Défi : château + trouble - sans titre (Saint Seiya)
Fandom : Saint Seiya
Titre : pas d'idée pour l'instant
Pairing : Albérich/Hilda de Polaris
Rating : R
Défi : château pour le premier + trouble pour les deux suivants
Nombre de mots : 3*100
Warnings : hét, un peu de nécrophilie quand même XD
Nombreux convenaient que la princesse Freyja était l'une des plus belles femmes d'Asgard, avec ses yeux clairs comme un glacier et son extraordinaire chevelure ondulée.
Une adorable petite sotte, pensait néanmoins Albérich de Megrez.
Car la beauté sans pouvoir ni esprit n'était rien. Le pouvoir confère la noblesse. L'esprit confère le style.
La grande prêtresse Hilda était une beauté froide, d'un maintien et d'une force qui tenaient à distance les plus communes ardeurs du cloaque amoureux.
Haute, puissante, pareille à un château, il n'y avait rien jusqu'à sa chevelure blanche, à la structure pyramidale, qui n'exprimât la rareté et l'aristocratie.
*
C'était fait. L'épée de Balmung dans sa main, il avait terrassé Hilda corrompue, et la reine maléfique vêtue de noir gisait à ses pieds, baignant dans son sang.
Le guerrier divin se baissa pour vérifier qu'elle était morte. Le regard était fixe ; il ferma les paupières. À présent une expression paisible et douce était sur son visage pur. C'était bien l'ancienne princesse Hilda, et l'Usurpateur se sentit étrangement brûler.
Il fit glisser sa main sur le visage parfait, pareil à celui d'un gisant ; puis son index suivit la ligne du cou satiné et encore chaud.
L'heure était venue...
*
Albérich les avait souvent admirées sans pouvoir les toucher ; ces fines clavicules sur la poitrine blanche étaient le chef-d'oeuvre d'un artiste d'un autre monde. Il dégrafa la cape, glissa sa main sous la toile de laine ouvragée de la robe, explorant le corps si longtemps interdit tout en lissant la longue chevelure de cette grande poupée à tête lourde.
Elle était en son pouvoir...
Un rire glacé interrompit cette rêverie. "Albérich, que t'arrive-t-il, tu as l'air tout troublé ?"
"Rien votre altesse", répondit-il, les yeux verts luisant de concupiscence. "Je m'ingénie à trouver le meilleur moyen de vous servir."
Titre : pas d'idée pour l'instant
Pairing : Albérich/Hilda de Polaris
Rating : R
Défi : château pour le premier + trouble pour les deux suivants
Nombre de mots : 3*100
Warnings : hét, un peu de nécrophilie quand même XD
Nombreux convenaient que la princesse Freyja était l'une des plus belles femmes d'Asgard, avec ses yeux clairs comme un glacier et son extraordinaire chevelure ondulée.
Une adorable petite sotte, pensait néanmoins Albérich de Megrez.
Car la beauté sans pouvoir ni esprit n'était rien. Le pouvoir confère la noblesse. L'esprit confère le style.
La grande prêtresse Hilda était une beauté froide, d'un maintien et d'une force qui tenaient à distance les plus communes ardeurs du cloaque amoureux.
Haute, puissante, pareille à un château, il n'y avait rien jusqu'à sa chevelure blanche, à la structure pyramidale, qui n'exprimât la rareté et l'aristocratie.
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C'était fait. L'épée de Balmung dans sa main, il avait terrassé Hilda corrompue, et la reine maléfique vêtue de noir gisait à ses pieds, baignant dans son sang.
Le guerrier divin se baissa pour vérifier qu'elle était morte. Le regard était fixe ; il ferma les paupières. À présent une expression paisible et douce était sur son visage pur. C'était bien l'ancienne princesse Hilda, et l'Usurpateur se sentit étrangement brûler.
Il fit glisser sa main sur le visage parfait, pareil à celui d'un gisant ; puis son index suivit la ligne du cou satiné et encore chaud.
L'heure était venue...
*
Albérich les avait souvent admirées sans pouvoir les toucher ; ces fines clavicules sur la poitrine blanche étaient le chef-d'oeuvre d'un artiste d'un autre monde. Il dégrafa la cape, glissa sa main sous la toile de laine ouvragée de la robe, explorant le corps si longtemps interdit tout en lissant la longue chevelure de cette grande poupée à tête lourde.
Elle était en son pouvoir...
Un rire glacé interrompit cette rêverie. "Albérich, que t'arrive-t-il, tu as l'air tout troublé ?"
"Rien votre altesse", répondit-il, les yeux verts luisant de concupiscence. "Je m'ingénie à trouver le meilleur moyen de vous servir."