite désertées par leurs précédents occupants, et le barman s'empressa d'abandonner son bar, acte impardonnable en toutes autres circonstances, pour aller leur demander ce qu'ils voulaient boire. C'était le problème de n'avoir aucun serveur.
Puis il retourna servir tout ça, se dépêchant, et priant sa bonne étoile qu'aucun de ses autres clients n'ait fait main basse sur les bouteilles, qu'il aurait alors à rembourser de sa poche.
Remplissant les différents verres et chopes sans cesser de jeter des regards inquiets aux pirates impatients, il fit signe à l'un des deux videurs, un jeune homme sec et musclé, nerveux au point d'être toujours tendu comme une trique, d'aller servir les boissons aux individus dangereux tandis que lui même tentait de prévenir tout explosion de violence d'un des alcooliques du bar en ne les servant pas assez vite.
Le garçon s'exécuta, pestant un peu intérieurement qu'il était un putain de videur et pas un larbin de serveur, tout en sachant qu'il œuvrait quant même pour la sécurité du bar.
Le capitaine fixa son regard noir et brulant sur le jeune homme qui arrivait avec leurs boissons, raide et mal à l'aise avec le plateau, mais à la démarche assurée et prudente de celui qui sait se battre, les muscles de ses cuisses saillants un peu sous le pantalon de cuir moulant. Arrivé à la table, il essaya de retenir d'une seul main son plateau du mieux qu'il pouvait, tout en utilisant l'autre pour servir les boissons, sous le regard fixe et dangereux des bandits. Il était tellement concentré pour éviter de déclencher une guerre en renversant une goutte, que le capitaine pu facilement le saisir par la tailler pour le plaquer durement contre la table, lui arrachant un cri de douleur quant son dos percuta avec violence l'angle de métal dur, ce qui donna l'occasion au pirate de forcer sa langue dans sa bouche, écrasant sa proie contre l'acier avec une poigne terrible, le tout sous les regards impavides de ceux de ses hommes qui buvaient tranquillement.
Et ni les clients du bouge, ni le barman, ni les prostituées, ni même l'autre videurs, ne donnèrent signe de prendre quelque intérêt que ce fut pour la scène qui se jouait, ou pour celle qui n'allait pas tarder. En fait, la seule chose qui montrait qu'ils s'en étaient aperçu était le sentiment qui régnait de soulagement à l'idée que le danger public avait les mains (entre autres choses) prises à autre chose qu'à ce battre. Quant à l'équipage, il n'était pas en reste.
"Signe"
Greg House/James Wilson (House MD)
Warning : Je suis particulièrement insatisfaite de celui-là. Je le truve vraiment... sans intérêt, mal écrit, se finissant en queue de poisson et insipide.
Il y avait des signes qui ne trompaient pas. Et en tant que médecin, diable, en tant que * diagnosticien*, House ne pouvait les ignorer.
Encore une des choses qui mettaient Wilson hors de lui à propos de son meilleur ami. En fait, il avait une tendance marquée à remarquer tout ce que Wilson ne voulait pas qu'il remarque et a ne pas remarquer tout ce qu'il voulait qu'il remarque.
D'ailleurs cette remarque s'appliquait de façon plus générale, le bougre d'homme ayant une tendance marquée et remarquée à faire l'exacte inverse de ce que Wilson voulait, et réciproquement.
Mais pourquoi fallait-il que ça s'appliquer *également * à cette question si importante ?
Pourquoi après toutes ces années à être son meilleur ami, le Sherlock Holmes des temps modernes, le Hercule Poirot de la médecine n'avait-il pas encore remarqué que son Hastings à lui était amoureux ? Voulait-être plus que son meilleur ami ? Aspirait à être son partenaire et non pas seulement son partenaire de crime ?
Enfin, ''Wilson'', ça n'était pas assez proche de ''Watson'' pour qu'il s'obstine ainsi à ne pas comprendre ?
En fait, la seule explication logique, celle que James redoutait par dessus tout, était que Greg ne voulait *pas * voir tout cela.
Des fois, le gentil petit oncologue qu'il était avait envie d'étrangler Lisa Cuddy avec son propre string, avant de lui fracasser méthodiquement le visage contre un mur, avant de lui briser une chaise dessus afin de conclure en lui enfonçant un pied en bois dans un de ses orifices naturels et de provoquer ainsi un déchirement de ses organes internes.
Et pourtant, il l'appréciait beaucoup en tant qu'amie, collègue et supérieure.
Mais il était jaloux. Il essayait de les éloigner l'un de l'autre, House et elle.
Et ça, House ne le voyait pas. Il refusait de le voir. Il préférait garder son meilleur ami, sans être conscient de le faire souffrir. Lâche qu'il était. Monstre d'égoïsme qu'il était.
Dégouté, Wilson regarda son ami diagnostiquer brille ment la maladie d'un patient, fier comme Artaban, expliquant que oui, pour le lupus, vraiment, il y a des signes qui ne trompe pas.
Thème : Boucle
SG1 : Jack/Daniel
« Mais enfin Jack ! Au moins, tu aurais pu me prévenir ! »
Jack O'neill regarde avec ébahissement un Daniel à moitié nu, assis dans son lit, à quelques centimètres de lui, qui l'engueule.
Ce qui le surprend autant, ce n'est pas qu'il se fasse crier dessus par un Jackson furieux, fait plutôt habituel, ni même qu'il partage un lit avec l'homme en question, ce qui est de plus en plus souvent le cas, et il en est bien heureux le Jack.
Non, ce qui le surprend, c'est que cette engueulade là en question, il l'a déjà vécu, ce matin, avant de partir en mission sur P3X-... Oh merde. Encore.
« Mais tu m'écoute enfin ? Mais c'est pas vrai ça Jack, sois un peu sérieux, attentif, *attentionné * au moins une foi bon sang ! »
Puis, se rendant surement compte de l'air mi-horrifié, mi-choqué de son amant, il s'inquiète de savoir s'il va bien.
Soupirant, Jack se laisse aller sur le matelas. Lui explique le problème. Vit une journée à essayer de résoudre le problème,et la recommence. Encore, et encore, et encore.
C'est le 3ème « Mais enfin Jack ! Au moins, tu aurais pu me prévenir ! » qu'il fait taire d'un baiser.
Quant il arrive enfin à la fin de cette journée démoniaque, il célèbre ça au lit avec Daniel.
Le lendemain, c'est un archéologue épuisé et échevelé qui li demande comment il a fait pour s'améliorer autant aussi subitement.
C'est un Daniel réellement sidéré qui apprend de la bouche de son capitaine que celui-ci veut annoncer leur liaison à leur équipe. « Je sais exactement de quelle façon leur dire, et je peux t'assurer qu'ils le prendront bien. »
C'est un Daniel tout chamboulé qui s'entend répondre simplement par l'homme de sa vie qu'il ne peut plus envisager de passer ses journées sans lui, maintenant.
Thème : Une aiguille dans une botte de foin
Bon, et bien, vu que je viens d eme réveiller en sursaut devant ma page OpenOffice, je vais arrêter les frais également et allé me coucher, en postant ce que j'ai eu le temps de faire
Il sentait le foin, sur toute la surface de sa peau. L'odeur était encore plus fort dans les plis de peau le splus cachés, les recoins les plus inaccessible.
Il aimait a parcourir chaque centimètre carré de peau, à explorer, gouter, sentir. Les yeux clos, la joue contre la peau douce et chaude, cette impression de soleil qui émanait de tout son corps, et cette bonne odeur de foin, rien ne valait ce plaisir.
A cette douceur venait s'ajouter le piquant de ses poils, qu'il aimait à faire se hérisser sous ses baisers et ses dents, et dressés, il étaient durs qu'on aurait dit de petites aiguilles, et c'était juste parfait pour lui procurer des frissons à lui.